DES MAROCAINS SE FONT PARRAINER PAR DES AMÉRINDIENNES RENCONTRÉES SUR INTERNET
Radio-Canada diffusait « Un pont vers le Canada », un reportage décrit comme suit :
(31 janvier 2008) - Larrivée dInternet dans les villages amérindiens a contribué à briser lisolement des Autochtones et particulièrement des femmes qui ont découvert les joies des sites de rencontres. Par les nouvelles technologies, certaines de ces femmes, qui vivent souvent à des centaines de kilomètres de la ville la plus proche, ont trouvé lâme sur à lextérieur du pays.
Le résultat de cet univers amoureux élargi : une immigration improbable dans les communautés autochtones du Québec.
Journaliste : Émilie Dubreuil. Réalisateur : Alain Abel. Caméraman : Sylvain Castonguay. Preneur de son : Éric Carbonneau. Monteur : Clarence Gagné.
(Au besoin, pour retrouver le reportage, vous rendre dans la section archive: «Un Pont vers le Canada» a été diffusé le 31 janvier 2008)
extrait vidéo Première partie du reportage : http://www.radio-canada.ca/audio-vi...a=/Medianet/2008/CBFT/Enquete200801312130.asx
extrait vidéo Deuxième partie du reportage : http://www.radio-canada.ca/audio-vi...a=/Medianet/2008/CBFT/Enquete200801312146.asx
Commentaire de Point de BASCULE
Des femmes innus ou attikameks se convertissent à l'islam, adoptent le voile et cessent de consommer du porc. Ces Amérindiennes pauvres envoient de l'argent au Maroc. Certaines ont été abandonnées par le conjoint et ont refusé de raconter leur histoire.
Ce reportage nous inspire une profonde tristesse face à la détresse de ces femmes amérindiennes facilement exploitables par des Maghrébins sans scrupules prêts à tout pour sortir de leur pays et obtenir un visa pour le Canada.
Rappelons à toutes les femmes du Québec que le parrainage d'un conjoint étranger emporte l'engagement envers le gouvernement du Québec de veiller aux besoins financiers de la personne parrainée de façon à ce quelle nait pas besoin de recourir à laide gouvernementale.
L'obligation de subvenir aux besoins de cette personne est d'une durée de 3 ans. Si le conjoint vous quitte et réclame des prestations d'aide sociale durant cette période, vous serez tenue d'en rembourser le montant à l'État.
Source: Un pont vers le Canada, Radio-Canada, émission "Enquête", http://www.radio-canada.ca/actualite/v2/enquete/#
Radio-Canada diffusait « Un pont vers le Canada », un reportage décrit comme suit :
(31 janvier 2008) - Larrivée dInternet dans les villages amérindiens a contribué à briser lisolement des Autochtones et particulièrement des femmes qui ont découvert les joies des sites de rencontres. Par les nouvelles technologies, certaines de ces femmes, qui vivent souvent à des centaines de kilomètres de la ville la plus proche, ont trouvé lâme sur à lextérieur du pays.
Le résultat de cet univers amoureux élargi : une immigration improbable dans les communautés autochtones du Québec.
Journaliste : Émilie Dubreuil. Réalisateur : Alain Abel. Caméraman : Sylvain Castonguay. Preneur de son : Éric Carbonneau. Monteur : Clarence Gagné.
(Au besoin, pour retrouver le reportage, vous rendre dans la section archive: «Un Pont vers le Canada» a été diffusé le 31 janvier 2008)
extrait vidéo Première partie du reportage : http://www.radio-canada.ca/audio-vi...a=/Medianet/2008/CBFT/Enquete200801312130.asx
extrait vidéo Deuxième partie du reportage : http://www.radio-canada.ca/audio-vi...a=/Medianet/2008/CBFT/Enquete200801312146.asx
Commentaire de Point de BASCULE
Des femmes innus ou attikameks se convertissent à l'islam, adoptent le voile et cessent de consommer du porc. Ces Amérindiennes pauvres envoient de l'argent au Maroc. Certaines ont été abandonnées par le conjoint et ont refusé de raconter leur histoire.
Ce reportage nous inspire une profonde tristesse face à la détresse de ces femmes amérindiennes facilement exploitables par des Maghrébins sans scrupules prêts à tout pour sortir de leur pays et obtenir un visa pour le Canada.
Rappelons à toutes les femmes du Québec que le parrainage d'un conjoint étranger emporte l'engagement envers le gouvernement du Québec de veiller aux besoins financiers de la personne parrainée de façon à ce quelle nait pas besoin de recourir à laide gouvernementale.
L'obligation de subvenir aux besoins de cette personne est d'une durée de 3 ans. Si le conjoint vous quitte et réclame des prestations d'aide sociale durant cette période, vous serez tenue d'en rembourser le montant à l'État.
Source: Un pont vers le Canada, Radio-Canada, émission "Enquête", http://www.radio-canada.ca/actualite/v2/enquete/#