Décrypter les mécanismes de l’addiciton

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Des chercheurs genevois ont identifié le système qui permet au cerveau de se remettre après des prises répétées de cocaïne. Leur travail ouvre la voie à une explication génétique des différences de vulnérabilité à l’addiction

Les humains ne sont pas égaux devant l’addiction. Pourquoi certaines personnes sont-elles plus vulnérables que d’autres? Comment passe-t-on d’une consommation récréative de drogue à l’addiction? En décryptant ces mécanismes chez la souris, des chercheurs de l’Université de Genève ouvrent de nouvelles voies pour comprendre ce phénomène. Notamment celle de l’analyse génétique, qui pourrait permettre de prédire la vulnérabilité des individus. Leur travail a été publié lundi 13 juillet dans la revue Nature Neuroscience.

Il faut distinguer deux types de dépendances. La dépendance dite physique est systématiquement engendrée par la prise répétée de certaines substances (héroïne, morphine, alcool, nicotine, etc.). C’est elle qui, lors du sevrage, provoque des crises de manque.

L’addiction, elle, n’est pas systématique. Longtemps considérée comme une dépendance psychologique, elle s’est révélée avoir également des origines physiologiques. Il s’agit d’une envie irrépressible qui provoque une perte de contrôle chez le sujet. Celui-ci se montre prêt à consentir un investissement important pour se procurer l’objet de son désir, même s’il connaît ses effets négatifs. On peut être accro à des substances, mais aussi au jeu, au sexe ou même à la nourriture. Le phénomène ne touche toutefois pas tout le monde. La cocaïne, considérée comme une drogue hautement addictive mais qui n’entraîne pas de dépendance physique, a cet effet sur 5 à 10% des consommateurs après un an de prises répétées, 20% après plus de 10 ans.


L’addiction est apparemment liée au système de récompense du cerveau. «On pense que le but de ce système est de nous indiquer quand quelque chose vaut la peine d’être appris», explique Christian Lüscher, un des auteurs de l’étude. Lorsqu’une action est avantageuse pour la survie de l’individu, qu’elle lui permet par exemple d’obtenir de la nourriture ou de se reproduire, en particulier si ce résultat est inattendu, le cerveau libère de la dopamine. Associé dans un premier temps à un sentiment de plaisir, ce neurotransmetteur induit un changement de comportement. «Mais lorsque le comportement a été adapté, il n’y a plus de libération de dopamine et donc de signal d’apprentissage», poursuit le scientifique. Sauf justement pour des substances comme la drogue, qui déclenchent à chaque fois le signal, même si le résultat est anticipé. «C’est une usurpation du système d’apprentissage. Celui-ci s’emballe et provoque l’addiction.» Et cela même si le plaisir a disparu.

Comment ce dysfonctionnement se traduit-il au niveau cellulaire? En 2001, l’équipe de Mark Ungless, alors à l’Université de Californie, a montré que la prise de cocaïne modifie les connections entre les neurones, même après une seule dose. On parle de plasticité synaptique. Dans les années qui ont suivi, Christian Lüscher et ses collègues ont avancé des hypothèses sur la manière dont la drogue modifie ces connections, rendant la transmission plus ou moins intense selon les régions du cerveau. Ils ont en outre découvert que ces modifications sont réversibles (LT du 03.04.2006 et 27.07.2007).

L’étude présentée lundi confirme in vivo que ces pistes étaient les bonnes. Les chercheurs ont identifié chez la souris un mécanisme de défense qui rétablit des connections normales entre les neurones. Il s’agit d’un récepteur au glutamate. Ce récepteur est une sorte d’interrupteur à la surface de la cellule qui provoque une série de réactions à l’intérieur. Lorsqu’il est enclenché, les connections défectueuses sont remplacées. Il est activé par le glutamate, un acide aminé qui transmet des signaux de neurone en neurone. Les chercheurs sont parvenus à contrôler cet interrupteur par des manipulations génétiques et pharmacologiques. «On peut bloquer le retour à la normale ou au contraire l’accélérer», explique Christian Lüscher.
 
suite et fin de l'article:



Les scientifiques ont en outre établi une hiérarchie des zones touchées. Dans un premier temps et tant que la prise de drogue continue, les connections entre les neurones se modifient dans une partie du cerveau appelée aire tegmentale ventrale (ATV). Ce n’est que 5 à 6 semaines après le sevrage que ces changements se propagent à une autre zone, le noyau accumbens, réputée pour jouer un rôle important dans le comportement de recherche de cocaïne. Les scientifiques ont réussi à cantonner artificiellement la modification des connections dans le cerveau de la souris à l’ATV. Tant que le noyau accumbens n’a pas été touché, l’animal ne fait pas de rechute.

«Cette hiérarchisation du processus est très intéressante, commente Mark Ungless, qui travaille aujourd’hui à l’Imperial College de Londres. Elle montre comment les changements dans une aire du cerveau en influencent une autre.» Le spécialiste ajoute que le travail des scientifiques genevois est important pour décrypter les premiers stades de l’addiction et indique la voie à suivre pour trouver d’éventuels traitements. Christian Lüscher est plus sceptique: «Nos souris sont à un stade très précoce. En outre, la substance chimique utilisée pour induire un retour à la normale a été administrée de manière très ciblée, nous ne connaissons pas ses effets sur le reste de l’organisme.» Le neurobiologiste est surtout peu optimiste sur la volonté des firmes pharmaceutiques, qui ont pourtant mis au point la molécule, de poursuivre leur développement dans ce domaine.

«J’ai plus d’espoir du côté de mes collègues généticiens, poursuit-il. Il faudrait analyser les gènes liés à ce récepteur pour voir si quelque chose fait défaut chez les personnes vulnérables à l’addiction.» Cela permettrait tout au moins de prédire qui est susceptible de devenir accro et qui ne l’est pas. «Pour effectuer ce travail, il faudrait disposer d’une large cohorte de patients et pouvoir comparer non pas les consommateurs et les non-consommateurs, mais ceux qui consomment de la cocaïne de manière récréative et ceux qui souffrent d’addiction», souligne Christian Lüscher.


source:
http://www.letemps.ch/Page/Uuid/04d9c718-6fed-11de-813a-c70b39535a9f|0
 
le mieux est de ne pas commencer !...as tu lu "l'herbe bleue" ?

Ne pas commencer? Justement dans cet article il est mentionne que on distingue entre dependance physique, relatif uniquement aux drogues (dont l'alcool), et addiction psychologique, qui la peut etre aussi lie par exemple a la nourriture (boulimie) ou le sexe. Et la, aucun moyen de "ne pas commencer", le probleme est de combattre cette addiction psychologique.D'ailleurs c'est pr ca que l'experience est menee avec de la cocaine et non de l'heroine, car la cocaine n'entraine aucune dependance physique mais purement psychologique.

non je n'ai pas lu le livre... de quoi parle-t-il?
 
Azul,

Bravo pour les chercheurs hevelitiques pour cette 50% de résultats frappant,

l'autre 50% de decrypatage genitique c'est un travaile enrome car c'est de genitique + informatique, ca exigent beacoups de budget et une team tres comptente dans les algorithmes genitique et la programmation dir programmation adn,une fois on a ce decrypatage on peut bien penser a une solution plus efficace contre l'addiction, c'est programmer directement un nanochipe genitique qui peut changer le code d addiction genetique de l'accor ca serait pour moi une grand decouvert de l'histoire, la il faut que la nanobiologique sois un peux encre avance,

sinon voici l'autre challenge la 50% qui reste a afaire


Leur travail ouvre la voie à une explication génétique des différences de vulnérabilité à l’addiction
«J’ai plus d’espoir du côté de mes collègues généticiens, poursuit-il. Il faudrait analyser les gènes liés à ce récepteur pour voir si quelque chose fait défaut chez les personnes vulnérables à l’addiction.» Cela permettrait tout au moins de prédire qui est susceptible de devenir accro et qui ne l’est pas. «Pour effectuer ce travail, il faudrait disposer d’une large cohorte de patients et pouvoir comparer non pas les consommateurs et les non-consommateurs, mais ceux qui consomment de la cocaïne de manière récréative et ceux qui souffrent d’addiction», souligne Christian Lüscher.
 
Azul,

Bravo pour les chercheurs hevelitiques pour cette 50% de résultats frappant,

l'autre 50% de decrypatage genitique c'est un travaile enrome car c'est de genitique + informatique, ca exigent beacoups de budget et une team tres comptente dans les algorithmes genitique et la programmation dir programmation adn,une fois on a ce decrypatage on peut bien penser a une solution plus efficace contre l'addiction, c'est programmer directement un nanochipe genitique qui peut changer le code d addiction genetique de l'accor ca serait pour moi une grand decouvert de l'histoire, la il faut que la nanobiologique sois un peux encre avance,

sinon voici l'autre challenge la 50% qui reste a afaire


Leur travail ouvre la voie à une explication génétique des différences de vulnérabilité à l’addiction

algorithme genetique, programmation adn......... el chey hada 9wi 3awlia barcha barcha tu sais :D

non serieusement, la grande nouvelle pour moi c'est que les mecanismes tels que l'addiction (ou autre exemple: depression) sorte des cabinets de la pseudo-science psychologique et psychanalytique pour enfin etre l'affaire des neuroscientifique qui apporteront des reponses vraiment efficaces.
 
L'addiction est aussi relative au facteur que le physique ou le mental peut developper une dépendance à un produit et non à un autre bien que ce soit des produits qui touchent le même secteur.
Je ne vais pas parler en tant que toxicomane mais en tant que sportif, si on prend l'exemple de la prise de testostèrone qui n'est pas une drogue mais developpe néanmoins une addiction mentale enorme (si elle est utilisée à des fins sportives) chez un individu cela ne veut pas dire que la cocaine qui est aussi une drogue entrainant une dépendance(mentale) va entrainer une addiction chez le même individu qui pourtant en avait une pour la testostèrone.
Il faut aussi tenir compte du fait que l'addiction mentale varie aussi en fonction de l'obscession(ou motivation) consciente ou inconsciente de l'individu.
 
Ne pas commencer? Justement dans cet article il est mentionne que on distingue entre dependance physique, relatif uniquement aux drogues (dont l'alcool), et addiction psychologique, qui la peut etre aussi lie par exemple a la nourriture (boulimie) ou le sexe. Et la, aucun moyen de "ne pas commencer", le probleme est de combattre cette addiction psychologique.D'ailleurs c'est pr ca que l'experience est menee avec de la cocaine et non de l'heroine, car la cocaine n'entraine aucune dependance physique mais purement psychologique.

non je n'ai pas lu le livre... de quoi parle-t-il?

L'Herbe bleue est le journal intime d'une jeune fille de quinze ans qui va sombrer dans la drogue. je l'ai lu, j'avais 14 ans......c'est un livre qui devrait être proposé au ados...je t'assure que beaucoup ne toucheraient pas aux drogues :(

Comment traiter l'addiction à la nourriture, au sex, aux jeux en réseau, à la cigarette ? :eek:
 
L'addiction est aussi relative au facteur que le physique ou le mental peut developper une dépendance à un produit et non à un autre bien que ce soit des produits qui touchent le même secteur.
Je ne vais pas parler en tant que toxicomane mais en tant que sportif, si on prend l'exemple de la prise de testostèrone qui n'est pas une drogue mais developpe néanmoins une addiction mentale enorme (si elle est utilisée à des fins sportives) chez un individu cela ne veut pas dire que la cocaine qui est aussi une drogue entrainant une dépendance(mentale) va entrainer une addiction chez le même individu qui pourtant en avait une pour la testostèrone.
Il faut aussi tenir compte du fait que l'addiction mentale varie aussi en fonction de l'obscession(ou motivation) consciente ou inconsciente de l'individu.

tu met le doigt sur un point extrement important! Pourquoi une personne sera addictive a une substance plutot qu'une autre? Les psy vont parler d'histoire personnelle, mais les neurologues auront surement une reponse plus complete a apporter en decortiquant les mecanismes cerebraux de la motivation
 
algorithme genetique, programmation adn......... el chey hada 9wi 3awlia barcha barcha tu sais :D

non serieusement, la grande nouvelle pour moi c'est que les mecanismes tels que l'addiction (ou autre exemple: depression) sorte des cabinets de la pseudo-science psychologique et psychanalytique pour enfin etre l'affaire des neuroscientifique qui apporteront des reponses vraiment efficaces.

Azul,
vous vous rapplez pas on a déjà discuter, si vous vous rapple ou je vous est dit le meme constat que les neuroscientifiques arrivent a prendre la place des pseudosciences, et donner enfin la bonne exemplication scientifiques de tous ces mécanismes hormonales (surnomer souvent psychiques ) qu est reste enigime depuis des annees, la solution serait donc apres facile a trouver un remede qui serait le controle de la dose exacte de ce systeme hormonales au niveaux de cerveaux,,,,
 
L'Herbe bleue est le journal intime d'une jeune fille de quinze ans qui va sombrer dans la drogue. je l'ai lu, j'avais 14 ans......c'est un livre qui devrait être proposé au ados...je t'assure que beaucoup ne toucheraient pas aux drogues :(

Comment traiter l'addiction à la nourriture, au sex, aux jeux en réseau, à la cigarette ? :eek:



avant de tomber dans la drogue, 100% des futurs toxicos savent bien qu'etre drogue c'est une vie miserable.... et ils le font pourtant!
La prevention (livres, information) est importante mais il reste une frange de la population qui y est insensible, et comprendre pourquoi ils ne resistent pas a l'appel de l'addiction, pour pouvoir trouver des solutions.

Et certains types d'addiction ne peuvent pas etre prevenus et evites a l'avance vu nos modes de vie actuels: cyberdependance, addictions alimentaires, addiction au sexe ou la pornographie.
 
Il faut aussi tenir compte du fait que l'addiction mentale varie aussi en fonction de l'obscession(ou motivation) consciente ou inconsciente de l'individu.

Azul,

voila un autre sujet qui m'intéresse le plus depuis 5 ans, le Brain doping.

je me suis pose la question comment ca se fait que on dans les competions sportifs on a une commite qui controle de doppage physiques : muscles etc.

or dans les compétions intellectuelles : recherche, olympia des mathematiques, recherches scientifiques, develppement, carriere, management, bourse, ..etc on a jamais une instance qui controle et interdit le brain doping, concours d'intellingence,

je me pose la question : la méritocratie vs. brain doping

pourquoi le dopage physique est un tabou haram, alors que brain doping est halale ?
 
Azul,
vous vous rapplez pas on a déjà discuter, si vous vous rapple ou je vous est dit le meme constat que les neuroscientifiques arrivent a prendre la place des pseudosciences, et donner enfin la bonne exemplication scientifiques de tous ces mécanismes hormonales (surnomer souvent psychiques ) qu est reste enigime depuis des annees, la solution serait donc apres facile a trouver un remede qui serait le controle de la dose exacte de ce systeme hormonales au niveaux de cerveaux,,,,

oui oui je me rappelle bien en effet, c'etait une conversation tres interessante d'ailleurs

ce qui va m'amuser dans les annees a venir c'est de voir l'establishment des psychologues pseudoscientifiques restes bloques a l'epoque de Freud essayer de decredibiliser et essayer de resister a la vague des neurosciences qui va rendre tout leur travail folklorique et obsolete :D
 
Azul,

voila un autre sujet qui m'intéresse le plus depuis 5 ans, le Brain doping.

je me suis pose la question comment ca se fait que on dans les competions sportifs on a une commite qui controle de doppage physiques : muscles etc.

or dans les compétions intellectuelles : recherche, olympia des mathematiques, recherches scientifiques, develppement, carriere, management, bourse, ..etc on a jamais une instance qui controle et interdit le brain doping, concours d'intellingence,

je me pose la question : la méritocratie vs. brain doping

pourquoi le dopage physique est un tabou haram, alors que brain doping est halale ?

quelles sont les techniques du Brain Doping?
 
oui oui je me rappelle bien en effet, c'etait une conversation tres interessante d'ailleurs

ce qui va m'amuser dans les annees a venir c'est de voir l'establishment des psychologues pseudoscientifiques restes bloques a l'epoque de Freud essayer de decredibiliser et essayer de resister a la vague des neurosciences qui va rendre tout leur travail folklorique et obsolete :D

Oui, ça fait un moment qu'ils auraient du intégrer des techniques de neuro imagerie dans les psychanalyses par exemple.
 
oui oui je me rappelle bien en effet, c'etait une conversation tres interessante d'ailleurs

ce qui va m'amuser dans les annees a venir c'est de voir l'establishment des psychologues pseudoscientifiques restes bloques a l'epoque de Freud essayer de decredibiliser et essayer de resister a la vague des neurosciences qui va rendre tout leur travail folklorique et obsolete :D

Azul,

en effet les psychologues c'est une version occidentale de dit fiqh qui ecoutent tout le monde sans donner des solutions concret,

il faut dire aussi que je ne connais aucune affaire business suite a un diplôme universtaire qui rapporte beaucoup avec le moindre investissement :

c'est quoi un cabinet d'un/une psychologue :

► des tres beaux fouteilles,
► une décoration exotiques : genre foto de bodha, et des odeurs de parfums huiles exotiques,
► des tapis orientales comme ca on va passer au tapis volant dans l'univers des comptes,
► une chaise relaxant,

et le matriale de psychologue : la langue (lissan), une voix douce, l'oreille de l ecoute, le stylo, les desins bref de grand n'importe quoi,,,

sa méthode : écouter pour décharger les soucis, ensuite : rdv pour la prochaine séance pour encore profiter d'un autre recette d'argent,

a la sortie : on se rende compte on a paye pourquoi ? pour se faire écouter?

c'est que fesaient les hommes dans les mosques, caffes, et les majalises dans leurs maison, et les femmes au hammemes et chez les voisoins,

c'est une archnaques tout court au nom de la pseudoscience !
 
quelles sont les techniques du Brain Doping?

Azul,

vue que vous maitrisez machaAllah l'anglais voici un article qui donne une interview sur le sujet, on usa c'est un sujet-in, en Allemagne et japon aussi

donc il ne faut pas s'étonner que certains collegues chercheurs, ou au travailent publient bcp plus de papers que normale et arrivent a travailes plus que le normale lol il sont en mode haram brain doping ,,,
http://www.nytimes.com/2008/03/09/weekinreview/09carey.html?_r=1
 
Oui, ça fait un moment qu'ils auraient du intégrer des techniques de neuro imagerie dans les psychanalyses par exemple.





je ne sais pas comment ca se passe ailleurs, mais dans mon universite la psychologie est la filiere-poubelle ou on atterit quand on a aucune idee de ce qu'on va faire de sa vie ou qu'on a rate un autre cursus. En particulier, la psychologie aujourd'hui manque cruellement d'approche scientifique rigoureuse. En general un psy va se contenter d'antidepresseurs ou anxiolitiques comme "soutien" a la psychotherapie, mais ca reste tres foireux car un antidepresseur, des qu'on l'arrete on retombe dans la depression.... ces medicaments sont des pansements et aucun psy n'a comme focus qu'une solution a un desequilibre psychique passe par la bonne solution (durable) a l'equation du desequilibre cerebral.
 
Il n'y a pas que la chimie, les causes des troubles peuvent également être liés a des "idées", des raisonnements, des événements de la vie.

Il suffit d'apprendre une mauvaise nouvelle pour que cela engendre tout un ensemble de réactions dans le cerveau.
 
Azul,

en effet les psychologues c'est une version occidentale de dit fiqh qui ecoutent tout le monde sans donner des solutions concret,

il faut dire aussi que je ne connais aucune affaire business suite a un diplôme universtaire qui rapporte beaucoup avec le moindre investissement :

c'est quoi un cabinet d'un/une psychologue :

► des tres beaux fouteilles,
► une décoration exotiques : genre foto de bodha, et des odeurs de parfums huiles exotiques,
► des tapis orientales comme ca on va passer au tapis volant dans l'univers des comptes,
► une chaise relaxant,

et le matriale de psychologue : la langue (lissan), une voix douce, l'oreille de l ecoute, le stylo, les desins bref de grand n'importe quoi,,,

sa méthode : écouter pour décharger les soucis, ensuite : rdv pour la prochaine séance pour encore profiter d'un autre recette d'argent,

a la sortie : on se rende compte on a paye pourquoi ? pour se faire écouter?

c'est que fesaient les hommes dans les mosques, caffes, et les majalises dans leurs maison, et les femmes au hammemes et chez les voisoins,

c'est une archnaques tout court au nom de la pseudoscience !

MDR!

Merci tu m'as donne mon premier fou rire de la journee ;)
 
Il n'y a pas que la chimie, les causes des troubles peuvent également être liés a des "idées", des raisonnements, des événements de la vie.

Il suffit d'apprendre une mauvaise nouvelle pour que cela engendre tout un ensemble de réactions dans le cerveau.

bien entendu, les evenement provoquent les troubles, et il ne s'agit pas d'administrer des medicaments sans aucun autre type de suivi.

Je pense juste que les psys de la facon dont on les connait aujourd'hui ont largement fait leur temps.... ils n'ont pas su du tout integrer la neuro-science dans leurs methodes de traitement, et il est temps qu'un nouveau type de suivi voie le jour.
 
Azul,

vue que vous maitrisez machaAllah l'anglais voici un article qui donne une interview sur le sujet, on usa c'est un sujet-in, en Allemagne et japon aussi

donc il ne faut pas s'étonner que certains collegues chercheurs, ou au travailent publient bcp plus de papers que normale et arrivent a travailes plus que le normale lol il sont en mode haram brain doping ,,,
http://www.nytimes.com/2008/03/09/weekinreview/09carey.html?_r=1

Thanks a lot ;)

Pour exemple, ici en Suisse il est connu que la population la plus touchee par la cocaine est les banquiers et cadres des professions financieres (par exemple courtiers en bourse), car cette subtance les dope et ameliore leurs rendement, leur audace, leur agressivite, choses tres importantes dans ce milieu hyper competitif.
 
je ne sais pas comment ca se passe ailleurs, mais dans mon universite la psychologie est la filiere-poubelle ou on atterit quand on a aucune idee de ce qu'on va faire de sa vie ou qu'on a rate un autre cursus. En particulier, la psychologie aujourd'hui manque cruellement d'approche scientifique rigoureuse. En general un psy va se contenter d'antidepresseurs ou anxiolitiques comme "soutien" a la psychotherapie, mais ca reste tres foireux car un antidepresseur, des qu'on l'arrete on retombe dans la depression.... ces medicaments sont des pansements et aucun psy n'a comme focus qu'une solution a un desequilibre psychique passe par la bonne solution (durable) a l'equation du desequilibre cerebral.

Pourtant l'approche de Freud était experimentale, il aurait fallu continuer dans un esprit de "recherche". Espérons que ça se débloque.
( A moins que les recherches ne soient utilisés que pour améliorer les techniques de marketing ou de politique)
 
bien entendu, les evenement provoquent les troubles, et il ne s'agit pas d'administrer des medicaments sans aucun autre type de suivi.

Je pense juste que les psys de la facon dont on les connait aujourd'hui ont largement fait leur temps.... ils n'ont pas su du tout integrer la neuro-science dans leurs methodes de traitement, et il est temps qu'un nouveau type de suivi voie le jour.

Oui, et même dans la vie courante, il faudrait faire des recherche sur ce qui rend les gens heureux ou malheureux. Pas sur que la société soit engagé dans la bonne voie quand on voit la tronche des gens dans le métro le matin.
 
Pourtant l'approche de Freud était experimentale, il aurait fallu continuer dans un esprit de "recherche". Espérons que ça se débloque.
( A moins que les recherches ne soient utilisés que pour améliorer les techniques de marketing ou de politique)

Freud etait un medecin, un scientifique, avant d'etre un psychanaliste. Il a ete le premier a utiliser la cocaine dans des buts medicaux (anesthesie, antidouleur), et donc comme tu dis un experimentateur. Mais peu de ses "disciples" ont suivi sa demarche experimentale et scientifique et sont restes a ce qui a la fin du XIXeme etait effectivement la pointe du developpement scientifique et medical, alors qu'aujourd'hui c'est clairement desuet... comme si physiciens continuaient a croire au monde selon Newton en ne tenant pas compte des decouvertes d'Einstein et de Planck!
 
Freud etait un medecin, un scientifique, avant d'etre un psychanaliste. Il a ete le premier a utiliser la cocaine dans des buts medicaux (anesthesie, antidouleur), et donc comme tu dis un experimentateur. Mais peu de ses "disciples" ont suivi sa demarche experimentale et scientifique et sont restes a ce qui a la fin du XIXeme etait effectivement la pointe du developpement scientifique et medical, alors qu'aujourd'hui c'est clairement desuet... comme si physiciens continuaient a croire au monde selon Newton en ne tenant pas compte des decouvertes d'Einstein et de Planck!

J'aurais carrément dit au temps d'Aristote, il est possible que la séparation du cerveau (ou de la pensé) en entités comme le moi le surmoi etc.. soient totalement a coté de la réalité.

Il a raisonné a partir des éléments qu'il avait, maintenant il faudrait intégrer toutes les connaissances que l'on a acquis depuis, et au moins proposer un nouveau modèle.
 
Pour retourner plus sur ton sujet, je trouve qu'ils devraient étudier également les addictions hors drogues, comme les jeux d'argent, les jeux video, la télévison, l'internet (les forums, les chats, les infos, les trucs comme second life, etc...)

L'autre jour ils ont montré une émission sur des gens qui passent la totalité de leur temps sur Second life et délaissent totalement leur famille.
 
Azul,

voila un autre sujet qui m'intéresse le plus depuis 5 ans, le Brain doping.

je me suis pose la question comment ca se fait que on dans les competions sportifs on a une commite qui controle de doppage physiques : muscles etc.

or dans les compétions intellectuelles : recherche, olympia des mathematiques, recherches scientifiques, develppement, carriere, management, bourse, ..etc on a jamais une instance qui controle et interdit le brain doping, concours d'intellingence,

je me pose la question : la méritocratie vs. brain doping

pourquoi le dopage physique est un tabou haram, alors que brain doping est halale ?

Azul,

il y 2 domaines les religieux et le médical.

Au niveau religieux est considérée illicite toute substance qui modifie le comportement d'un individu, l'islam autorise à titre exeptionnel les médicaments qui provoquent ces modifications du comportement si et seulement SI ils sont administrés dans le but de soigner une maladie ou apaiser une douleur corporelle.

Au niveau médical le dopage "physique" est interdit à cause des conséquences que cela engendre pour l'individu(maladies du foie, diabète, cancer, sterilité, problèmes cardiaques,...) et cela dit en passant la loi l'interdit justement pour ces raisons.Si tu te fais attrapper avec de la testostèrone sans ordonnance je peux te dire que tu te retrouve direct au tribunal...

Je ne suis pas un spécialiste du "brain dopping" et d'ailleurs je ne sais même pas si aujourd'hui la médecine a repertorié des conséquences sur la santé lié à cela.Mais pour répondre à la question par rapport à savoir si c'est licite au niveau de la religion, tout dépend de quel produit dont il est question car à partir du moment ou le produit modifie le comportement de l'individu(pas les capacité mais bien le comportement) il est considéré comme illicite, haram.

Pour en revenir au dopage "physique" oui certains produits sont haram car ils modifie le comportement, je peux te dire que pendant une cure de testostèrone tu n'es pas du tout pareil...

Donc effectivement le "brain dopping" fais beaucoup moins de bruit car on voit beaucoup plus les resultat negatif du dopage physique qui sont des dogmes démontrés par la science contrairement au "brain dopping"".
 
tu met le doigt sur un point extrement important! Pourquoi une personne sera addictive a une substance plutot qu'une autre? Les psy vont parler d'histoire personnelle, mais les neurologues auront surement une reponse plus complete a apporter en decortiquant les mecanismes cerebraux de la motivation

Pour réagir a ce point, je dirais que l'addiction de certaines substances sont lié au fait de refuser de renoncer à un acquis nous rendant plus performant ou encore nous permettant une sensation recherchée.

Par exemple demander à un sportif de haut niveau de renoncer à ses cures qui il faut le rappeller lui permettent d'augmenter ses capacités de façon importante c'est comme si je demandais à une personne qui a ses 2 jambes de renoncer a une de ces jambes et de se débrouiller avec 1 seule jambe...pensez vous qu'il vas y renoncer facilement?
Parallèlement depuis qu'ils sont nés les individus qui ont 2 jambes ne se posent pas la question de savoir si ils seraient mieux avec 3 jambes, tu comprends ou je veux en venir?

Le mental developpe l'addiction à partir du moment ou il assimile une sensation même artificielle et ephèmère comme ACQUISE.
Evidemment en fonction de la sensation recherchée par chacun l'addiction peut etre differente, par exemple un accros a la testostèrone ne sera pas forcemment accroc à la cocaine et vice et versa.
 
Pour retourner plus sur ton sujet, je trouve qu'ils devraient étudier également les addictions hors drogues, comme les jeux d'argent, les jeux video, la télévison, l'internet (les forums, les chats, les infos, les trucs comme second life, etc...)

L'autre jour ils ont montré une émission sur des gens qui passent la totalité de leur temps sur Second life et délaissent totalement leur famille.

Suite à mon post je rejoins complètement l'avis de parhazard car ce sont d'autres exemples qui illustent parfaitement ce que j'expliquais concernant l'addiction à des sensations que le mental juge commes acquises et indipensables pour son equilibre.
 
Pour retourner plus sur ton sujet, je trouve qu'ils devraient étudier également les addictions hors drogues, comme les jeux d'argent, les jeux video, la télévison, l'internet (les forums, les chats, les infos, les trucs comme second life, etc...)

L'autre jour ils ont montré une émission sur des gens qui passent la totalité de leur temps sur Second life et délaissent totalement leur famille.

A long terme on en arrivera a comprendre ce type d'addiction, mais pour mettre à nu le mecanisme rudimentaire, il faudra en passer par le décryptage d'une addiction "simple" comme l'effet de la cocaine sur un cerveau de souris puis d'humain.

Car les addictions liés non pas à des substances administrées mais à des dirons-nous "actions"(jeu video, internet, casino), totalement spécifiques à l'homme, ne pourront être que mieux décryptées quand on saura quels mécanismes physiques/chimiques cérébraux sont mis en jeu pour pouvoir les cibler directement.

Bref un parcours classique de recherche fondamentale.
 
Pour réagir a ce point, je dirais que l'addiction de certaines substances sont lié au fait de refuser de renoncer à un acquis nous rendant plus performant ou encore nous permettant une sensation recherchée.

Par exemple demander à un sportif de haut niveau de renoncer à ses cures qui il faut le rappeller lui permettent d'augmenter ses capacités de façon importante c'est comme si je demandais à une personne qui a ses 2 jambes de renoncer a une de ces jambes et de se débrouiller avec 1 seule jambe...pensez vous qu'il vas y renoncer facilement?
Parallèlement depuis qu'ils sont nés les individus qui ont 2 jambes ne se posent pas la question de savoir si ils seraient mieux avec 3 jambes, tu comprends ou je veux en venir?

Le mental developpe l'addiction à partir du moment ou il assimile une sensation même artificielle et ephèmère comme ACQUISE.
Evidemment en fonction de la sensation recherchée par chacun l'addiction peut etre differente, par exemple un accros a la testostèrone ne sera pas forcemment accroc à la cocaine et vice et versa.

Analyse très intéressante. Bien entendu la spécificité du monde du sport de haute compétition est l'hyper-competitivité qui rend la performance maximale non pas un objectif à atteindre mais un prérequis. Avec l'augmentation des enjeux, tous les moyens pour maintenir le niveau deviennent bons à prendre, et la dépendance doit agir au niveau de la sensation de se sentir surdéveloppé, et le sportif ne peut juste plus accepter de revenir en arrière.

Fait intéressant en parlant de sport. En parlant avec une connaissance qui a été footballeur américain semi-pro, j'ai appris une chose qui m'a intriguée: d'après lui un sport violent en lui-même, hors substances qu'on peut ingérer, est déjà une drogue en soi: les joueurs de ces sports s'habituent à ressentir un très haut niveau de sensations, une forme de vivacité extrême etune sensation d'avoir les sens éveillés à l'extrême, et la "vie normale" est si pauvre en ses sensations extrêmes qu'ils deviennent d'un côté accroc à leur sport et d'un autre côté à d'autres activités générant le même type de sensations fortes (ex: sexe, comportements dangereux au volant, alcool). Que le joueur de foot américain, souvent, après la fin d'une carrière tombait dans des tas d'autres addictions (en particulier substances) et dans ladépression par son corps est si habitué à la sensation de satisfaction et plaisir violent qu'il en est devenu addicted. Un peu les symptômes du drogué qui doit se sevrer...
 
Un peu les symptômes du drogué qui doit se sevrer...

Une étude avait montré que ceux qui arrêtent de fumer peuvent se mettre a boire plus sans vraiment s'en rendre compte, "pour compenser".

Peut être qu'a la base de l'addiction, il y a deja au départ un "manque" naturel que l'individu essai malgré lui de combler par autre chose ?

Ça serrait testable, on pourrait prendre des groupes de souris que l'on met en situation de léger manque naturel (manque d'activité, manque social, ou autre) pour voir suivant les différentes situations, si ils ont une plus forte tendance a l'addiction qu'un group témoin.
 
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