Les négociations russo-américaines sur le désarmement nucléaire ont commencé mardi à Moscou, alors que le traité START limitant les arsenaux de la Russie et des Etats-Unis expire en décembre.
Les pourparlers ont débuté à 07H00 GMT, a indiqué à l'AFP une source au sein du ministère russe des Affaires étrangères, et doivent se prolonger jusqu'à mercredi.
Mais ni Moscou, ni Washington n'ont voulu fournir de détails sur le contenu de cette rencontre, alors que de premiers pourparlers techniques avaient eu lieu en avril à Rome.
La délégation américaine est conduite par Rose Gottemoeller, sous-secrétaire d'Etat en charge de l'application des accords sur le contrôle des armements, tandis que les négociateurs russes sont menés par Anatoli Antonov, le directeur du département de la sécurité et du désarmement du ministère des Affaires étrangères.
Les présidents russe et américain, Dmitri Medvedev et Barack Obama, se sont fixés pour objectif d'aboutir à un compromis sur le désarmement nucléaire avant l'expiration de START en décembre, alors qu'aucune avancée sur ce dossier n'a eu lieu durant le mandat de George W.Bush.
AFP
Les pourparlers ont débuté à 07H00 GMT, a indiqué à l'AFP une source au sein du ministère russe des Affaires étrangères, et doivent se prolonger jusqu'à mercredi.
Mais ni Moscou, ni Washington n'ont voulu fournir de détails sur le contenu de cette rencontre, alors que de premiers pourparlers techniques avaient eu lieu en avril à Rome.
La délégation américaine est conduite par Rose Gottemoeller, sous-secrétaire d'Etat en charge de l'application des accords sur le contrôle des armements, tandis que les négociateurs russes sont menés par Anatoli Antonov, le directeur du département de la sécurité et du désarmement du ministère des Affaires étrangères.
Les présidents russe et américain, Dmitri Medvedev et Barack Obama, se sont fixés pour objectif d'aboutir à un compromis sur le désarmement nucléaire avant l'expiration de START en décembre, alors qu'aucune avancée sur ce dossier n'a eu lieu durant le mandat de George W.Bush.
AFP