Des enfants de réfugiés syriens en danger de mort à la frontière algéro-marocaine à maghnia.

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Ludymilla

Chuut ! c'est un secret !
VIB
SNAPAP URGENT
Communiqué d’Alerte:
Des enfants de réfugiés syriens en danger de mort à la frontière Algéro-Marocaine à Maghnia.

Fuyant la guerre en Syrie, deux familles syriennes sont devenues prisonnières de soldats à la frontière algéro-marocaine, à un kilomètre du poste frontalier (fermé) « Akid-Lotfi », de la ville de Maghnia, et ce depuis 18 jours.

Malgré la présence des trois enfants, Salah (7ans) et son frère Ali (3ans), Hajer (5ans) et sa sœur Assinate, un bébé (1.5 ans), les militaires, maintiennent ces réfugiés en place comme des otages, refusant, qu’ils avancent vers la frontière marocaine, par les uns, et le plus inimaginable, même le retour en arrière, c'est-à-dire vers Maghnia, par les autres.

En réalité, la famille qui a quitté la Syrie est composée de plus de 20 personnes, dont les grands parents, leurs enfants avec leurs épouses et leurs petits-enfants. C’est juste deux de leurs fils, âgés respectivement de 31 et et 30 ans, qui sont maintenus de force, sur le territoire Algérien, à quelques centaines de mètres de la frontière marocaine, accompagnés de leurs épouses et les enfants précités.

Actuellement, ces Syriens n’arrivent pas à comprendre, les Militaires algériens leur disent qu’ils sont sur le territoire Marocain, et vice-versa, les marocains, disent que ces terres sont algériennes. Une situation insoutenable, une torture physique et morale que les bruts de bottes font subir à des réfugiés, ici en Algérie. Il est impensable que le bornage des frontières ne soit pas identifié à ce point, à quelques mètres des postes frontaliers, « Akid-Lotfi » et « Zouj Brel ».

Les Syriens se trouvent actuellement près de la tranchée, que l’Algérie est l’unique entrepreneur, qui continue d’ailleurs, à creuser tout au long de la frontière, pour des raisons sécuritaires. Abandonnés sans eau, sans nourriture, et son abri, les réfugiés trouvent leur salut grâce à la seule bienveillance des policiers algériens et marocains installés aux postes frontaliers fermés depuis 1994. Les syriens sont installés en pleine nature près d’une carcasse de voiture qui les protège du soleil le jour, mais pas de la chaleur.

Le Croissant Rouge Algérien, le bras «cassé» humanitaire du pouvoir et qui dispose d’un bureau à Maghnia, n’a jamais intervenu pour leur porter assistance ; il n’est peut-être même pas au courant. Les réfugiés restent à la merci des soldats des gardes-frontières, qui leur interdisent de quitter leur campement, et par la force des armes ils les maintiennent au-delà de la tranchée.

Malgré la fermeture de la frontière, cette dernière ne concerne que les postes frontaliers, tout le monde sait qu’elle est ouverte pour les contrebandiers, et pour les narcotrafiquants. Les migrants et les réfugiés restent les seuls victimes de cette poreuse frontière.

La situation est très critique, non seulement les parents deviennent très agressifs vis-à-vis de leur progéniture, après 18 jours d’embargo ; mais aussi, ils sont à la merci de toute bavure, la région est infestée par les contrebandiers et les bandits.

De ce fait, le syndicat SNAPAP, qui milite pour les droits des travailleurs, y compris ceux des migrants, des demandeurs d’asiles et des réfugiés, insiste à ce que :

- L’UNHCR intervienne dans l’immédiat pour mettre fin à ce drame, malgré que ces syriens ne soient pas sous leur protection. Ils restent tout de même des réfugiés de guerre.
- Le CICR doit se déplacer à Maghnia pour pousser le Croissant Rouge Algérien, notamment son bureau de Maghnia, à intervenir dans le cadre de ses missions humanitaires, pour les syriens et pour les migrants subsahariens installés dans la région.
- Le gouvernement algérien ouvre une enquête judiciaire hors compétence judiciaire de la Wilaya Tlemcen, et réprime sévèrement les responsables civiles et militaires qui sont derrière cette cynique manœuvre, dont les victimes sont des enfants innocents de surcroit des réfugiés de guerre.

- Quelques soient les raisons qui poussent les membres de l’unité des gardes-frontières à maintenir ces deux familles dans cet enfer, nous le faisons savoir d’ores et déjà, qu’il n’y aura pas cette fois-ci, un subterfuge pour mettre cette infamie sur le dos des marocains, comme c’était le cas de la bavure qui s’est produite en juin 2013, lorsque deux migrants subsahariens ont été mitraillés à bout portant à la frontière par un militaire algérien, et que l’affaire n’ait même pas fait l’objet d’enquête préliminaire.

- Ces Syriens sont des étrangers entrés légalement sur le territoire national, et qu’ils sont toujours sur le territoire national, donc, ils jouissent de la protection de la loi, de toute la loi, notamment celle relative à la protection contre la torture, et celle de la protection de l’enfance.

- Les Syriens ne doivent surtout pas faire l’objet d’un retour forcé en Syrie, comme mesure de représailles.

Pour/ Le Président du SNAPAP
Le chargé du Dossier Migration.
Fouad HASSAM

https://www.facebook.com/jcalgerie.net
 
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Communiqué N° 16 - 14
Deux familles Syriennes victimes
du différend Algéro-Marocain

Deux familles syriennes (familles Aïd) composées chacune des époux et de deux enfants sont bloqués depuis près de vingt jours dans le no man’s land entre la frontière Algérienne (poste de Akid Lotfi) et la frontière Marocaine (poste de Zouj ebghal).
Les deux familles n’ont absolument rien sauf une vieille carcasse de voiture
et les cartons qu’ils ont pu ramasser (ni tente, ni nourriture, etc) et les quatre enfants âgés respectivement de 1.5; 3; 5 et 7 ans souffrent depuis 20 jours de malnutrition parce qu’ils sont syriens et que leurs parents croyaient pouvoir trouver en Algérie et au Maroc un lieu pour échapper à la fureur de la guerre.
Les autorités Algériennes et Marocaines jouent à se rejeter la balle en laissant souffrir ces deux familles et refusent de les laisser pénétrer dans leur territoire respectif. Aucun argument ni justification ne peuvent être invoqués devant
le destin tragique de ces deux familles et cette non-assistance à personne en danger.
La LADDH et l’AMDH dénoncent cette raison d’état qui enlève aux deux états
le minimum de compassion et de solidarité que nous sommes en droit d’espérer et
de revendiquer et demandent aux deux autorités des deux états de sauver de la
mort certaine et de la souffrance ces deux familles avec leurs enfants.

Alger le 08/06/2014
P le Bureau national de la LADDH
Le président, Me. Salah DABOUZ
 
Désolé mais j'vois pas pourquoi tu impliques le Maroc dans ta remarque.....les malheureux sont arrivés en Algérie et s'y trouvent toujours! En gros ils ont fui la peste pour le choléra....

Parce que humainement parlant, c'est juste horrible.

Même s'ils sont arrivés en Algérie, rien que pour les enfants bon sang, le Maroc ne devrait pas les laisser là !
Si l'Algérie n'en veut pas, le Maroc aurait dû leur ouvrir cette frontière, en plus ce n'est pas la 1ere fois que ce cas se présente ^^ Je ne comprends pas pourquoi là, le Maroc ne le fait pas :(

T'imagines toi, ces pauvres enfants dans une carcasse de voiture pr seule protection ?
 
Parce que humainement parlant, c'est juste horrible.

Même s'ils sont arrivés en Algérie, rien que pour les enfants bon sang, le Maroc ne devrait pas les laisser là !
Si l'Algérie n'en veut pas, le Maroc aurait dû leur ouvrir cette frontière, en plus ce n'est pas la 1ere fois que ce cas se présente ^^ Je ne comprends pas pourquoi là, le Maroc ne le fait pas :(

T'imagines toi, ces pauvres enfants dans une carcasse de voiture pour seule protection ?

On est toujours les dindons de la farce! Pourquoi le Maroc se mange systématiquement les mauvaises remarques?! Faut pas se laisser dicter sa politique par les quelques illuminés algériens, c'est eux qui sont sensés faire preuve d'humanité, de bienveillance envers leurs frères/alliés Syriens, défendre la femme et l'orphelin de l'oppression......qu'on laisse ces grands donneurs de leçon en faire l'application!
 
Magbnia ce n est pas le Maroc plutot c est l algerie et les frontieres sont fermees.l algerie est responsable du malheur de ces Syriens et elle doit cesser de se cacher derriere son ombre.Le Maroc ne jout pas avec les ames humains...
 
SNAPAP URGENT
Communiqué d’Alerte:
Des enfants de réfugiés syriens en danger de mort à la frontière Algéro-Marocaine à Maghnia.

Fuyant la guerre en Syrie, deux familles syriennes sont devenues prisonnières de soldats à la frontière algéro-marocaine, à un kilomètre du poste frontalier (fermé) « Akid-Lotfi », de la ville de Maghnia, et ce depuis 18 jours.

Malgré la présence des trois enfants, Salah (7ans) et son frère Ali (3ans), Hajer (5ans) et sa sœur Assinate, un bébé (1.5 ans), les militaires, maintiennent ces réfugiés en place comme des otages, refusant, qu’ils avancent vers la frontière marocaine, par les uns, et le plus inimaginable, même le retour en arrière, c'est-à-dire vers Maghnia, par les autres.

En réalité, la famille qui a quitté la Syrie est composée de plus de 20 personnes, dont les grands parents, leurs enfants avec leurs épouses et leurs petits-enfants. C’est juste deux de leurs fils, âgés respectivement de 31 et et 30 ans, qui sont maintenus de force, sur le territoire Algérien, à quelques centaines de mètres de la frontière marocaine, accompagnés de leurs épouses et les enfants précités.

Actuellement, ces Syriens n’arrivent pas à comprendre, les Militaires algériens leur disent qu’ils sont sur le territoire Marocain, et vice-versa, les marocains, disent que ces terres sont algériennes. Une situation insoutenable, une torture physique et morale que les bruts de bottes font subir à des réfugiés, ici en Algérie. Il est impensable que le bornage des frontières ne soit pas identifié à ce point, à quelques mètres des postes frontaliers, « Akid-Lotfi » et « Zouj Brel ».

Les Syriens se trouvent actuellement près de la tranchée, que l’Algérie est l’unique entrepreneur, qui continue d’ailleurs, à creuser tout au long de la frontière, pour des raisons sécuritaires. Abandonnés sans eau, sans nourriture, et son abri, les réfugiés trouvent leur salut grâce à la seule bienveillance des policiers algériens et marocains installés aux postes frontaliers fermés depuis 1994. Les syriens sont installés en pleine nature près d’une carcasse de voiture qui les protège du soleil le jour, mais pas de la chaleur.

Le Croissant Rouge Algérien, le bras «cassé» humanitaire du pouvoir et qui dispose d’un bureau à Maghnia, n’a jamais intervenu pour leur porter assistance ; il n’est peut-être même pas au courant. Les réfugiés restent à la merci des soldats des gardes-frontières, qui leur interdisent de quitter leur campement, et par la force des armes ils les maintiennent au-delà de la tranchée.

Malgré la fermeture de la frontière, cette dernière ne concerne que les postes frontaliers, tout le monde sait qu’elle est ouverte pour les contrebandiers, et pour les narcotrafiquants. Les migrants et les réfugiés restent les seuls victimes de cette poreuse frontière.

La situation est très critique, non seulement les parents deviennent très agressifs vis-à-vis de leur progéniture, après 18 jours d’embargo ; mais aussi, ils sont à la merci de toute bavure, la région est infestée par les contrebandiers et les bandits.

De ce fait, le syndicat SNAPAP, qui milite pour les droits des travailleurs, y compris ceux des migrants, des demandeurs d’asiles et des réfugiés, insiste à ce que :

- L’UNHCR intervienne dans l’immédiat pour mettre fin à ce drame, malgré que ces syriens ne soient pas sous leur protection. Ils restent tout de même des réfugiés de guerre.
- Le CICR doit se déplacer à Maghnia pour pousser le Croissant Rouge Algérien, notamment son bureau de Maghnia, à intervenir dans le cadre de ses missions humanitaires, pour les syriens et pour les migrants subsahariens installés dans la région.
- Le gouvernement algérien ouvre une enquête judiciaire hors compétence judiciaire de la Wilaya Tlemcen, et réprime sévèrement les responsables civiles et militaires qui sont derrière cette cynique manœuvre, dont les victimes sont des enfants innocents de surcroit des réfugiés de guerre.

- Quelques soient les raisons qui poussent les membres de l’unité des gardes-frontières à maintenir ces deux familles dans cet enfer, nous le faisons savoir d’ores et déjà, qu’il n’y aura pas cette fois-ci, un subterfuge pour mettre cette infamie sur le dos des marocains, comme c’était le cas de la bavure qui s’est produite en juin 2013, lorsque deux migrants subsahariens ont été mitraillés à bout portant à la frontière par un militaire algérien, et que l’affaire n’ait même pas fait l’objet d’enquête préliminaire.

- Ces Syriens sont des étrangers entrés légalement sur le territoire national, et qu’ils sont toujours sur le territoire national, donc, ils jouissent de la protection de la loi, de toute la loi, notamment celle relative à la protection contre la torture, et celle de la protection de l’enfance.

- Les Syriens ne doivent surtout pas faire l’objet d’un retour forcé en Syrie, comme mesure de représailles.

Pour/ Le Président du SNAPAP
Le chargé du Dossier Migration.
Fouad HASSAM
Mail : Fouad.hassam@hotmail.fr

https://www.facebook.com/jcalgerie.net

Quand la réalité rejoint la fiction
Il y a un film satyrique syrien avec notre grand acteur Dorid Laham qui s'appelle 'alhoudoud'
Je ne connais pas le titre en français mais l'histoire raconte les aventures d'un taximan arabe et de sa
passagère bloqué dans un noman's land entre deux pays arabe rebaptisé sharkistan et gharbistan
suite à une perte de leur passeport et toute les situations surréalistes qui en découlent
Appellez-les marocistan ou algeristan la situation est identique
 
Quand la réalité rejoint la fiction
Il y a un film satyrique syrien avec notre grand acteur Dorid Laham qui s'appelle 'alhoudoud'
Je ne connais pas le titre en français mais l'histoire raconte les aventures d'un taximan arabe et de sa
passagère bloqué dans un noman's land entre deux pays arabe rebaptisé sharkistan et gharbistan
suite à une perte de leur passeport et toute les situations surréalistes qui en découlent
Appellez-les marocistan ou algeristan la situation est identique
Ces triste heuresement ici on est pas comment ça il y a plusieur famille de syrien qui sont venus dans notre quartier on leur donne un coup de main hamdoullilah en plus il sont grave gentil
 
SNAPAP URGENT
Communiqué d’Alerte:
Des enfants de réfugiés syriens en danger de mort à la frontière Algéro-Marocaine à Maghnia.

Fuyant la guerre en Syrie, deux familles syriennes sont devenues prisonnières de soldats à la frontière algéro-marocaine, à un kilomètre du poste frontalier (fermé) « Akid-Lotfi », de la ville de Maghnia, et ce depuis 18 jours.

Malgré la présence des trois enfants, Salah (7ans) et son frère Ali (3ans), Hajer (5ans) et sa sœur Assinate, un bébé (1.5 ans), les militaires, maintiennent ces réfugiés en place comme des otages, refusant, qu’ils avancent vers la frontière marocaine, par les uns, et le plus inimaginable, même le retour en arrière, c'est-à-dire vers Maghnia, par les autres.

En réalité, la famille qui a quitté la Syrie est composée de plus de 20 personnes, dont les grands parents, leurs enfants avec leurs épouses et leurs petits-enfants. C’est juste deux de leurs fils, âgés respectivement de 31 et et 30 ans, qui sont maintenus de force, sur le territoire Algérien, à quelques centaines de mètres de la frontière marocaine, accompagnés de leurs épouses et les enfants précités.

Actuellement, ces Syriens n’arrivent pas à comprendre, les Militaires algériens leur disent qu’ils sont sur le territoire Marocain, et vice-versa, les marocains, disent que ces terres sont algériennes. Une situation insoutenable, une torture physique et morale que les bruts de bottes font subir à des réfugiés, ici en Algérie. Il est impensable que le bornage des frontières ne soit pas identifié à ce point, à quelques mètres des postes frontaliers, « Akid-Lotfi » et « Zouj Brel ».

Les Syriens se trouvent actuellement près de la tranchée, que l’Algérie est l’unique entrepreneur, qui continue d’ailleurs, à creuser tout au long de la frontière, pour des raisons sécuritaires. Abandonnés sans eau, sans nourriture, et son abri, les réfugiés trouvent leur salut grâce à la seule bienveillance des policiers algériens et marocains installés aux postes frontaliers fermés depuis 1994. Les syriens sont installés en pleine nature près d’une carcasse de voiture qui les protège du soleil le jour, mais pas de la chaleur.

Le Croissant Rouge Algérien, le bras «cassé» humanitaire du pouvoir et qui dispose d’un bureau à Maghnia, n’a jamais intervenu pour leur porter assistance ; il n’est peut-être même pas au courant. Les réfugiés restent à la merci des soldats des gardes-frontières, qui leur interdisent de quitter leur campement, et par la force des armes ils les maintiennent au-delà de la tranchée.

Malgré la fermeture de la frontière, cette dernière ne concerne que les postes frontaliers, tout le monde sait qu’elle est ouverte pour les contrebandiers, et pour les narcotrafiquants. Les migrants et les réfugiés restent les seuls victimes de cette poreuse frontière.

La situation est très critique, non seulement les parents deviennent très agressifs vis-à-vis de leur progéniture, après 18 jours d’embargo ; mais aussi, ils sont à la merci de toute bavure, la région est infestée par les contrebandiers et les bandits.

De ce fait, le syndicat SNAPAP, qui milite pour les droits des travailleurs, y compris ceux des migrants, des demandeurs d’asiles et des réfugiés, insiste à ce que :

- L’UNHCR intervienne dans l’immédiat pour mettre fin à ce drame, malgré que ces syriens ne soient pas sous leur protection. Ils restent tout de même des réfugiés de guerre.
- Le CICR doit se déplacer à Maghnia pour pousser le Croissant Rouge Algérien, notamment son bureau de Maghnia, à intervenir dans le cadre de ses missions humanitaires, pour les syriens et pour les migrants subsahariens installés dans la région.
- Le gouvernement algérien ouvre une enquête judiciaire hors compétence judiciaire de la Wilaya Tlemcen, et réprime sévèrement les responsables civiles et militaires qui sont derrière cette cynique manœuvre, dont les victimes sont des enfants innocents de surcroit des réfugiés de guerre.

- Quelques soient les raisons qui poussent les membres de l’unité des gardes-frontières à maintenir ces deux familles dans cet enfer, nous le faisons savoir d’ores et déjà, qu’il n’y aura pas cette fois-ci, un subterfuge pour mettre cette infamie sur le dos des marocains, comme c’était le cas de la bavure qui s’est produite en juin 2013, lorsque deux migrants subsahariens ont été mitraillés à bout portant à la frontière par un militaire algérien, et que l’affaire n’ait même pas fait l’objet d’enquête préliminaire.

- Ces Syriens sont des étrangers entrés légalement sur le territoire national, et qu’ils sont toujours sur le territoire national, donc, ils jouissent de la protection de la loi, de toute la loi, notamment celle relative à la protection contre la torture, et celle de la protection de l’enfance.

- Les Syriens ne doivent surtout pas faire l’objet d’un retour forcé en Syrie, comme mesure de représailles.

Pour/ Le Président du SNAPAP
Le chargé du Dossier Migration.
Fouad HASSAM
Mail : Fouad.hassam@hotmail.fr

https://www.facebook.com/jcalgerie.net
 
Parce que humainement parlant, c'est juste horrible.

Même s'ils sont arrivés en Algérie, rien que pour les enfants bon sang, le Maroc ne devrait pas les laisser là !
Si l'Algérie n'en veut pas, le Maroc aurait dû leur ouvrir cette frontière, en plus ce n'est pas la 1ere fois que ce cas se présente ^^ Je ne comprends pas pourquoi là, le Maroc ne le fait pas :(

T'imagines toi, ces pauvres enfants dans une carcasse de voiture pr seule protection ?
Le Maroc a decidé de mettre un terme aux agissements irresponsables des algeriens. Et qui paye la note ? ces enfants.
 
pourquoi toujours tu viens tout le temps avec les mêmes insinuations de femme aigrie?

si les syriens ne connaissait que toi, ce n'est pas au Maroc qu'ils vont se réfugier.
je ne sais pas ce qui se passe @Bladi ce type la je l'ignore et pourtant son message m'apparait...trop mechant peut etre qu'il depasse la barriere..:p



alors pour ma reponse. :)
@Makelloos, c'est fait pour toi ..parce que je sais que tu cherches partout a me lire.voilà:D
 
je ne sais pas ce qui se passe @Bladi ce type la je l'ignore et pourtant son message m'apparait...trop mechant peut etre qu'il depasse la barriere..:p



alors pour ma reponse. :)
@Makelloos, c'est fait pour toi ..parce que je sais que tu cherches partout a me lire.voilà:D
Tu es juste écoeurante avec tes sous entendus te moquer d'une famille.qui fuit la guerre et t'en prendre par la même occasion à l'Algérie et les algériens
deux modos t'ont déjà prévenus sur le forum je suis la troisième;nous t'avons à l'oeil
tu peux tagger @Bladi à loisir histoire qu'il vienne lire ce que le bladinaute t'as répondu on connait tes manieres; procédés et tes autres pseudos :)




fin du hs
 
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ça a évolué ?

Afinate, la petite fille syrienne d'un an et demi, se trouve toujours dans un état critique, a-t-on appris des parents de cette dernière. Coincée depuis plus de 20 jours entre le Maroc et l'Algérie (poste de Zoudj Bghal et poste de Colonel Lotfi) avec sa famille, la fillette souffre de malnutrition et son état de santé ne cesse de se détériorer, ont indiqué ses parents contactés par Al Huffington Post Algérie suite à l'appel lancé par le Bureau national chargé de la jeunesse de la LADDH (Ligue algérienne pour la défense des droits de l'homme) hier soir (10 juin) sur les réseaux sociaux.

"Notre situation est lamentable et catastrophique, ma petite fille est très malade (...) Le mois de ramadhan approche et on ne sait même pas si on va s'en sortir", témoigne la maman d'Afinate. En pleurant d'une voix éteinte, elle poursuit: "Les soldats algériens nous ont donné des médicaments mais refusent de la transférer Afinate à l'hôpital."

D'après le père d'Afinate, Sobhi Aïd, leur situation se dégrade de jour en jour: "Ni les autorités marocaines ni algériennes ne veulent nous laisser accéder sur leurs territoires." Les conditions sanitaires sont déplorables: "On est deux familles avec quatre enfants. Le plus âgé a huit ans. On vit dans deux carcasses de voitures brûlées dont l'une d'elle nous sert de petit-coin", ajoute la maman.

Il faut rappeler que cette situation dramatique provient de la "non-possession" par les familles de visa selon le Maroc. Après huit mois sur le sol marocain, les deux familles sont contraintes de retourner en Algérie pour renouveler les passeports puisque le Maroc ne dispose pas d'ambassade syrienne depuis qu'il a rompu ses relations diplomatiques avec la Syrie suite au soulèvement populaire qui bouleverse le pays depuis plus de trois ans.

Côté algérien, c'est la fermeture des frontières terrestres qui pose un problème pour les autorités. Fermées depuis 1994, il est strictement interdit de les traverser au risque de commettre un délit.

Les deux familles lancent, aujourd'hui, un appel aux autorités algériennes et marocaines, aux ONG, à l'ONU pour les aider à régler leur situation surtout que le mois de la clémence, le ramadhan, qui approche promet d'être chaud.

http://maghrebemergent.com/actualit...-3-semaines-temoignent-de-leur-situation.html

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Ce que j'ai mis en gras, est ce vrai ?
Si c'est le cas, c'est encore plus désolant de laisser ces gosses crever ^^
Qu'est ce qu'on s'en fiche qu'ils aient un visa ou pas quand on voit dans quel état est leur pays ?
Qu'est ce qu'on s'en fiche qu'ils viennent d'Algérie ou de Papouasie ?

Bien au contraire, vu que l'Algérie n'en veut pas ou qu'ils ne voulaient pas y rester, cela aurait tout à son honneur au Maroc de les laisser chez nous.
 
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