Le Maure
Taza avant Gaza
Le vendredi 22 juillet 2011 un soldat marocain a été tué par un « groupe de terroristes islamistes » qui a pu franchir la frontière terrestre algéro-marocaine au nord-est du Maroc.
Cet incident frontalier constitue la preuve flagrante que l'Etat algérien est en totale déliquescence. Alger refuse de ré-ouvrir ses frontières avec le Maroc, mais elle est aussi incapable d'en assurer l'inviolabilité par des "groupes islamistes", qui circulent en toute liberté et impunité sur son territoire.
Cet incident interpelle également la communauté internationale sur la question de la sous-traitance par les services algériens du terrorisme islamiste à des fins de politique interne et externe, notamment provoquer le Maroc, qui pourrait user de son droit de poursuite en toute légalité internationale si l'Algérie est dans l'incapacité d'assurer la sécurité de ses frontières.
Pour mémoire l'affaire des moines de Tibhirine, exécutés par les services algériens ainsi que de milliers d'algériens par le GIA, une pure création des Services algériens, sont des exemples frappants du rôle de ces services dans des crimes d'Etat et contre l'humanité.
Ne dit-on pas en Algérie que GIA=GIS ?
En vous demandant de bien vouloir publier ce papier. Une réponse par courriel serait appréciée. Merci.
Farid Mnebhi.
Le Post
Cet incident frontalier constitue la preuve flagrante que l'Etat algérien est en totale déliquescence. Alger refuse de ré-ouvrir ses frontières avec le Maroc, mais elle est aussi incapable d'en assurer l'inviolabilité par des "groupes islamistes", qui circulent en toute liberté et impunité sur son territoire.
Cet incident interpelle également la communauté internationale sur la question de la sous-traitance par les services algériens du terrorisme islamiste à des fins de politique interne et externe, notamment provoquer le Maroc, qui pourrait user de son droit de poursuite en toute légalité internationale si l'Algérie est dans l'incapacité d'assurer la sécurité de ses frontières.
Pour mémoire l'affaire des moines de Tibhirine, exécutés par les services algériens ainsi que de milliers d'algériens par le GIA, une pure création des Services algériens, sont des exemples frappants du rôle de ces services dans des crimes d'Etat et contre l'humanité.
Ne dit-on pas en Algérie que GIA=GIS ?
En vous demandant de bien vouloir publier ce papier. Une réponse par courriel serait appréciée. Merci.
Farid Mnebhi.
Le Post