Débat entre Abdou Semmar et un ancien colonel algérien
- Initiateur de la discussion Sanzo
- Date de début
Le colonel se fait piétiner par Abdou Semmar.
Plaisanterie mise à part, le niveau de ce colonel est effrayant de nullité (et je ne parle pas de sa haine du Maroc qu'il ne cache guère)
Bonne intervention, pour ceux qui douteraient encore des grands efforts d'impartialité de Abdou Semmar. On aimerait en avoir des comme lui chez nous.
La réplique de l'ex officier pour justifier la non-intervention de la police est juste lunaire
:
Sanzo
VIB
Bonne intervention, pour ceux qui douteraient encore des grands efforts d'impartialité de Abdou Semmar. On aimerait en avoir des comme lui chez nous.
La réplique de l'ex officier pour justifier la non-intervention de la police est juste lunaire
Je sens qu'il fera pas de vieux os le Abdou. Le colonel se permet de le menacer vers la fin, il fait le mec offusqué alors qu'au début il a attaqué frontalement Semmar.
Ça résume la philosophie de ce régime, je t'attaque mais je suis offusqué lorsque tu répliques
Dès les premiers mots il laisse entendre que le journaliste pourrait avoir été payé par le Maroc ou Israël et sur les derniers échanges, après avoir été inélégant durant toute l'interview il pleurniche car traité de menteur sur le débat autour des reliefs .
Le taximen algérien de Kabylie avec lequel j'ai discuté m'avait également parlé de ces 90 foyers qui prouvaient que l'incendie était criminel mais lui accusait le régime et personne d'autre.
lissi moa tirminé poulkoa vous lissi parlé l'otre et moi vous mi lissi pas....
en fait il répond à coté de la plaque !!!
quand je vois ma belle mère algérienne allah y rham'ha qui n'a jamais était à l'école et te tape un francais mieux qu'un francais d'origine sans accent et un gars gradé colonel au gouvernement parlé comme .... j'allais dire un perroquet mais non!!! même les perroquets en algérie parle bien le francais
En lui rappelant au passage qu'il vit aussi en France et que ce pays n'accepte pas ce genre d'amalgame débile
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Abdou Semmar
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Les révélations d'Algérie Part avec Abdou Semmar : nous avons publié récemment de nouvelles informations confidentielles sur le processus de négociations entamé par les autorités judiciaires algériennes avec les principaux oligarques de l’ère Bouteflika.
Plusieurs rencontres ont été organisées dans la plus grande discrétion entre des conseillers du ministre de la Justice, Belkacem Zeghmati, et des richissimes oligarques algériens déchus et emprisonnés dans plusieurs établissements pénitentiaires répartis à travers le pays. Au moins trois rencontres ont été secrètement tenues et dirigées par des conseillers dépêchés par le cabinet du ministre de la Justice depuis le début de l’année 2020, a pu confirmer ainsi Algérie Part au cours de ses investigations.
Ces rencontres se sont déroulées dans les prisons où sont détenus les hommes d’affaires algériens les plus riches de l’ère Bouteflika. 6 hommes d’affaires ont été ainsi approchés à trois reprises par des conseillers dépêchés par l'ex-ministre Belkacem Zeghmati dés le mois de février 2020. Il s’agit d’Ali Haddad, Mourad Oulmi, Mahieddine Tahkout, et les trois frères Réda, Karim et Noah Kouninef. Lors des premiers « rounds » de négociations, les discussions furent amicales et promettaient d’aboutir à des accords permettant à ces oligarques déchus de fournir aux autorités judiciaires algériennes toutes les informations nécessaires à l’identification de leurs patrimoines immobiliers et financiers à l’étranger. Mais à partir de l’été 2020, ces négociations ont tourné court à cause des sévères condamnations auxquelles ont été exposées toutes les 7 anciennes plus grosses fortunes du pays pendant le long règne de Bouteflika. Ecoutez nos explications pour tout comprendre aux dessous de ce dossier complexe.
MOINS
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Fortunes cachées à l'étranger : Négociations ratées entre Tebboune et les oligarques algériens...
Les révélations d'Algérie Part avec Abdou Semmar : nous avons publié récemment de nouvelles informations confidentielles sur le processus de négociations entamé par les autorités judiciaires algériennes avec les principaux oligarques de l’ère Bouteflika.
Plusieurs rencontres ont été organisées dans la plus grande discrétion entre des conseillers du ministre de la Justice, Belkacem Zeghmati, et des richissimes oligarques algériens déchus et emprisonnés dans plusieurs établissements pénitentiaires répartis à travers le pays. Au moins trois rencontres ont été secrètement tenues et dirigées par des conseillers dépêchés par le cabinet du ministre de la Justice depuis le début de l’année 2020, a pu confirmer ainsi Algérie Part au cours de ses investigations.
Ces rencontres se sont déroulées dans les prisons où sont détenus les hommes d’affaires algériens les plus riches de l’ère Bouteflika. 6 hommes d’affaires ont été ainsi approchés à trois reprises par des conseillers dépêchés par l'ex-ministre Belkacem Zeghmati dés le mois de février 2020. Il s’agit d’Ali Haddad, Mourad Oulmi, Mahieddine Tahkout, et les trois frères Réda, Karim et Noah Kouninef. Lors des premiers « rounds » de négociations, les discussions furent amicales et promettaient d’aboutir à des accords permettant à ces oligarques déchus de fournir aux autorités judiciaires algériennes toutes les informations nécessaires à l’identification de leurs patrimoines immobiliers et financiers à l’étranger. Mais à partir de l’été 2020, ces négociations ont tourné court à cause des sévères condamnations auxquelles ont été exposées toutes les 7 anciennes plus grosses fortunes du pays pendant le long règne de Bouteflika. Ecoutez nos explications pour tout comprendre aux dessous de ce dossier complexe.
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