Makelloos
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Le militant, Haj Ali El Manouzi, est mort, mercredi 26 février à Casablanca. Un décès qui nous replonge au cœur des années de plomb.
Haj Ali Manouzi avait lutté de son vivant pour établir la vérité, sur la disparition de son fils Houcine El Manouzi, militant et syndicaliste UMT. Celui-ci avait disparu à Tunis en octobre 1972, au cœur des années de plomb, et son sort reste inconnu bien que les autorités marocaines l’aient annoncé comme mort. Une annonce que la famille refuse de reconnaitre comme étant véridique. A ce propos, un livre intitulé Années de plomb : Chronique d’une famille marocaine a été écrit par la critique littéraire néerlandaise Sietske de Boer.
Haj Ali El Manouzi sera enterré, le jeudi 27 février, après la prière de l’ ‘Asr au cimetière Chouhada à Casablanca
http://www.telquel-online.com/content/décès-de-haj-ali-el-manouzi
Haj Ali Manouzi avait lutté de son vivant pour établir la vérité, sur la disparition de son fils Houcine El Manouzi, militant et syndicaliste UMT. Celui-ci avait disparu à Tunis en octobre 1972, au cœur des années de plomb, et son sort reste inconnu bien que les autorités marocaines l’aient annoncé comme mort. Une annonce que la famille refuse de reconnaitre comme étant véridique. A ce propos, un livre intitulé Années de plomb : Chronique d’une famille marocaine a été écrit par la critique littéraire néerlandaise Sietske de Boer.
Haj Ali El Manouzi sera enterré, le jeudi 27 février, après la prière de l’ ‘Asr au cimetière Chouhada à Casablanca
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