C'est une histoire complètement invraisemblable que révèle une longue enquête du média Bloomberg. Un milliardaire américain magnat de l'assurance, Greg Lindberg, aurait manipulé des jeunes femmes pour qu'elles lui donnent leurs ovocytes et cèdent leurs droits parentaux en échange de millions de dollars. L'objectif? Fonder une grande famille blanche.
Plusieurs femmes accusent en effet cet homme d'avoir rassemblé toute une équipe d'avocats et des cliniques pratiquant la fécondation in vitro (FIV) pour monter un projet de reproduction qui se glisse dans les failles de la loi.
En plus d'avoir organisé des dons d'ovocytes, le milliardaire aurait dirigé un réseau de mères porteuses et embauché au moins deux assistantes pour gérer cette opération de reproduction, dont l'une aurait porté son propre enfant, rapporte Futurism.
Certaines des plaignantes, dont l'une est identifiée sous le pseudonyme Anya, racontent comment, en tant que mères biologiques, elles ont été éloignées de leurs enfants conçus dans cet étrange projet. Anya n'a par exemple pas vu son garçon de 5 ans depuis quatre ans, mis à distance par Lindberg, qui utilise les contrats signés pour les tenir à l'écart.
Les motivations de cet homme restent pourtant floues. Selon Bloomberg, c'est avant tout le matériel génétique des donneuses qui l'intéressait. Le profil des femmes choisies est systématiquement le même: des mannequins aux cheveux blonds et aux yeux clairs. Une spécificité qui incite les médias américains à parler d'un projet de «famille blanche géante», sans donner plus de détails.
Futurism évoque un divorce difficile et la perte de la garde de ses trois premiers enfants comme élément déclencheur de ce projet. Le milliardaire serait alors devenu obsédé par l'idée d'avoir encore plus d'enfants, notamment des enfants qu'il ne pourrait jamais perdre grâce à la signature de contrats cédant les droits parentaux des donneuses.
Si l'enquête suit actuellement son cours, ce n'est pas la première fois que Lindberg se retrouve face à la justice. Il a déjà été incarcéré, condamné pour corruption et conspiration. Et en novembre 2024, il a plaidé coupable pour une fraude de 2 milliards de dollars et du blanchiment d'argent.
Plusieurs femmes accusent en effet cet homme d'avoir rassemblé toute une équipe d'avocats et des cliniques pratiquant la fécondation in vitro (FIV) pour monter un projet de reproduction qui se glisse dans les failles de la loi.
En plus d'avoir organisé des dons d'ovocytes, le milliardaire aurait dirigé un réseau de mères porteuses et embauché au moins deux assistantes pour gérer cette opération de reproduction, dont l'une aurait porté son propre enfant, rapporte Futurism.
Certaines des plaignantes, dont l'une est identifiée sous le pseudonyme Anya, racontent comment, en tant que mères biologiques, elles ont été éloignées de leurs enfants conçus dans cet étrange projet. Anya n'a par exemple pas vu son garçon de 5 ans depuis quatre ans, mis à distance par Lindberg, qui utilise les contrats signés pour les tenir à l'écart.
Beaucoup de zones d'ombre
À la suite de la parution de cette enquête, Lindberg a décidé de poursuivre Bloomberg pour diffamation et ingérence dans ses relations, sans toutefois nier ou contester les faits concernant son projet, dont il semble même particulièrement fier.Les motivations de cet homme restent pourtant floues. Selon Bloomberg, c'est avant tout le matériel génétique des donneuses qui l'intéressait. Le profil des femmes choisies est systématiquement le même: des mannequins aux cheveux blonds et aux yeux clairs. Une spécificité qui incite les médias américains à parler d'un projet de «famille blanche géante», sans donner plus de détails.
Futurism évoque un divorce difficile et la perte de la garde de ses trois premiers enfants comme élément déclencheur de ce projet. Le milliardaire serait alors devenu obsédé par l'idée d'avoir encore plus d'enfants, notamment des enfants qu'il ne pourrait jamais perdre grâce à la signature de contrats cédant les droits parentaux des donneuses.
Si l'enquête suit actuellement son cours, ce n'est pas la première fois que Lindberg se retrouve face à la justice. Il a déjà été incarcéré, condamné pour corruption et conspiration. Et en novembre 2024, il a plaidé coupable pour une fraude de 2 milliards de dollars et du blanchiment d'argent.