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MRE: Nouvelles opportunités avec l'Union pour la Méditerranée
Ce vendredi 30 janvier, huit banques de pays bordant la Méditerranée ont conclu un accord visant notamment à faciliter les transferts d'argent des migrants de leur pays d'accueil vers leur pays d'origine. Côté Maroc, les banques qui ont conclu l'accord sont Attijariwafa bank et le CIH, filiale des Caisses d'Epargne françaises.
La nouvelle offre dont la mise en place est prévue au cours de 2009 vise 3,5 millions de personnes (dont 2,5 millions en France) et porte sur un flux de transferts estimé à 10 milliards d'euros.
Il s'agit d'une initiative prise dans le cadre du lancement de l'Union pour la Méditerranée (UPM), lancée en juillet dernier à Paris.
Concrètement, une nouvelle plateforme permettra aux migrants désirant transférer de l'argent d'un pays à un autre de bénéficier de l'ensemble des réseaux des banques participantes, soit environ 34.000 points de contact.
Outre le groupe Caisse d'Epargne, l'accord inclut l'italien Intesa Sanpaolo, le groupement des caisses d'épargne espagnoles, les marocaines Attijariwafa bank, CIH et Al Amana, l'égyptienne Bank of Alexandria (filiale d'Intesa Sanpaolo) et la libanaise Fransabank.
A travers cet accord, les banques s'attacheront également à développer des formules d'épargne ainsi qu'une offre de crédit immobilier pour des acquisitions de logements dans les pays d'accueil et d'origine.
L'offre concerne les migrants mais aussi les enfants d'immigrés de deuxième ou de troisième génération ayant acquis la nationalité du pays d'accueil mais "qui conservent un intérêt dans leur pays d'origine", a expliqué Michel Gonnet, président du directoire d'Océor, pôle du groupe Caisse d'Epargne comprenant plusieurs filiales à l'étranger, lors d'une conférence de presse.
Pour les banques impliquées dans le projet, l'idée est également d'élargir leur clientèle aux nombreux migrants qui utilisent des réseaux parallèles pour transférer de l'argent, en leur proposant un service plus sécurisé et au coût moins élevé.
Outre les particuliers, la coopération entre ces banques intègrera le financement des PME.
Ce vendredi 30 janvier, huit banques de pays bordant la Méditerranée ont conclu un accord visant notamment à faciliter les transferts d'argent des migrants de leur pays d'accueil vers leur pays d'origine. Côté Maroc, les banques qui ont conclu l'accord sont Attijariwafa bank et le CIH, filiale des Caisses d'Epargne françaises.
La nouvelle offre dont la mise en place est prévue au cours de 2009 vise 3,5 millions de personnes (dont 2,5 millions en France) et porte sur un flux de transferts estimé à 10 milliards d'euros.
Il s'agit d'une initiative prise dans le cadre du lancement de l'Union pour la Méditerranée (UPM), lancée en juillet dernier à Paris.
Concrètement, une nouvelle plateforme permettra aux migrants désirant transférer de l'argent d'un pays à un autre de bénéficier de l'ensemble des réseaux des banques participantes, soit environ 34.000 points de contact.
Outre le groupe Caisse d'Epargne, l'accord inclut l'italien Intesa Sanpaolo, le groupement des caisses d'épargne espagnoles, les marocaines Attijariwafa bank, CIH et Al Amana, l'égyptienne Bank of Alexandria (filiale d'Intesa Sanpaolo) et la libanaise Fransabank.
A travers cet accord, les banques s'attacheront également à développer des formules d'épargne ainsi qu'une offre de crédit immobilier pour des acquisitions de logements dans les pays d'accueil et d'origine.
L'offre concerne les migrants mais aussi les enfants d'immigrés de deuxième ou de troisième génération ayant acquis la nationalité du pays d'accueil mais "qui conservent un intérêt dans leur pays d'origine", a expliqué Michel Gonnet, président du directoire d'Océor, pôle du groupe Caisse d'Epargne comprenant plusieurs filiales à l'étranger, lors d'une conférence de presse.
Pour les banques impliquées dans le projet, l'idée est également d'élargir leur clientèle aux nombreux migrants qui utilisent des réseaux parallèles pour transférer de l'argent, en leur proposant un service plus sécurisé et au coût moins élevé.
Outre les particuliers, la coopération entre ces banques intègrera le financement des PME.
