Le 20 décembre dernier, le métropolite (synonyme d'évêque grec) Seraphim du Pirée a déclaré que les problèmes que traverse actuellement la Grèce étaient « dus au sionisme international et à ses banquiers ». Cette déclaration a bien entendu « indigné » les sionistes et ceux qui sont à leur service. Certains parmi les antisionistes se sont au contraire réjouis de cette déclaration, émanant dun prélat officiant dans un pays ancien et respecté, et ne semblant pas se trouver en première ligne vis-à-vis du sionisme.
Pourtant, il faut croire que notre métropolite était bien informé de ce qui se préparait. On a en effet appris, par la suite, que la Grèce et « Israël » allaient créer un « Conseil ministériel commun de coopération ». Il est facile dimaginer le scénario ayant abouti à cela : les grandes banques internationales ont surendetté la Grèce (avec la complicité des dirigeants locaux), puis les marchés (devinez qui est derrière ) ont attaqué la Grèce, et enfin Dominique Strauss-Kahn (le directeur du FMI, qui se demande chaque matin ce quil peut faire pour Israël ) est intervenu et a mis tout le peuple grec à la diète ! Cest en quelque sorte le docteur qui tue le malade pour mieux le sauver
Aujourd'hui donc, comme par hasard, « Israël » arrive et un accord de « coopération » est signé ! Cet accord a été officialisé par un communiqué précédant la visite en Grèce du raciste Avigdor Lieberman. Notons que ce dernier souhaite ouvertement expulser la population arabe d « Israël », ce qui ne la jamais empêché dêtre reçu avec tous les égards par les « démocrates » qui gouvernent lUnion européenne On devine aisément que ce nest pas Athènes qui donnera des ordres à Tel Aviv, mais bien le contraire. En résumé, il y a donc eu mise en faillite dune nation, traitement de choc du FMI, puis soumission à Tel Aviv
Quel est lintérêt d « Israël » ? Contrer la Turquie qui sest détachée de lentité sioniste, en utilisant la Grèce en Méditerranée Orientale. Il nest pas exclu que la question de Chypre (pomme de discorde entre la Grèce et la Turquie) revienne prochainement sur le tapis. Ce serait un moyen de pression et de diversion à lencontre de la Turquie. Dautres raisons entrent également en ligne de compte, comme la tentative de rallier les Chrétiens orthodoxes, russes, grecs, etc. à la politique du sionisme. Il faut méditer le processus grec, qui ne pourra que samplifier. Cest le destin qui risque de frapper toutes les Nations européennes. Le sionisme vit et se nourrit de la crise des autres peuples quil cherche à dominer.
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Pourtant, il faut croire que notre métropolite était bien informé de ce qui se préparait. On a en effet appris, par la suite, que la Grèce et « Israël » allaient créer un « Conseil ministériel commun de coopération ». Il est facile dimaginer le scénario ayant abouti à cela : les grandes banques internationales ont surendetté la Grèce (avec la complicité des dirigeants locaux), puis les marchés (devinez qui est derrière ) ont attaqué la Grèce, et enfin Dominique Strauss-Kahn (le directeur du FMI, qui se demande chaque matin ce quil peut faire pour Israël ) est intervenu et a mis tout le peuple grec à la diète ! Cest en quelque sorte le docteur qui tue le malade pour mieux le sauver
Aujourd'hui donc, comme par hasard, « Israël » arrive et un accord de « coopération » est signé ! Cet accord a été officialisé par un communiqué précédant la visite en Grèce du raciste Avigdor Lieberman. Notons que ce dernier souhaite ouvertement expulser la population arabe d « Israël », ce qui ne la jamais empêché dêtre reçu avec tous les égards par les « démocrates » qui gouvernent lUnion européenne On devine aisément que ce nest pas Athènes qui donnera des ordres à Tel Aviv, mais bien le contraire. En résumé, il y a donc eu mise en faillite dune nation, traitement de choc du FMI, puis soumission à Tel Aviv
Quel est lintérêt d « Israël » ? Contrer la Turquie qui sest détachée de lentité sioniste, en utilisant la Grèce en Méditerranée Orientale. Il nest pas exclu que la question de Chypre (pomme de discorde entre la Grèce et la Turquie) revienne prochainement sur le tapis. Ce serait un moyen de pression et de diversion à lencontre de la Turquie. Dautres raisons entrent également en ligne de compte, comme la tentative de rallier les Chrétiens orthodoxes, russes, grecs, etc. à la politique du sionisme. Il faut méditer le processus grec, qui ne pourra que samplifier. Cest le destin qui risque de frapper toutes les Nations européennes. Le sionisme vit et se nourrit de la crise des autres peuples quil cherche à dominer.
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