Il ne faut pas sy tromper, le beau soleil de Provence ne réchauffe pas tous les curs, il peut aussi darder les rayons du racisme, à travers les platanes qui ornent une place de village, jusquà des bancs publics qui se sont mystérieusement évanouis dans la nature.
Lhistoire, véridique, et contée sur le ton dune fable sur le site des Echos, ne dit pas où se situe ce si charmant petit village, doù monte le chant des cigales, mais aussi lair plus grinçant de lislamophobie, avec en toile de fond la rénovation du cur névralgique du hameau, qui sanime, tous les jours, en fin daprès-midi, quand la chaleur se fait plus clémente.
« Mais où sont donc passés les bancs publics ? » Difficile de faire abstraction de ce mobilier urbain, utile et convivial, qui a bizarrement disparu du paysage, la question alimentant toutes les conversations, notamment chez les personnes âgées.
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