Pour des croyants ça parait logique d'avoir se genre de discours mais pour ceux qui sont plus rationnel tu leur raconte quoi ?
l'histoire d'un ange qui descend pour transmettre un message remplie de paix et d'amour en sachant que les croyants ne de cessent de s'entretuer depuis des siècles vous n'arrivez même pas à vous entendre avec les musulmans chiites /sunnites ....
T'en veux du rationnel? Jt'en donne moi.
L'athéisme, par définition, postule, - à travers l'esprit -, la négation de l'intellect et du caractère rationnel de l'intellect et de l'existence, et par conséquent, de l'univers tout entier. Il y a donc une contradiction intrinsèque dans l'athéisme, et les athées eux-même, bien souvent, sont obligés de renoncer à l'athéisme dans bien des questions et des activités quotidiennes. En effet, l'athéisme reniant la morale (il s'agit donc d'une croyance a-morale, - et non pas forcément immorale -) et le caractère rationnel et intelligible du cosmos et de l'intellect humain, devrait renier également la démarche scientifique et la pensée critique (puisque tout serait absurde). Or, dans la pratique et les concepts, tout cela est impossible et l'on atteste bien le caractère rationnel (du moins en partie) de l'intellect humain et de l'univers (les mathématiques, la physique, la médecine, l'astrophysique, la métaphysique et d'autres sciences au sens large, le démontrent par leurs résultats et leur adéquation entre la pensée humaine et les degrés du Réel). Face à cette réalité, l'athéisme (qui contient virtuellement également le nihilisme, - l'absence de valeurs -, le relativisme, - tout est relatif -, et le matérialisme, - tout n'est que matière de façon aléatoire -) la nie sur la base d'une croyance absurde (puisque nier le réel est absurde, et que l'athéisme postule l'absurde également, or si tout était absurde, la simple négation ou affirmation d'une chose ne s'expliquerait même pas). L'athéisme est donc une croyance irrationnelle, qui revient à stériliser l'esprit et l'existence humaine. On le voit bien d'ailleurs sur le plan civilisationnel, où l'athéisme n'a produit généralement que la mort (systèmes totalitaires, où l'athéisme s'était mêlé à des structures idéologiques dans des systèmes politiques), le vide existentiel, la médiocrité intellectuelle et une activité artistique des plus plates.
L'athéisme n'étant pas auto-suffisant en plus d'être contradictoire et irrationnel, des athées se trouvent bien obliger de s'inspirer des valeurs morales religieuses, de normes culturelles issues des civilisations fondées sur la religion, la rationalité et la démarche scientifique, etc. C'est encore "la religion" qui a fondé les hôpitaux, les écoles, les universités, les monuments les plus beaux et "imposants" (au sens noble du terme), les oeuvres artistiques, les poèmes les plus sublimes, les découvertes et outils scientifiques les plus importants.
Autre incohérence de la croyance athée, en rapport avec le relativisme, est qu'ils se prétendent intellectuellement supérieurs aux religieux, - sans preuve aucune encore une fois -, alors que l'athéisme prétend que tout est absurde et donc relatif (l'intelligence et la sottise se valent, le criminel et l'honnête citoyen sont totalement équivalents -) si l'on va jusqu'au bout de la croyance athéiste. Néanmoins, beaucoup, dans les faits, ne soutiennent pas cette absurdité, et s'inscrivent donc en porte-à-faux avec l'athéisme.
Quant à l'Intellect et à la conscience morale, il s'agit là de dons de Dieu qu'il faut savoir cultiver et exercer avec dignité et sagesse. De cette façon, il sera toujours possible de réfuter ou de dénoncer les abus grotesques, les dérives morales (de "pseudo-religieux", de non-religieux, d'idéologies diverses, etc.), les croyances irrationnelles et dangereuses, et même certaines conceptions humaines qui ont dénaturé les principes religieux universels des origines (car même si certaines pratiques s'expliquent par la nécessité temporelle de l'époque ainsi que par certaines normes sociales contingentes, elles ne sont pas, par essence, universelles, et ne sont donc pas destinées à être transposées partout et tout le temps, surtout quand les conditions temporelles elles-mêmes changent), où dont certaines pratiques tribales ont pris le dessus sur la conscience morale inculquée par la religion elle-même.