.
Aujourd'hui encore plus que hier avec le génocide en cours dans les terrtoires occupés, l'occupant a besoin de fake news pour faire passer des vessies pour des lanternes
Le gouvernement israélien veut offrir des bourses aux étudiants qui amélioreront l’image du pays sur les réseaux sociaux.
Israël souhaite améliorer son image sur Internet. Depuis la publication en février dernier - et le scandale qui a suivi -d’une photo d’un soldat israélien montrant la tête d’un enfant dans le viseur de son arme, l’État hébreu a édécidé d‘investir massivement les réseaux sociaux.
Pour se faire, le gouvernement envisage d’accorder des bourses à une centaine d’étudiants du pays, afin qu’ils disent du bien de leur pays sur Facebook ou Twitter, a révélé le journal israélien Haaretz .Le bureau du Premier ministre Benyamin Netanyahou ,chargé de superviser le programme, a confirmé le lancement du projet. Selon lui, l’objectif est de «renforcer la diplomatie publique israélienne pour l’adapter aux changements liés aux moyens de consommation de l’information», précise le site britannique The Independent.
À l’origine de ce projet, Daniel Seaman, un membre du gouvernement en charge de promouvoir l’image d’Israël sur Internet. Cet ancien directeur du Bureau de presse israélien a eu une relation controversée avec les médias internationaux. Lors de son mandat, il avait notamment interdit aux journalistes palestiniens de recevoir des cartes de presse du gouvernement, avance le journal américain , USA Today.
La majorité des messages sera consacrée aux questions de politiques et de sécurité, à la lutte contre les appels au boycott d’Israël ,ainsi qu’à la lutte contre la remise en question de la légitimité de l’État hébreu. Les étudiants seront encouragés à réaffirmer «les valeurs démocratiques, la liberté de religion et le pluralisme», ajoute le journal.
Mais cette décision n’est pas du goût de tout le monde en Israël. Alon Liel, ancien membre du ministère des Affaires étrangères, a qualifié le plan de «tout à fait répugnant». Selon lui, «les étudiants devraient être éduqués à penser librement.
Lorsque vous achetez leurs esprits, ils deviennent une marionnette du gouvernement israélien». «On peut donner des bourses pour un travail social ou pour l’enseignement, mais non pour faire de la propagande gouvernementale sur des questions politiques controversées», conclut
Aujourd'hui encore plus que hier avec le génocide en cours dans les terrtoires occupés, l'occupant a besoin de fake news pour faire passer des vessies pour des lanternes
Le gouvernement israélien veut offrir des bourses aux étudiants qui amélioreront l’image du pays sur les réseaux sociaux.
Israël souhaite améliorer son image sur Internet. Depuis la publication en février dernier - et le scandale qui a suivi -d’une photo d’un soldat israélien montrant la tête d’un enfant dans le viseur de son arme, l’État hébreu a édécidé d‘investir massivement les réseaux sociaux.
Pour se faire, le gouvernement envisage d’accorder des bourses à une centaine d’étudiants du pays, afin qu’ils disent du bien de leur pays sur Facebook ou Twitter, a révélé le journal israélien Haaretz .Le bureau du Premier ministre Benyamin Netanyahou ,chargé de superviser le programme, a confirmé le lancement du projet. Selon lui, l’objectif est de «renforcer la diplomatie publique israélienne pour l’adapter aux changements liés aux moyens de consommation de l’information», précise le site britannique The Independent.
À l’origine de ce projet, Daniel Seaman, un membre du gouvernement en charge de promouvoir l’image d’Israël sur Internet. Cet ancien directeur du Bureau de presse israélien a eu une relation controversée avec les médias internationaux. Lors de son mandat, il avait notamment interdit aux journalistes palestiniens de recevoir des cartes de presse du gouvernement, avance le journal américain , USA Today.
La majorité des messages sera consacrée aux questions de politiques et de sécurité, à la lutte contre les appels au boycott d’Israël ,ainsi qu’à la lutte contre la remise en question de la légitimité de l’État hébreu. Les étudiants seront encouragés à réaffirmer «les valeurs démocratiques, la liberté de religion et le pluralisme», ajoute le journal.
Mais cette décision n’est pas du goût de tout le monde en Israël. Alon Liel, ancien membre du ministère des Affaires étrangères, a qualifié le plan de «tout à fait répugnant». Selon lui, «les étudiants devraient être éduqués à penser librement.
Lorsque vous achetez leurs esprits, ils deviennent une marionnette du gouvernement israélien». «On peut donner des bourses pour un travail social ou pour l’enseignement, mais non pour faire de la propagande gouvernementale sur des questions politiques controversées», conclut
Des étudiants payés pour défendre Israël sur Internet
Le gouvernement israélien veut offrir des bourses aux étudiants qui amélioreront l’image du pays sur les réseaux sociaux.
etudiant.lefigaro.fr