DENT DÉVITALISÉE = DENT TOXIQUE » La dévitalisation dentaire, les toxines et l’infection focale
Le sucre blanc ou roux (mais pas le sucre complet) et donc bien sûr tous les produits qui en contiennent provoquent la carie dentaire. Lorsqu’une carie atteint le nerf, la médecine conventionnelle enseigne à nos dentistes à dévitaliser pour soigner. Cette technique est apparue au début du XXe siècle aux États-Unis avant de se propager dans tout le monde occidental. Elle évite alors d’enlever la dent tout en supprimant la douleur, Mais la douleur constitue aussi un signal d’alarme qui n’est peut-être pas toujours sans intérêt. Bio signifie Vie. En dévitalisant une dent, on place par définition dans le corps, un organe mort : la dent dévitalisée.
La médecine enseigne qu’un organe mort doit être enlevé. La gangrène, par les toxines qu’elle dissémine dans le corps, peut tuer le patient. Notre médecine moderne a fait une exception pour la dent dévitalisée. La dent est très minéralisée et la pâte antiseptique et anti-inflammatoire, mise à l’intérieur du canal dentaire, évite les réactions aiguës de rejet Mais il existe aussi des canaux accessoires inaccessibles aux instruments de soins, donc impossibles à nettoyer. De plus, l’ivoire qui constitue la dent est une éponge contenant des millions de petits canaux (les tubulis dentinaires) suffisamment gros pour y nicher des germes toxiques hors d’atteinte de tous les antibiotiques et antiseptiques possibles. Des études scientifiques ont montré qu’il était impossible de stériliser la dent dévitalisée qui se révèle donc être inévitablement un réservoir de germes, planté dans l’os de la mâchoire.
La découverte de Weston Price
Au début du siècle aux Etats-Unis, le mécanisme d’intoxication à distance à partir de foyers infectieux, surtout dentaires, donc notamment de dents dévitalisées, a été mis en évidence scientifiquement. Un éminent dentiste, le Professeur Weston Price, eut un doute sur l’innocuité de cette nouvelle pratique de dévitaliser les dents. Etait-elle bien en accord avec le serment d’Hippocrate Primum non nocere (d’abord ne pas nuire) ?
Par de multiples études scientifiques, il mit en évidence la toxicité des dents dévitalisées et le mécanisme d’infection à distance qu’elles provoquaient On nomma ce mécanisme, « l’infection focale ». Certains médecins admirent alors que les dents dévitalisées pouvaient provoquer de multiples maladies.
Puis des détracteurs sont arrivés. Cela arrangeait beaucoup de monde, alors on les a cru et ce savoir s’est plus ou moins perdu. Les travaux sur l’infection focale ne parlent toutefois pas que des dents dévitalisées. Celles ci peuvent laisser aussi persister des zones osseuses toxiques, les cavitations, même après l’extraction de la dent. Les dents de sagesse aussi représentent très souvent des éléments irritatifs, dans nos bouches devenues trop petites. Même le tartre qui est une niche calcifiée de bactéries a des répercussions à distance. Toutefois il vaut mieux éviter les ultrasons pour l’enlever car ils peuvent créer des micro- fractures de la surface dentaire.
Ces mécanismes d’infection focale, notamment à partir des dents dévitalisées apparemment saines, n’ont jamais été reconnus par la majorité des dentistes. Notre dentisterie officielle parle encore aujourd’hui de la « théorie de l’infection focale » et notre médecine n’en tient quasiment jamais compte.
Des faits scientifiques
Il existe indéniablement des travaux scientifiques qui attestent de la toxicité des dents dévitalisées, même si celles-ci ne présentent aucun signe apparent d’infection (signes radiologiques ou douleur). Selon la littérature, il n’existe pas un domaine de la médecine où les relations avec les dents dévitalisées n’aient été évoquées.
Des scientifiques américains voient une corrélation significative entre la propagation du cancer et des maladies de civilisation d’une part et le succès de la dévitalisation dentaire d’autre part.
Un médecin de Grasse a observé depuis 25 ans, sur des centaines de cas médicaux, que ses traitements fonctionnaient bien mieux lorsque les patients avaient fait enlever leurs dents dévitalisées. Le Dr. Davo Koubi avait constaté de même pendant toute sa carrière. Il a d’ailleurs écrit un livre sur le sujet « La santé dans votre bouche ».
Le Dr. George Meinig, un dentiste américain, fondateur de la société américaine d’endodontie (la science des dents dévitalisées) et spécialiste toute sa vie de dévitalisation dentaire, a écrit dernièrement un ouvrage « Root canal cover-up » (traduire root canal par dent dévitalisée) rassemblant les travaux scientifiques américains (Price, Shakman, Billings, Rosenow : bactériologiste de renommée mondiale) sur l’infection focale et arrive à la conclusion que toutes les dents dévitalisées, quelle que soit la qualité de leur traitement, sont des réservoirs bactériens qui empoisonnent l’organisme. Il a envoyé à l’académie de chirurgie dentaire américaine un exposé de ses travaux et leurs conclusions, mais rien ne bouge. Le Dr Bruno Darmon a fait la même chose pour l’académie française de chirurgie dentaire, la CNAM, le Ministère de la santé et le Conseil de l’Ordre. Même résultat pour l’instant
SUITE DE L'article ici: http://www.amessi.org/faut-il-arracher-les-dents-devitalisees#.VBLkbPl5Ppc
sur un blog :http://fibroetmetaux.canalblog.com/archives/2013/01/04/26063813.html d'autres articles analogues sont dispo sur internet, des livres ont été écrit sur le sujet
qu'en pensez vous?
Le sucre blanc ou roux (mais pas le sucre complet) et donc bien sûr tous les produits qui en contiennent provoquent la carie dentaire. Lorsqu’une carie atteint le nerf, la médecine conventionnelle enseigne à nos dentistes à dévitaliser pour soigner. Cette technique est apparue au début du XXe siècle aux États-Unis avant de se propager dans tout le monde occidental. Elle évite alors d’enlever la dent tout en supprimant la douleur, Mais la douleur constitue aussi un signal d’alarme qui n’est peut-être pas toujours sans intérêt. Bio signifie Vie. En dévitalisant une dent, on place par définition dans le corps, un organe mort : la dent dévitalisée.
La médecine enseigne qu’un organe mort doit être enlevé. La gangrène, par les toxines qu’elle dissémine dans le corps, peut tuer le patient. Notre médecine moderne a fait une exception pour la dent dévitalisée. La dent est très minéralisée et la pâte antiseptique et anti-inflammatoire, mise à l’intérieur du canal dentaire, évite les réactions aiguës de rejet Mais il existe aussi des canaux accessoires inaccessibles aux instruments de soins, donc impossibles à nettoyer. De plus, l’ivoire qui constitue la dent est une éponge contenant des millions de petits canaux (les tubulis dentinaires) suffisamment gros pour y nicher des germes toxiques hors d’atteinte de tous les antibiotiques et antiseptiques possibles. Des études scientifiques ont montré qu’il était impossible de stériliser la dent dévitalisée qui se révèle donc être inévitablement un réservoir de germes, planté dans l’os de la mâchoire.
La découverte de Weston Price
Au début du siècle aux Etats-Unis, le mécanisme d’intoxication à distance à partir de foyers infectieux, surtout dentaires, donc notamment de dents dévitalisées, a été mis en évidence scientifiquement. Un éminent dentiste, le Professeur Weston Price, eut un doute sur l’innocuité de cette nouvelle pratique de dévitaliser les dents. Etait-elle bien en accord avec le serment d’Hippocrate Primum non nocere (d’abord ne pas nuire) ?
Par de multiples études scientifiques, il mit en évidence la toxicité des dents dévitalisées et le mécanisme d’infection à distance qu’elles provoquaient On nomma ce mécanisme, « l’infection focale ». Certains médecins admirent alors que les dents dévitalisées pouvaient provoquer de multiples maladies.
Puis des détracteurs sont arrivés. Cela arrangeait beaucoup de monde, alors on les a cru et ce savoir s’est plus ou moins perdu. Les travaux sur l’infection focale ne parlent toutefois pas que des dents dévitalisées. Celles ci peuvent laisser aussi persister des zones osseuses toxiques, les cavitations, même après l’extraction de la dent. Les dents de sagesse aussi représentent très souvent des éléments irritatifs, dans nos bouches devenues trop petites. Même le tartre qui est une niche calcifiée de bactéries a des répercussions à distance. Toutefois il vaut mieux éviter les ultrasons pour l’enlever car ils peuvent créer des micro- fractures de la surface dentaire.
Ces mécanismes d’infection focale, notamment à partir des dents dévitalisées apparemment saines, n’ont jamais été reconnus par la majorité des dentistes. Notre dentisterie officielle parle encore aujourd’hui de la « théorie de l’infection focale » et notre médecine n’en tient quasiment jamais compte.
Des faits scientifiques
Il existe indéniablement des travaux scientifiques qui attestent de la toxicité des dents dévitalisées, même si celles-ci ne présentent aucun signe apparent d’infection (signes radiologiques ou douleur). Selon la littérature, il n’existe pas un domaine de la médecine où les relations avec les dents dévitalisées n’aient été évoquées.
Des scientifiques américains voient une corrélation significative entre la propagation du cancer et des maladies de civilisation d’une part et le succès de la dévitalisation dentaire d’autre part.
Un médecin de Grasse a observé depuis 25 ans, sur des centaines de cas médicaux, que ses traitements fonctionnaient bien mieux lorsque les patients avaient fait enlever leurs dents dévitalisées. Le Dr. Davo Koubi avait constaté de même pendant toute sa carrière. Il a d’ailleurs écrit un livre sur le sujet « La santé dans votre bouche ».
Le Dr. George Meinig, un dentiste américain, fondateur de la société américaine d’endodontie (la science des dents dévitalisées) et spécialiste toute sa vie de dévitalisation dentaire, a écrit dernièrement un ouvrage « Root canal cover-up » (traduire root canal par dent dévitalisée) rassemblant les travaux scientifiques américains (Price, Shakman, Billings, Rosenow : bactériologiste de renommée mondiale) sur l’infection focale et arrive à la conclusion que toutes les dents dévitalisées, quelle que soit la qualité de leur traitement, sont des réservoirs bactériens qui empoisonnent l’organisme. Il a envoyé à l’académie de chirurgie dentaire américaine un exposé de ses travaux et leurs conclusions, mais rien ne bouge. Le Dr Bruno Darmon a fait la même chose pour l’académie française de chirurgie dentaire, la CNAM, le Ministère de la santé et le Conseil de l’Ordre. Même résultat pour l’instant
SUITE DE L'article ici: http://www.amessi.org/faut-il-arracher-les-dents-devitalisees#.VBLkbPl5Ppc
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