Défiguré gratuitement au cutter

C’était une violence animale, c’était gratuit et il n’y a même pas eu de violence verbale. On a de la chance d’être là, à quelques millimètres près, c’était la carotide ou les yeux… » Dans la salle des pas perdus du tribunal correctionnel, ils sont trois, ce lundi après-midi, à attendre le procès de ceux qui les ont attaqués sans raison à coups de cutter, de poing et de pied dans la nuit de vendredi à samedi, à côté de la préfecture.

Ils sont reconnaissables entre tous : le premier, Nicolas (1), est le plus amoché. Outre l’oeil au beurre noir, il a des points de suture qui partent de l’oreille jusqu’au nez, deux autres balafres tout juste suturées qui traversent son cou en hauteur et en largeur, sans oublier les blessures au dos. « J’ai une centaine de points et, en tout, selon le médecin, 27 contusions et 23 coups de cutter », explique ce néo- Montpelliérain d’une vingtaine d’années. « Il avait la joue ouverte qui tombait, comme un steak », souligne sa soeur, frêle jeune femme, installée depuis peu à Montpellier, elle aussi suturée de manière spectaculaire : deux cicatrices lui traversent l’arcade sourcilière et le cou. Le troisième, un ami, a le bras en écharpe et la main plâtrée : le cutter a arraché son pouce.(...)

http://www.midilibre.com/articles/2...U-JOUR-4-Defigure-gratuitement-au-cutter.php5
MidiLibre, Édition du jeudi 14 août 2008
 
C’était une violence animale, c’était gratuit et il n’y a même pas eu de violence verbale. On a de la chance d’être là, à quelques millimètres près, c’était la carotide ou les yeux… » Dans la salle des pas perdus du tribunal correctionnel, ils sont trois, ce lundi après-midi, à attendre le procès de ceux qui les ont attaqués sans raison à coups de cutter, de poing et de pied dans la nuit de vendredi à samedi, à côté de la préfecture.

Ils sont reconnaissables entre tous : le premier, Nicolas (1), est le plus amoché. Outre l’oeil au beurre noir, il a des points de suture qui partent de l’oreille jusqu’au nez, deux autres balafres tout juste suturées qui traversent son cou en hauteur et en largeur, sans oublier les blessures au dos. « J’ai une centaine de points et, en tout, selon le médecin, 27 contusions et 23 coups de cutter », explique ce néo- Montpelliérain d’une vingtaine d’années. « Il avait la joue ouverte qui tombait, comme un steak », souligne sa soeur, frêle jeune femme, installée depuis peu à Montpellier, elle aussi suturée de manière spectaculaire : deux cicatrices lui traversent l’arcade sourcilière et le cou. Le troisième, un ami, a le bras en écharpe et la main plâtrée : le cutter a arraché son pouce.(...)

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MidiLibre, Édition du jeudi 14 août 2008

Pour regler ce genre de crime, une solution, une justice forte et impitoyable.
 
Et oui pour "passer" dans les médias il auraient du dire que c'était une agression "Christianophobe" :eek::rolleyes:

Ah tiens, ils ont dit qu'ils étaient des Romains hostiles aux chrétiens avant de les tabasser? Ils leur ont demandé ce qu'ils pensaient des actes de pédophilie dans les églises? Ou c'est la question "la rose est elle pour moi" qui te met la puce à l'oreille?
 
C’était une violence animale, c’était gratuit et il n’y a même pas eu de violence verbale. On a de la chance d’être là, à quelques millimètres près, c’était la carotide ou les yeux… » Dans la salle des pas perdus du tribunal correctionnel, ils sont trois, ce lundi après-midi, à attendre le procès de ceux qui les ont attaqués sans raison à coups de cutter, de poing et de pied dans la nuit de vendredi à samedi, à côté de la préfecture.

Ils sont reconnaissables entre tous : le premier, Nicolas (1), est le plus amoché. Outre l’oeil au beurre noir, il a des points de suture qui partent de l’oreille jusqu’au nez, deux autres balafres tout juste suturées qui traversent son cou en hauteur et en largeur, sans oublier les blessures au dos. « J’ai une centaine de points et, en tout, selon le médecin, 27 contusions et 23 coups de cutter », explique ce néo- Montpelliérain d’une vingtaine d’années. « Il avait la joue ouverte qui tombait, comme un steak », souligne sa soeur, frêle jeune femme, installée depuis peu à Montpellier, elle aussi suturée de manière spectaculaire : deux cicatrices lui traversent l’arcade sourcilière et le cou. Le troisième, un ami, a le bras en écharpe et la main plâtrée : le cutter a arraché son pouce.(...)

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MidiLibre, Édition du jeudi 14 août 2008

c'est pas en prison qu'il faut l'envoyer, c'est en hôpital psy !!! :eek:
moi je comprends pas qu'on laisse des psychopathes aussi longtemps dans la nature... :rolleyes:
et il devait pas prendre que du cannabis, pour pisser dehors...
 
bonjour cher internaute la justice n'est pas tellement ce qu'on croi sur le groupe de jeune agresseur 2on été interpellé dont un en prison et l'autre toujour dehor.
cette affaire va avoir 1an au mois d'aout et c'est malheureux mais on diré qu'il faut ètre riche ou une personne connu ou encor médiatiser son histoir.
a l'heure d'aujourd'hui les victime doivent facturé leur soin prendre du temps pour les avocat et tt ce qui sen suit les agrésseur on une deuxièmes chances alors que les victime doivent se batre jusqu'au bout.
 
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