Kiosque360. La commune d'El Harhoura a été le théâtre d'un accident de la route impliquant cinq jeunes gens. Ces derniers se sont même attaqués à un gendarme.
La question du manque de civisme et du sentiment d’impunité dont sont habités certains automobilistes n’a pas manqué d’être soulevée durant l’année meurtrière que fut, sur les routes marocaines, l’année 2013.
Il semblerait cependant que certains citoyens, qui portent d’ailleurs bien mal ce qualificatif renvoyant à autant de droits que de devoirs, continuent de se croire au-dessus des lois qu’ils n’hésitent pas à violer impunément.
Al Massae nous rapporte ainsi, dans son édition à paraître ce mardi 6 mai, l’histoire d’une véritable et inquiétante saga qui s’est déroulée récemment dans la région d’El Harhoura, dans la périphérie de Rabat, théâtre d’un accident de la route aggravé par l’incivisme des responsables. Cinq jeunes gens de familles aisées, dont l’un, rapporte le journal, est le fils d’un haut fonctionnaire de la gendarmerie.
Quatre garçons et une jeune fille à bord d’une voiture de luxe qui, roulant à grande vitesse, a fini par déraper, causant sur son passage un enchaînement de drames dont la principale et première victime a été une femme, percutée et blessée par le véhicule.
Une piétonne qui a dû être hospitalisée et que la voiture en question a renversée avant de heurter un poteau électrique et d’aller, enfin, s’échouer contre la façade d’une villa. Pire, suite à cela, les cinq compères ont pris, à pieds, la poudre d’escampette, se rendant coupables d’un délit de plus et non des moins scandaleux: le délit de fuite, qui fait aussi par trop de victimes laissées à l’abandon sur la route.
La question du manque de civisme et du sentiment d’impunité dont sont habités certains automobilistes n’a pas manqué d’être soulevée durant l’année meurtrière que fut, sur les routes marocaines, l’année 2013.
Il semblerait cependant que certains citoyens, qui portent d’ailleurs bien mal ce qualificatif renvoyant à autant de droits que de devoirs, continuent de se croire au-dessus des lois qu’ils n’hésitent pas à violer impunément.
Al Massae nous rapporte ainsi, dans son édition à paraître ce mardi 6 mai, l’histoire d’une véritable et inquiétante saga qui s’est déroulée récemment dans la région d’El Harhoura, dans la périphérie de Rabat, théâtre d’un accident de la route aggravé par l’incivisme des responsables. Cinq jeunes gens de familles aisées, dont l’un, rapporte le journal, est le fils d’un haut fonctionnaire de la gendarmerie.
Quatre garçons et une jeune fille à bord d’une voiture de luxe qui, roulant à grande vitesse, a fini par déraper, causant sur son passage un enchaînement de drames dont la principale et première victime a été une femme, percutée et blessée par le véhicule.
Une piétonne qui a dû être hospitalisée et que la voiture en question a renversée avant de heurter un poteau électrique et d’aller, enfin, s’échouer contre la façade d’une villa. Pire, suite à cela, les cinq compères ont pris, à pieds, la poudre d’escampette, se rendant coupables d’un délit de plus et non des moins scandaleux: le délit de fuite, qui fait aussi par trop de victimes laissées à l’abandon sur la route.