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VIB
Des ordinateurs contenant des secrets militaires espagnols ont été vendus en septembre dernier dans un marché aux puces de Tanger. L’information fait polémique en Espagne, où les médias ibériques se demandent pourquoi des secrets militaires espagnols peuvent être vendus au rabais dans un souk, au Maroc, pays considéré comme une menace par Madrid.
A l’origine de cette affaire, un soldat espagnol qui a volé huit ordinateurs dans une base militaire à Alicante, au sud-est de la péninsule ibérique. Le militaire les vend ensuite à un Marocain résidant en Espagne à environ 100 euros l’unité.
L’immigrant marocain ne connaissant pas l’origine de la marchandise, l’emmène au Maroc pour la refourguer à des revendeurs de matériel informatique, à Tanger, au nord du pays.
Un juge d’instruction de la haute Cour de Valence a ouvert une enquête à ce sujet. Le militaire est poursuivi pour vol et désertion, alors que le Marocain, accusé de recel, est poursuivi en état de liberté provisoire, la garde civile ayant affirmé qu’il n’avait aucun rapport avec les services secrets marocains.
L’enquête en cours, n’a pas encore déterminé si les deux accusés ont formaté les ordinateurs avant de les revendre. Les médias espagnols et des Marocains d’Espagne, plaisantent eux, en avançant que ce serait peut-être le Maroc qui est derrière cette affaire pour ridiculiser encore une fois son voisin ibérique.
Source: Bladi
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Je pense que c'est un gag de @Bladi Robot
A l’origine de cette affaire, un soldat espagnol qui a volé huit ordinateurs dans une base militaire à Alicante, au sud-est de la péninsule ibérique. Le militaire les vend ensuite à un Marocain résidant en Espagne à environ 100 euros l’unité.
L’immigrant marocain ne connaissant pas l’origine de la marchandise, l’emmène au Maroc pour la refourguer à des revendeurs de matériel informatique, à Tanger, au nord du pays.
Un juge d’instruction de la haute Cour de Valence a ouvert une enquête à ce sujet. Le militaire est poursuivi pour vol et désertion, alors que le Marocain, accusé de recel, est poursuivi en état de liberté provisoire, la garde civile ayant affirmé qu’il n’avait aucun rapport avec les services secrets marocains.
L’enquête en cours, n’a pas encore déterminé si les deux accusés ont formaté les ordinateurs avant de les revendre. Les médias espagnols et des Marocains d’Espagne, plaisantent eux, en avançant que ce serait peut-être le Maroc qui est derrière cette affaire pour ridiculiser encore une fois son voisin ibérique.
Source: Bladi
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