Dépression

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion tigrou92
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Salam à tous
Je traverse une mauvaise période en ce moment, j’ai de grosse insomnies, je pleure beaucoup, anxiété généralisée. Un vrai cauchemars.
Cette nuit j’ai dormie 1h30 et pourtant j’ai pris un anxiolytique qui est xanax.
Cet état me culpabilise j’ai 4 enfants et ils sont triste de me voir dans cet état, je suis incapable de m’occuper d’eux 🥲
Le psychiatre m’a prescrit des médicaments et j’ai du mal à accepter cela. J’ai peur des dépendances
Avez-vous traversée cette épreuve?
Merci de me répondre, cela m’aiderai beaucoup 🌹🌹
 
Salam à tous
Je traverse une mauvaise période en ce moment, j’ai de grosse insomnies, je pleure beaucoup, anxiété généralisée. Un vrai cauchemars.
Cette nuit j’ai dormie 1h30 et pourtant j’ai pris un anxiolytique qui est xanax.
Cet état me culpabilise j’ai 4 enfants et ils sont triste de me voir dans cet état, je suis incapable de m’occuper d’eux 🥲
Le psychiatre m’a prescrit des médicaments et j’ai du mal à accepter cela. J’ai peur des dépendances
Avez-vous traversée cette épreuve?
Merci de me répondre, cela m’aiderai beaucoup 🌹🌹
Bonjour,
N'ayez surtout pas peur des médocs, il faut les prendre pour pouvoir sortir de cette dépression, une amine était dans la même situation que vous et elle a pu s'en sortir. Les AD commencent à agir au bout de 3 semaines.
 
Plein de force à vous
J'ai traversé une période de dépression suite à une situation difficile il y a 10 ans. J'ai pris des antidépresseurs ( Fluctine) faible dose pendant 3 mois. Ce qui m'a aidée est de parler à une professionnelle.
La situation précise a fini par s'améliorer puis se résoudre et j'ai vaincu cet épisode difficile. J'en ai gardé une grande anxiété.
Du stress au travail m'a provoqué un épuisement il y a 2 ans et je me suis arrêtée 2 semaines de travailler. J'amenais mes 2 filles à l'école et je dormais/ pleurais pas mal aussi.
Ce temps a été nécessaire
Je pense qu'il est parfois nécessaire de se faire aider et vous n'êtes pas responsable de votre état.
Savez- vous ce qui a déclanché cette période de dépression? Est- ce qu'il y a un élément déclancheur ou alors c'est une accumulation?
Ça m'a aidé de faire ensuite un travail sur mes émotions et ça m'a beaucoup aidé pour baisser mon stress et mon anxiété. Je voyais une professionnelle 2 fois par mois et maintenant je me sens très sereine, apaisée. Je pense sincèrement qu'après la pluie vient le beau temps même si la guérison prend du temps
 
Merci pour votre message plein d’espoir 🙏🏻

Je pense qu’il y’a eu une accumulation de fatigue, déception, énervement …

Nous sommes partis en vacances et malheureusement cela a été pire en terme de fatigue, pression , stress … je suis revenue encore plus épuisée moralement.

Le soir de notre retour, j’ai eu une insomnie et les jours qui ont suivis pareil.

Après sont venue les pleurs, le sentiment de profond de tristesse, l’anxiété.

Le psychiatre m’a prescrit un anxiolytique, un anti dépresseurs et un autre médicament qui traite les troubles bipolaires.

J’ai beaucoup pleuré à l’annonce du traitement mais au fond je sais que je dois l’accepter pour m’en sortir. Aussi, je serai en arrêt maladie. En parallèle je fais une psychothérapie
 
Merci pour votre message plein d’espoir 🙏🏻

Je pense qu’il y’a eu une accumulation de fatigue, déception, énervement …

Nous sommes partis en vacances et malheureusement cela a été pire en terme de fatigue, pression , stress … je suis revenue encore plus épuisée moralement.

Le soir de notre retour, j’ai eu une insomnie et les jours qui ont suivis pareil.

Après sont venue les pleurs, le sentiment de profond de tristesse, l’anxiété.

Le psychiatre m’a prescrit un anxiolytique, un anti dépresseurs et un autre médicament qui traite les troubles bipolaires.

J’ai beaucoup pleuré à l’annonce du traitement mais au fond je sais que je dois l’accepter pour m’en sortir. Aussi, je serai en arrêt maladie. En parallèle je fais une psychothérapie
Bonjour
On dirait une sorte de "Burn out" parental....
(C'est pas un diagnostic ) mais vous semblez épuisée..quoi de plus normal par rapport à la vie qu'on mène avec une belle famille de 4 enfants...
Reposez- vous, vous avez sûrement besoin de cette coupure et ça vaut la peine de prendre soin de soi pour pouvoir être là pour vos proches! 🌹
 
C’est exactement cela …je suis à bout !

Mon fils de 5 ans et ma dernière de 20 mois me prenne tout mon énergie.

Je prends du recul et j’accepte petit à petit ce qui m’arrive, Mon état psychique, Ma baisse de forme, mon visage marqué.

Cet épreuve me fais beaucoup réfléchir aux causes. J’ai l’impression que C’est bien plus qu’un épuisement.

Je dois aussi guérir certains traumatismes, phobies … car avec l’âge toutes les pathologies se sont amplifiés. Ávec le temps Je suis devenue fragilisée.

merci encore 🌸
 
C’est exactement cela …je suis à bout !

Mon fils de 5 ans et ma dernière de 20 mois me prenne tout mon énergie.

Je prends du recul et j’accepte petit à petit ce qui m’arrive, Mon état psychique, Ma baisse de forme, mon visage marqué.

Cet épreuve me fais beaucoup réfléchir aux causes. J’ai l’impression que C’est bien plus qu’un épuisement.

Je dois aussi guérir certains traumatismes, phobies … car avec l’âge toutes les pathologies se sont amplifiés. Ávec le temps Je suis devenue fragilisée.

merci encore 🌸

Tu es avec leur père?
 
Oui je suis avec leur père

Son soutien est instable

Il y’a des moments où il me dit comprendre et parfois je le
Sens agacé de me voir dans cet état …

Selon lui j’ai tout pour être heureuse et je nai pas le droit d’être começa pour mes enfants, cela me montre qu’il ignore tout de la maladie ou alors il pense que cela va me provoquer un déclic.

La rentrée des classe approche et il commence un nouveau travail, îl est inquiet, ce que je comprend tout à fait. Je suis moi même paniqué de la situation.
 
C’est exactement cela …je suis à bout !

Mon fils de 5 ans et ma dernière de 20 mois me prenne tout mon énergie.

Je prends du recul et j’accepte petit à petit ce qui m’arrive, Mon état psychique, Ma baisse de forme, mon visage marqué.

Cet épreuve me fais beaucoup réfléchir aux causes. J’ai l’impression que C’est bien plus qu’un épuisement.

Je dois aussi guérir certains traumatismes, phobies … car avec l’âge toutes les pathologies se sont amplifiés. Ávec le temps Je suis devenue fragilisée.

merci encore 🌸
Le positif c'est que vous vous faites aider. Vous agissez, n'êtes pas passive.
 
Un enfant de 20 mois ça fatigue beaucoup...si votre grand a 5 ans vous avez dû accumuler la fatigue de ces grossesses rapprochées...ils vont grandir, s'autonomiser et petit à petit vous aurez plus de temps pour respirer
Avez- vous de la famille ou des amis qui peuvent vous soutenir?
Pour le papa demandez- lui de l'aide aussi. Un jour ça sera lui qui aura besoin de vous et ce sont aussi ses enfants...demandez- lui des choses concrètes qui pourraient vous soulager
 
Salam, salut, shalom,

-Coran (ou bible ou autre selon votre spiritualité mais faut pas commencer à parler aux arbres ou mettre ses mains sur des pierres ou des trucs inertes c'est pour les débiles) ,
-sport: c'est essentiel sinon tout le reste ne sert à rien (sauf le coran bien sur)
-hobbies qui font apprendre des trucs, qui développent le raisonnement et surtout qui ne sont pas une contrainte mais un plaisir
-Permettre un tout petit peu de trucs abrutissants (films, spectacles, bladi...)
-ne pas trop en parler à des gens qui ne t'aideront pas (collègues, amis pas trop proches, famille en dehors du mari...)
-bon équilibre sexuel de sorte à ne subir aucune frustration dans ce domaine
-alimentation équilibrée également car il sera nécessaire de faire attention sans subir aucune frustration (beaucoup de fibres et manger des choses qui ont du goût uniquement)
-Laisser le temps au temps. Tu te réveilleras avec des sueurs froides quelques fois et cà n'est pas grave mais faut pas faire de crise de panique car faut juste laisser passer.
-Lâcher prise et s'autoriser à pleurer, dormir le temps nécessaire sans contraintes puis aller de l'avant des que ca passe
-Ne pas lâcher ses routines afin de garder le contrôle sur sa vie, son environnement, ses responsabilités.
-Ne pas chercher de responsables ni chez soi ni chez l'autre....ca fait partie de la vie, tout passe
-Ne pas rester exposé à ce qui cause le mal être et apprendre à en être dégouté pour ne pas laisser d'interactions possibles....

Bon les maitres mots sont rechercher la normalité, éviter la frustration, ne pas s'isoler, ne pas s'exposer plus qu'il ne faut.
 
Un enfant de 20 mois ça fatigue beaucoup...si votre grand a 5 ans vous avez dû accumuler la fatigue de ces grossesses rapprochées...ils vont grandir, s'autonomiser et petit à petit vous aurez plus de temps pour respirer
Avez- vous de la famille ou des amis qui peuvent vous soutenir?
Pour le papa demandez- lui de l'aide aussi. Un jour ça sera lui qui aura besoin de vous et ce sont aussi ses enfants...demandez- lui des choses concrètes qui pourraient vous soulagerj’ai mes parents mais je ne veux pas les inquiéter alors j’essaie de ne pas trop leur raconter.
J’ai mes parents hamdoullah mais je ne veux pas les inquiéter alors je ne leur raconte pas trop.

J’ai une amie proche à qui je me suis confié et je l’ai regretté car elle m’a dit une phrase qui m’a encore plus angoissé, en gros des gens peuvent se suicider quand il ont ce genre de symptômes.

Mes filles ados participent davantage aux tâches de la maison, elles prennent des initiatives pas comme avant.

le papa ne refuse pas si je lui demande de l’aide, mon problème c est que je ne sais pas déléguer, je travaille déçue car là je n’ai plus choix
 
Salam, salut, shalom,

-Coran (ou bible ou autre selon votre spiritualité mais faut pas commencer à parler aux arbres ou mettre ses mains sur des pierres ou des trucs inertes c'est pour les débiles) ,
-sport: c'est essentiel sinon tout le reste ne sert à rien (sauf le coran bien sur)
-hobbies qui font apprendre des trucs, qui développent le raisonnement et surtout qui ne sont pas une contrainte mais un plaisir
-Permettre un tout petit peu de trucs abrutissants (films, spectacles, bladi...)
-ne pas trop en parler à des gens qui ne t'aideront pas (collègues, amis pas trop proches, famille en dehors du mari...)
-bon équilibre sexuel de sorte à ne subir aucune frustration dans ce domaine
-alimentation équilibrée également car il sera nécessaire de faire attention sans subir aucune frustration (beaucoup de fibres et manger des choses qui ont du goût uniquement)
-Laisser le temps au temps. Tu te réveilleras avec des sueurs froides quelques fois et cà n'est pas grave mais faut pas faire de crise de panique car faut juste laisser passer.
-Lâcher prise et s'autoriser à pleurer, dormir le temps nécessaire sans contraintes puis aller de l'avant des que ca passe
-Ne pas lâcher ses routines afin de garder le contrôle sur sa vie, son environnement, ses responsabilités.
-Ne pas chercher de responsables ni chez soi ni chez l'autre....ca fait partie de la vie, tout passe
-Ne pas rester exposé à ce qui cause le mal être et apprendre à en être dégouté pour ne pas laisser d'interactions possibles....

Bon les maitres mots sont rechercher la normalité, éviter la frustration, ne pas s'isoler, ne pas s'exposer plus qu'il ne faut.
Merci pour tout ces conseils

Les crises de panique c’est exactement ça qui me gâche la vie, je vais m’informer pour comprendre ce mécanisme

La nuit quand je fais des crises, je tremble, je m’imagine devenir folle, surtout si je ne trouve pas le sommeil, je stress et là c’est l’insomnie … Un vrai cauchemars
 
Merci pour tout ces conseils

Les crises de panique c’est exactement ça qui me gâche la vie, je vais m’informer pour comprendre ce mécanisme

La nuit quand je fais des crises, je tremble, je m’imagine devenir folle, surtout si je ne trouve pas le sommeil, je stress et là c’est l’insomnie … Un vrai cauchemars
Et bien tu te lèves et tu fais des trucs que tu ferais la journée sans réveiller les autres.
Ce qu'il ne faut pas faire c'est rester dans son lit à essayé à tout prix de trouver le sommeil car tu vas justes encore plus cogiter, angoisser et souffrir.
tu seras très vite fatiguée et retourneras te coucher pour t'endormir.
 
J’ai mes parents hamdoullah mais je ne veux pas les inquiéter alors je ne leur raconte pas trop.

J’ai une amie proche à qui je me suis confié et je l’ai regretté car elle m’a dit une phrase qui m’a encore plus angoissé, en gros des gens peuvent se suicider quand il ont ce genre de symptômes.

Mes filles ados participent davantage aux tâches de la maison, elles prennent des initiatives pas comme avant.

le papa ne refuse pas si je lui demande de l’aide, mon problème c est que je ne sais pas déléguer, je travaille déçue car là je n’ai plus choix
Votre amie s'inquiète pour vous sûrement mais n'a pas du tout de psychologie :confused: si toutes les personnes qui traversent un passage compliqué en arrivaient à de telles extrêmités ils n'y aurait plus beaucoup de monde...
Je vous comprends dans le fait que vous avez de la peine à demander de l'aide, vous êtes habituée à vous occuper des autres. Heureusement vous avez des gens, un mari, essayer de leur déléguer des tâches qui vous soulageraient...vos parents je comprends que vous ne voulez pas les inquiéter...vous pouvez essayer de leur demander de garder les petits une journée pour souffler si ils le peuvent..pas obligé de leur dire que vous êtes en dépression. Encouragez vos grandes filles, remerciez- les pour les petites choses qu'elles peuvent faire...elles apprennent c'est bien pour elles...

Imaginez- vous si vous aviez une jambe cassée...vous auriez besoin d'aide et de vous soigner. C'est la même chose pour votre santé psychique..il faut du temps et ça ira de mieux en mieux.
Réfléchir sur ce qui a causé cette situation...Il y a des choses sûrement sur lesquelles vous pouvez lâcher du lest...tout ne peut pas être parfait tout le temps avec un enfant en bas-âge..
 
Et bien tu te lèves et tu fais des trucs que tu ferais la journée sans réveiller les autres.
Ce qu'il ne faut pas faire c'est rester dans son lit à essayé à tout prix de trouver le sommeil car tu vas justes encore plus cogiter, angoisser et souffrir.
tu seras très vite fatiguée et retourneras te coucher pour t'endormir.
Tu as bien cerné mon problème, je me fais souffrir á vouloir dormir à tout prix.
Ça me fais du bien d’être comprise
 
Votre amie s'inquiète pour vous sûrement mais n'a pas du tout de psychologie :confused: si toutes les personnes qui traversent un passage compliqué en arrivaient à de telles extrêmités ils n'y aurait plus beaucoup de monde...
Je vous comprends dans le fait que vous avez de la peine à demander de l'aide, vous êtes habituée à vous occuper des autres. Heureusement vous avez des gens, un mari, essayer de leur déléguer des tâches qui vous soulageraient...vos parents je comprends que vous ne voulez pas les inquiéter...vous pouvez essayer de leur demander de garder les petits une journée pour souffler si ils le peuvent..pas obligé de leur dire que vous êtes en dépression. Encouragez vos grandes filles, remerciez- les pour les petites choses qu'elles peuvent faire...elles apprennent c'est bien pour elles...

Imaginez- vous si vous aviez une jambe cassée...vous auriez besoin d'aide et de vous soigner. C'est la même chose pour votre santé psychique..il faut du temps et ça ira de mieux en mieux.
Réfléchir sur ce qui a causé cette situation...Il y a des choses sûrement sur lesquelles vous pouvez lâcher du lest...tout ne peut pas être parfait tout le temps avec un enfant en bas-âge..
Votre message me réconforte 🙏🏻
 
La rentrée des classe approche et il commence un nouveau travail, îl est inquiet, ce que je comprend tout à fait. Je suis moi même paniqué de la situation.

Salam,


Tout le monde connaît du stress par rapport aux situations de la vie. Toi tu le parais à un degré bien au-dessus de la moyenne.
Ce n'est pas toi qui commence ce nouveau travail mais tu appréhendes cette situation au point de paniquer.

C'est le signe d'une nature anxieuse en générale. Ça doit être très difficile à vivre et j'imagine que ça remonte à l'enfance.

Ça prendra donc un certain temps à travailler dessus car c'est ancré dans ta personnalité.


Il me semble que les thérapies cognitivo-comportementales donnent de bons résultats à ce niveau. Essaie de trouver un psychiatre qui les pratique pour pouvoir être prise en charge par l'assurance maladie. Si vous avez un peu d'argent de côté, faites le avec un psychologue. Quelques séances pour voir si ça marche, ça peut valoir le coup (votre mutuelle prends peut être même en charge quelques séances par an, regarde bien).

L'idée est de te confronter aux situations stressantes (qui sont visiblement très nombreuses chez toi), de les analyser et de les désamorcer.


Par exemple, ce nouveau travail :

- ce n'est pas toi qui y est confrontée mais ton mari. Tu le laisses gérer, c'est sa vie, c'est sa charge, c'est son stress. Il doit appréhender mais c'est normal, c'est le lot de toute personne qui reprend un emploi. Le "pire" qui peut arriver est qu'il ait à en changer pour X Y raisons. Et bien si ça arrive, il en changera et il y arrivera, comme 80% des gens. S'il se maintient, tu te seras fait un sang d'encre pour rien. Fais lui confiance et encourage-le. Tu ne peux rien faire d'autre.


Essaie de considérer ceci : tu te contentes de faire ce que tu dois faire et qui est dans tes capacités : élever tes enfants, assumer ta part dans la gestion du foyer, prendre soin de ta famille, travailler si tu es en capacité (faire les tâches qui t'incombent et bien t'entendre avec tes collègues), le quitter sans scrupules si l'environnement est malsain et chercher autre chose.


Dis toi que tu ne peux et n'a rien faire d'autre. Si tu es croyante, tu t'en remets à Dieu. Certains parlent du fameux "lâcher-prise", nous on l'appelle le "tawakkul" : tu fais ta part du boulot (tout ce que je viens d'énumérer) et le reste, c'est Allah qui s'en occupe. Autrement dit, la réussite de l'un ou de l'autre au travail, des enfants à l'école, vos salaires, le contenu de vos assiettes, votre bonne santé, bref, l'avenir, c'est le domaine d'Allah. Tu peux donc t'ôter toute cette charge mentale sur le futur et profiter de la vie au présent et de tous les bienfaits qui t'ont été accordés.

Pour finir, je pense qu'une des causes principales de l'insomnie, c'est la préoccupation de ne pas avoir achevé quelque chose.
Si tu adoptes cette mentalité qui consiste à te contenter de ce que tu as fait ("j'ai fais ce que j'avais à faire et c'est suffisant") plutôt que de chercher à maîtriser l'impossible ("et si ça se passe pas bien" "et si ceci" "et si cela"...), tu dormiras sur tes deux oreilles.

Ajoute un peu de sport pour une bonne fatigue, et c'est la 🍒 sur le 🍰
 
Salam,


Tout le monde connaît du stress par rapport aux situations de la vie. Toi tu le parais à un degré bien au-dessus de la moyenne.
Ce n'est pas toi qui commence ce nouveau travail mais tu appréhendes cette situation au point de paniquer.

C'est le signe d'une nature anxieuse en générale. Ça doit être très difficile à vivre et j'imagine que ça remonte à l'enfance.

Ça prendra donc un certain temps à travailler dessus car c'est ancré dans ta personnalité.


Il me semble que les thérapies cognitivo-comportementales donnent de bons résultats à ce niveau. Essaie de trouver un psychiatre qui les pratique pour pouvoir être prise en charge par l'assurance maladie. Si vous avez un peu d'argent de côté, faites le avec un psychologue. Quelques séances pour voir si ça marche, ça peut valoir le coup (votre mutuelle prends peut être même en charge quelques séances par an, regarde bien).

L'idée est de te confronter aux situations stressantes (qui sont visiblement très nombreuses chez toi), de les analyser et de les désamorcer.


Par exemple, ce nouveau travail :

- ce n'est pas toi qui y est confrontée mais ton mari. Tu le laisses gérer, c'est sa vie, c'est sa charge, c'est son stress. Il doit appréhender mais c'est normal, c'est le lot de toute personne qui reprend un emploi. Le "pire" qui peut arriver est qu'il ait à en changer pour X Y raisons. Et bien si ça arrive, il en changera et il y arrivera, comme 80% des gens. S'il se maintient, tu te seras fait un sang d'encre pour rien. Fais lui confiance et encourage-le. Tu ne peux rien faire d'autre.


Essaie de considérer ceci : tu te contentes de faire ce que tu dois faire et qui est dans tes capacités : élever tes enfants, assumer ta part dans la gestion du foyer, prendre soin de ta famille, travailler si tu es en capacité (faire les tâches qui t'incombent et bien t'entendre avec tes collègues), le quitter sans scrupules si l'environnement est malsain et chercher autre chose.


Dis toi que tu ne peux et n'a rien faire d'autre. Si tu es croyante, tu t'en remets à Dieu. Certains parlent du fameux "lâcher-prise", nous on l'appelle le "tawakkul" : tu fais ta part du boulot (tout ce que je viens d'énumérer) et le reste, c'est Allah qui s'en occupe. Autrement dit, la réussite de l'un ou de l'autre au travail, des enfants à l'école, vos salaires, le contenu de vos assiettes, votre bonne santé, bref, l'avenir, c'est le domaine d'Allah. Tu peux donc t'ôter toute cette charge mentale sur le futur et profiter de la vie au présent et de tous les bienfaits qui t'ont été accordés.

Pour finir, je pense qu'une des causes principales de l'insomnie, c'est la préoccupation de ne pas avoir achevé quelque chose.
Si tu adoptes cette mentalité qui consiste à te contenter de ce que tu as fait ("j'ai fais ce que j'avais à faire et c'est suffisant") plutôt que de chercher à maîtriser l'impossible ("et si ça se passe pas bien" "et si ceci" "et si cela"...), tu dormiras sur tes deux oreilles.

Ajoute un peu de sport pour une bonne fatigue, et c'est la 🍒 sur le 🍰
Le psychiatre m’a conseillé un livre sur la psychologie de la peur … je n’ai pas encore fini de le lire mais je réalise déjà les causes de mon état, je souffre de trouble panique dû à ma phobie qui est celle de ne pas dormir.

Tu as raison, cela remonte á mon enfance.
Déjà petite j’avais peur de la nuit, j’ai dormi avec mes parents jusqu’à l’âge de 10 ans.

À l’adolescence, je dormais toujours avec ma couette sur la tête.

Des années plus tard, (il y’a 16 ans) mon père a était interné en psychiatrie car il ne dormais plus. Cet événement m’a traumatisé, voir mon père de jour au lendemain dans cet état m’a bouleversé. (Aujourd’hui il est en bonne santé hamdoullah)

De mettre des mots sur mes maux m’apaise… je suis suivie par un psychiatre, je me renseigne, je veux faire un travail sur moi même, pour guérir définitivement de ce mal et je m’en remet à Allah. 🤲

Merci à vous tous pour votre bienveillance 🙏🏻
 
La question principale est : est-ce une dépression réactionnelle transitoire du fait de la charge mentale (enfants, vacances, relation conjugale, etc…) avec donc une prédominance environnement

Ou

Si c’est une dépression parmi d’autres soit passée sous silence avec un terrain anxieux. Si t’en as eu plus de 3 dans ta vie, tu as 90% de chance d’être bipolaire sans même le savoir avec des phases maniaques ou hypomaniaques et des phases dépressives avec sentiment de “vide”.

Les anti-dépresseurs ont une efficacité limitée. 30% des dépressions y résistent (le lsd et la ketamine sous stricte contrôle médical montrent une efficacité élevée face à ces dépressions résistantes). Pire, ils empirent les symptômes. Si tu multiplies les cauchemars, c’est un facteur de gravité à ne pas négliger. Les cauchemars récurrents sont corrélés à un risque majoré d’idéation suicidaire.

Si c’est l’hypothèse deux, cela peut en réalité cacher une forme de bipolarité qu’il faut stabiliser.

La psychothérapie a montré une plus grande efficacité que les anti dépresseurs qui sont svt un pansement sur une jambe de bois.

Le sport est très bénéfique. Pour peu qu’il te reste de l’énergie. Tu tires sur la corde en dormant très (trop?) tard. Les dépressifs dorment svt très tard avec un niveau très bas d’endorphine et de melatonine. A contrario, ils ont un niveau élevé de dopamine voire d’adrénaline. L’adrénaline étant liée au stress et au niveau de cortisol.

Il faut commencer par lever le pied en
1. Déléguant sans croire que tu peux tout gérer. Repose toi sur tes enfants plus âgés et ton mari
2. Dormant à des heures descentes
3. Faisant du sport pour avoir une bonne fatigue et te permettre de mieux dormir
4. Lâchant prise en évitant les pensées obsédantes
5. Sortant de ton carcan familial en prenant l’air en dehors de tes « obligations familiales »
6. Faire des exercices de respiration profonde ou spiritualité sans trop rentrer dans les délires charlatanesques des djinns (tonic ? ) and co (rokkya 1, 2, 3, creed1, 2) tu risques de tourner en rond longtemps pour rien !


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Dernière édition:
La question principale est : est-ce une dépression réactionnelle transitoire du fait de la charge mentale (enfants, vacances, relation conjugale, etc…) avec donc une prédominance environnement

Ou

Si c’est une dépression parmi d’autres soit passée sous silence avec un terrain anxieux. Si t’en as eu plus de 3 dans ta vie, tu as 90% de chance d’être bipolaire sans même le savoir avec des phases maniaques ou hypomaniaques et des phases dépressives avec sentiment de “vide”.

Les anti-dépresseurs ont une efficacité limitée. 30% des dépressions y résistent (le lsd et la ketamine sous stricte contrôle médical montrent une efficacité élevée face à ces dépressions résistantes). Pire, ils empirent les symptômes. Si tu multiplies les cauchemars, c’est un facteur de gravité à ne pas négliger. Les cauchemars récurrents sont corrélés à un risque majoré d’idéation suicidaire.

Si c’est l’hypothèse deux, cela peut en réalité cacher une forme de bipolarité qu’il faut stabiliser.

La psychothérapie a montré une plus grande efficacité que les anti dépresseurs qui sont svt un pansement sur une jambe de bois.

Le sport est très bénéfique. Pour peu qu’il te reste de l’énergie. Tu tires sur la corde en dormant très (trop?) tard. Les dépressifs dorment svt très tard avec un niveau très bas d’endorphine et de melatonine. A contrario, ils ont un niveau élevé de dopamine voire d’adrénaline. L’adrénaline étant liée au stress et au niveau de cortisol.

Il faut commencer par lever le pied en
1. Déléguant sans croire que tu peux tout gérer. Repose toi sur tes enfants plus âgés et ton mari
2. Dormant à des heures descentes
3. Faisant du sport pour avoir une bonne fatigue et te permettre de mieux dormir
4. Lâchant prise en évitant les pensées obsédantes
5. Sortant de ton carcan familial en prenant l’air en dehors de tes « obligations familiales »
6. Faire des exercices de respiration profonde ou spiritualité sans trop rentrer dans les délires charlatanesques des djinns (tonic ? ) and co (rokkya 1, 2, 3, creed1, 2) tu risques de tourner en rond longtemps pour rien !


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D’après le psychiatre je suis l’option 2, effectivement ce n’est pas ma première dépression donc il m’a diagnostiqué bipolaire.

Moi je pensais que c’était un craquage dû à une accumulation. Je ne sais pas ce qui provoque ces dépressions. Ça commence par une anxiété généralisé, je ne dort plus et ensuite la dépression s’installe.

Il a évoqué un traitement qui est un stabilisateur d’humeur pour l’avenir.
 
D’après le psychiatre je suis l’option 2, effectivement ce n’est pas ma première dépression donc il m’a diagnostiqué bipolaire.

Moi je pensais que c’était un craquage dû à une accumulation. Je ne sais pas ce qui provoque ces dépressions. Ça commence par une anxiété généralisé, je ne dort plus et ensuite la dépression s’installe.

Il a évoqué un traitement qui est un stabilisateur d’humeur pour l’avenir.

Une anxiété qui s’installe et est récurrente est souvent le signe précurseur d’une bipolarité.

C’est bien que le médecin ai posé le bon diagnostic car il y a bcp d’errance médicale. Et prendre un antidépresseur dans le cas d’une bipolarité c’est adresser qu’une partie du pb. Cela, sachant qu’à la marge, cela peut s’accompagner d’une composante borderline ou dit « états aux limites ».

On ne devrait pas parler de bipolarité ou de dépression (uni ou bi polaire) mais plutôt de « spectre bipolaire ». Comme dans le cas de l’autisme … qui eux même peuvent avoir un spectre autistique ET un spectre bipolaire.

Quelques clés d’un bon clinicien :

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Une anxiété qui s’installe et est récurrente est souvent le signe précurseur d’une bipolarité.

C’est bien que le médecin ai posé le bon diagnostic car il y a bcp d’errance médicale. Et prendre un antidépresseur dans le cas d’une bipolarité c’est adresser qu’une partie du pb. Cela, sachant qu’à la marge, cela peut s’accompagner d’une composante borderline ou dit « états aux limites ».

On ne devrait pas parler de bipolarité ou de dépression (uni ou bi polaire) mais plutôt de « spectre bipolaire ». Comme dans le cas de l’autisme … qui eux même peuvent avoir un spectre autistique ET un spectre bipolaire.

Quelques clés d’un bon clinicien :

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Merci pour ces précisions, oui aucun autre psychiatre ne m’avait poser de diagnostic.

Il traite l’urgence, c’est à dire l’insomnie mais pas le problème à la racine.

En plus des antidépresseurs et de la psychothérapie, c’est est-ce qu’il y’a d’autres remèdes pour au moins stabiliser la maladie et ne pas à la longue devenir borderline ?
 
Merci pour ces précisions, oui aucun autre psychiatre ne m’avait poser de diagnostic.

Il traite l’urgence, c’est à dire l’insomnie mais pas le problème à la racine.

En plus des antidépresseurs et de la psychothérapie, c’est est-ce qu’il y’a d’autres remèdes pour au moins stabiliser la maladie et ne pas à la longue devenir borderline ?

Les anti dépresseurs et surtout la psychothérapie sont déjà très bien. On ne devient pas borderline. Pas que je sache. Ou on l’est ou on ne l’est pas et l’un des traits caractéristiques est la dépendance et notamment affective mais pas que.

J’aime bcp cette phrase d’un psychanalyste …

« L’amour-propre c’est le contraire de son propre amour » P. Juignet

Par contre, il ne faut pas que tu vois désormais tout par le prisme de ta bipolarité (supposée ou réelle). Churchill et Bourguiba étaient bipolaires. Cela n’a pas empêché leur grand destin. Tu devras composer avec ça … mais une chose est sûre. Plus tôt cela est identifié et stabilisé, mieux c’est.

++
 
Les anti dépresseurs et surtout la psychothérapie sont déjà très bien. On ne devient pas borderline. Pas que je sache. Ou on l’est ou on ne l’est pas et l’un des traits caractéristiques est la dépendance et notamment affective mais pas que.

J’aime bcp cette phrase d’un psychanalyste …

« L’amour-propre c’est le contraire de son propre amour » P. Juignet

Par contre, il ne faut pas que tu vois désormais tout par le prisme de ta bipolarité (supposée ou réelle). Churchill et Bourguiba étaient bipolaires. Cela n’a pas empêché leur grand destin. Tu devras composer avec ça … mais une chose est sûre. Plus tôt cela est identifié et stabilisé, mieux c’est.
Là je suis dépassée
J’ai fais une rokia et d’après le raki je souffrirais d’un mal oculte
Je ne sais plus quoi penser
 
Là je suis dépassée
J’ai fais une rokia et d’après le raki je souffrirais d’un mal oculte
Je ne sais plus quoi penser
Salam ,

Je ne sais pas quoi penser du mal « occulte » si ce n’est que j’ai bcp de mal à y croire . Donc je ne m’étalerais pas sur ce sujet qui me dépasse .
Après si tu étais bipolaire ( comme le suggère zugotino ) je pense que ton psychiatre te l’aurais dit .
Tu as dis il me semble au début de ton post que ton psy t’a prescrit des médicaments . Un bon généraliste t’aurais orienté vers un psychiatre . Si ce n’est pas le cas …. Il est temps d’y penser sérieusement . Chacun son taf et certains médecins à l’ego surdimensionné refusent de passer la main .

Après les traitements antidépresseur et anxiolytique les symptômes nous gâchent la majorité de notre vie ,ne sont pas à négliger mais hélas nécessaire quand on a un déficit en sérotonine par exemple .
De là il faut comprendre que la dépression (le vrai diagnostic et non l’extrapolation d’une période d’humeur triste ) est une maladie donc il ne faut pas culpabiliser . Il serait utile que ton mari le comprenne afin qu’il puisse te soutenir comme il le faut .

Dans un second temps , dans ton cas où les symptômes anxio dépressifs te gâchent la vie et où tu ne t’en sors pas ,( tu dis être dépassée ) la psychothérapie est très importante . Avec cela , tu as un espace ( sécurisant ) et un temps pour verbaliser tes idées ( ce qui permet aussi de structurer ses pensées ) avec un professionnel (et pas avec un proche qui va s’improviser psy de comptoir ) .Même si tu ne sais pas quoi dire ,par où commencer, un bon psychothérapeute va savoir t’aiguiller,orienter l’entretien et t’amener là où il faut .
Bcp la néglige , mais les traitements médicamenteux hélas ne font pas tout même si ils sont parfois indispensables.
C’est un vrai travail sur soi qui est difficile à réaliser seule … il faut accepter de se faire aider parfois .

😊
 
Merci pour ces précisions, oui aucun autre psychiatre ne m’avait poser de diagnostic.

Il traite l’urgence, c’est à dire l’insomnie mais pas le problème à la racine.

En plus des antidépresseurs et de la psychothérapie, c’est est-ce qu’il y’a d’autres remèdes pour au moins stabiliser la maladie et ne pas à la longue devenir borderline ?
Ah bah je n’avais pas vu cette réponse avant de répondre ( en même temps j’ai un peu lu en diagonal :bizarre:)

Et bien en plus de la psychothérapie et les traitements médicamenteux je dirais parfois l’entourage joue bcp . Mais on a pas tous la chance d’être bien entouré :/ .
Et j’ai envie de dire que parfois si ça ne fonctionne pas avec un psychiatre ou psychologue il faut changer aller voir ailleurs car ça reste avant tout des être humains . Et comme toute relation humaine , parfois ça passe parfois ça casse .

Des groupes de paroles ??? Avec des personnes qui sont passées par là et qui s’en sont sortis …
C’est hyper intéressant et enrichissant d’échanger avec des personnes qui sont passées par notre vécu . Ça donne une notre dynamique encore qu’avec celle d’un psychothérapeute.
 
Ah bah je n’avais pas vu cette réponse avant de répondre ( en même temps j’ai un peu lu en diagonal :bizarre:)

Et bien en plus de la psychothérapie et les traitements médicamenteux je dirais parfois l’entourage joue bcp . Mais on a pas tous la chance d’être bien entouré :/ .
Et j’ai envie de dire que parfois si ça ne fonctionne pas avec un psychiatre ou psychologue il faut changer aller voir ailleurs car ça reste avant tout des être humains . Et comme toute relation humaine , parfois ça passe parfois ça casse .

Des groupes de paroles ??? Avec des personnes qui sont passées par là et qui s’en sont sortis …
C’est hyper intéressant et enrichissant d’échanger avec des personnes qui sont passées par notre vécu . Ça donne une notre dynamique encore qu’avec celle d’un psychothérapeute.
C’est tout à fait cela ! Avec les médicaments on est à côté de la plaque et c’est cet effet que je déteste sans compter le risque de dépendance.
Mais j’en ai besoin alors je l’ai prends, ça me permet de calmer mon anxiété et dormir un peu même si c’est pas encore ça 😢

Et surtout de m’occuper de mes enfants.

Je parle beaucoup au psychiatrie, c’est lui qui poser le diagnostic bipolaire, il est musulman et connais notre culture donc cela m’aide profondément.
 
C’est tout à fait cela ! Avec les médicaments on est à côté de la plaque et c’est cet effet que je déteste sans compter le risque de dépendance.
Mais j’en ai besoin alors je l’ai prends, ça me permet de calmer mon anxiété et dormir un peu même si c’est pas encore ça 😢

Et surtout de m’occuper de mes enfants.

Je parle beaucoup au psychiatrie, c’est lui qui poser le diagnostic bipolaire, il est musulman et connais notre culture donc cela m’aide profondément.
Ah donc le diagnostic est posé .
Ok . Maintenant tu n’as pas de choix que vivre avec . C’est ça ou subir …..
Alors pour toi… ta famille, tes enfants comme tu le dis , prends soins de toi et ça passe par prendre ton traitement et maintenir l’équilibre du dosage. Continuer à voir ton thérapeute qui te connaît bien .
Allah chafik et t’apaise .🤲
 
Ah donc le diagnostic est posé .
Ok . Maintenant tu n’as pas de choix que vivre avec . C’est ça ou subir …..
Alors pour toi… ta famille, tes enfants comme tu le dis , prends soins de toi et ça passe par prendre ton traitement et maintenir l’équilibre du dosage. Continuer à voir ton thérapeute qui te connaît bien .
Allah chafik et t’apaise .🤲
Amine
Merci beaucoup
 
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