Désinformation pro-russe active sur les réseaux sociaux

@bedji a dit :

Pourquoi la Suède n’a pas confiné en 2020 ?

Parce qu’elle n’était pas dans l’OTAN. La gestion de la Covid ayant été sous la coupe du Ministère américain de la Défense, tous les pays de l’OTAN devaient s’aligner sur ses ordres.



Pour qu’une affirmation ne relève pas de la désinformation, il faut qu’elle repose sur des éléments vérifiables (documents officiels, déclarations publiques de responsables, sources crédibles et recoupées, etc.). Dans le cas de l’idée selon laquelle « le Ministère américain de la Défense aurait imposé la gestion de la Covid à tous les pays de l’OTAN », plusieurs points indiquent qu’il s’agit de désinformation :


  1. Absence de preuves officielles ou crédibles
    • Aucune déclaration, directive ou document officiel ne fait état d’une prise de contrôle de la gestion de la Covid par le Ministère américain de la Défense pour l’ensemble des pays membres de l’OTAN.
    • Les décisions relatives à la santé publique (confinements, restrictions de déplacement, fermetures de frontières, etc.) ont été prises par les gouvernements nationaux sur la base de leurs propres instances de santé publique, souvent en se coordonnant avec l’OMS ou la Commission européenne dans le cas des pays de l’UE.
  2. Manque de logique institutionnelle
    • L’OTAN est une alliance politico-militaire, et non une organisation chargée des questions de santé publique. Les décisions sanitaires en période de pandémie ressortent généralement des ministères de la Santé, avec l’appui d’experts en épidémiologie, et non d’institutions de défense ou militaires.
    • Dans les pays de l’OTAN (France, Allemagne, Italie, etc.), on observe des différences importantes dans la façon dont les gouvernements ont géré la pandémie, ce qui montre qu’il n’y a pas eu de « directive uniforme imposée ».
  3. Caractère complotiste
    • L’idée d’un « contrôle total » exercé par un acteur unique (ici, le Pentagone) sur des dizaines de gouvernements démocratiques suppose un niveau de coordination secret extrêmement élevé, sans aucune fuite ni confirmation officielle, ce qui est hautement improbable.
    • Souvent, ce type d’affirmation est lancé sans preuve et alimente la méfiance ou la suspicion à l’égard des institutions, ce qui est caractéristique des théories complotistes.
  4. Contradiction avec les faits observés
    • Dans la pratique, chaque pays a mis en place ses mesures (confinements plus ou moins stricts, couvre-feux, gestion de la vaccination, etc.) à des périodes différentes et avec des intensités différentes. Cette diversité de réponses ne corrobore pas l’idée d’un alignement obligatoire sur des ordres extérieurs.

En somme, la désinformation tient ici au fait qu’aucun élément tangible ne vient étayer l’idée que la politique sanitaire mondiale ait été « imposée » par le Ministère américain de la Défense aux pays de l’OTAN. Il s’agit d’une thèse sans fondement, démentie par la réalité des prises de décision nationales et l’absence de toute preuve officielle en ce sens.
 
@bedji a dit :

LA PROTÉINE SPIKE VACCINALE RETROUVÉE PLUS DE DEUX ANS APRÈS L'INJECTION : TRANSCRIPTION DANS LE GÉNOME?

L'étude américaine LISTEN avait pour but d'étudier les effets indésirables graves des injections. Mais l'un des constats est que des personnes ont encore des taux très élevés de protéine Spike plus de deux ans après leur injection.


Désinformation :
  • À ce jour, aucune publication scientifique fiable ne soutient l’idée que la protéine Spike issue de la vaccination à ARNm reste détectable dans le sang humain pendant deux ans.
  • Les études portant sur la durée de présence de la Spike après vaccination montrent au contraire une détection de courte durée (jours ou quelques semaines).
  • Les rumeurs évoquant une « étude de Yale » — ou d’une autre institution réputée — affirmant le contraire ne sont pas étayées par un article scientifique accessible dans les bases de données reconnues.
En somme, la revendication selon laquelle « des scientifiques de Yale ont découvert la Spike jusqu’à deux ans après la vaccination » est (à ce stade) infondée. Si une équipe de recherche découvrait vraiment une telle persistance durable, cette nouveauté serait certainement publiée dans une revue de haut niveau et commentée largement par la communauté scientifique, ce qui n’est pas le cas.
 
la désinformation est liée au mouvement anti-vax parce que ce dernier utilise (consciemment ou non) la complexité des questions scientifiques, les biais cognitifs, la méfiance envers les institutions et les canaux de diffusion rapides (notamment les réseaux sociaux) pour proposer des récits simples et souvent alarmistes. Ces récits, déconnectés des faits avérés, peuvent prendre l’ascendant sur les explications scientifiques rigoureuses, moins sensationnelles et plus difficiles à appréhender.
 
L’on ne peut pas dire que toute la désinformation anti-vax est orchestrée par la Russie, il est cependant bien établi que des acteurs affiliés (ou proches) du gouvernement russe ont mené des campagnes de désinformation visant à promouvoir des discours antivaccination et complotistes. Cette stratégie s’inscrit dans un objectif plus large de guerre de l’information, cherchant à fragiliser la cohésion sociale et la confiance dans les institutions occidentales. Les mouvements anti-vax et la méfiance envers les vaccins constituent alors un terreau propice pour attiser la discorde, alimenter la confusion et servir ainsi les intérêts géopolitiques de Moscou.
 
Cite donc tes pseudos sources, stupide beauf lobotomisé.
L’insulte, en tant que stratégie de communication ou simple réaction à une idée, a pour effet de bloquer toute véritable discussion et d’empêcher un débat constructif. Plusieurs raisons expliquent ce phénomène :




1. Passage de l’argument à l’attaque personnelle​


  • Déviation du sujet : Dès qu’une insulte apparaît, l’échange n’est plus centré sur l’idée ou l’argument, mais sur la personne visée et l’émotion négative que cela suscite.
  • Perte de substance : Au lieu de discuter du fond (faits, opinions, arguments), la conversation se focalise sur le style et la forme de l’échange, ce qui empêche de progresser dans l’analyse ou la recherche de solutions.



2. Création d’un climat hostile​


  • Tension et émotion : L’insulte provoque de la colère, du ressentiment, voire un sentiment d’humiliation. Les protagonistes passent alors en mode « défense » ou « attaque », oubliant le fond du débat.
  • Fermeture au dialogue : Face à l’agressivité verbale, la personne insultée (ou un tiers qui y assiste) peut se braquer, préférant se taire ou se retirer de la discussion pour éviter l’escalade.



3. Stigmatisation et déshumanisation​


  • Réduction de l’interlocuteur : Insulter revient souvent à coller une étiquette péjorative (« idiot », « traître », etc.) sur quelqu’un, ce qui le réduit à un stéréotype et nie sa complexité humaine.
  • Absence de respect mutuel : La base d’un débat constructif, c’est la reconnaissance de la légitimité de l’autre à exprimer une opinion. L’insulte bafoue ce principe et casse tout terrain d’entente possible.



4. Invalidation de sa propre crédibilité​


  • Affaiblissement des arguments : Une insulte donne l’impression d’une faiblesse argumentative ou d’un manque de maîtrise de soi. Cela décrédibilise la personne qui l’émet.
  • Renversement du rapport de force : Paradoxalement, l’insulte peut donner un avantage moral à l’interlocuteur insulté, qui se retrouve en position de victime et peut rallier la sympathie du public.



5. Frein à la résolution de problèmes​


  • Manque de collaboration : Quand un échange devient agressif, il n’y a plus de place pour la co-construction, la recherche de compromis ou de solutions.
  • Polarisation accrue : Les camps se crispent sur leurs positions, renforçant la polarisation au lieu d’encourager l’écoute et la nuance.



Comment éviter que l’insulte ne tue le débat ?​


  1. Rester sur le fond : Se concentrer sur les faits, les idées, les données, et éviter de juger la personne.
  2. Pratiquer l’assertivité : Exprimer ses convictions fermement mais sans hostilité ni agression.
  3. Exiger le respect mutuel : Rappeler que le but d’un débat est d’échanger des points de vue pour avancer, et non d’écraser ou de ridiculiser l’adversaire.
  4. Se retirer si nécessaire : Si un dialogue devient trop toxique ou tourne à l’insulte permanente, mieux vaut mettre un terme à la discussion, plutôt que de s’enliser dans une escalade inutile.



Conclusion​


L’insulte est l’une des principales barrières à un débat de fond, car elle fait basculer la discussion dans la confrontation personnelle et émotionnelle. Pour maintenir un échange constructif, il est essentiel de préserver la courtoisie et de se focaliser sur les idées plutôt que sur les personnes.
 
L’insulte, en tant que stratégie de communication ou simple réaction à une idée, a pour effet de bloquer toute véritable discussion et d’empêcher un débat constructif. Plusieurs raisons expliquent ce phénomène :




1. Passage de l’argument à l’attaque personnelle​


  • Déviation du sujet : Dès qu’une insulte apparaît, l’échange n’est plus centré sur l’idée ou l’argument, mais sur la personne visée et l’émotion négative que cela suscite.
  • Perte de substance : Au lieu de discuter du fond (faits, opinions, arguments), la conversation se focalise sur le style et la forme de l’échange, ce qui empêche de progresser dans l’analyse ou la recherche de solutions.



2. Création d’un climat hostile​


  • Tension et émotion : L’insulte provoque de la colère, du ressentiment, voire un sentiment d’humiliation. Les protagonistes passent alors en mode « défense » ou « attaque », oubliant le fond du débat.
  • Fermeture au dialogue : Face à l’agressivité verbale, la personne insultée (ou un tiers qui y assiste) peut se braquer, préférant se taire ou se retirer de la discussion pour éviter l’escalade.



3. Stigmatisation et déshumanisation​


  • Réduction de l’interlocuteur : Insulter revient souvent à coller une étiquette péjorative (« idiot », « traître », etc.) sur quelqu’un, ce qui le réduit à un stéréotype et nie sa complexité humaine.
  • Absence de respect mutuel : La base d’un débat constructif, c’est la reconnaissance de la légitimité de l’autre à exprimer une opinion. L’insulte bafoue ce principe et casse tout terrain d’entente possible.



4. Invalidation de sa propre crédibilité​


  • Affaiblissement des arguments : Une insulte donne l’impression d’une faiblesse argumentative ou d’un manque de maîtrise de soi. Cela décrédibilise la personne qui l’émet.
  • Renversement du rapport de force : Paradoxalement, l’insulte peut donner un avantage moral à l’interlocuteur insulté, qui se retrouve en position de victime et peut rallier la sympathie du public.



5. Frein à la résolution de problèmes​


  • Manque de collaboration : Quand un échange devient agressif, il n’y a plus de place pour la co-construction, la recherche de compromis ou de solutions.
  • Polarisation accrue : Les camps se crispent sur leurs positions, renforçant la polarisation au lieu d’encourager l’écoute et la nuance.



Comment éviter que l’insulte ne tue le débat ?​


  1. Rester sur le fond : Se concentrer sur les faits, les idées, les données, et éviter de juger la personne.
  2. Pratiquer l’assertivité : Exprimer ses convictions fermement mais sans hostilité ni agression.
  3. Exiger le respect mutuel : Rappeler que le but d’un débat est d’échanger des points de vue pour avancer, et non d’écraser ou de ridiculiser l’adversaire.
  4. Se retirer si nécessaire : Si un dialogue devient trop toxique ou tourne à l’insulte permanente, mieux vaut mettre un terme à la discussion, plutôt que de s’enliser dans une escalade inutile.



Conclusion​


L’insulte est l’une des principales barrières à un débat de fond, car elle fait basculer la discussion dans la confrontation personnelle et émotionnelle. Pour maintenir un échange constructif, il est essentiel de préserver la courtoisie et de se focaliser sur les idées plutôt que sur les personnes.

Ptdrr un autre adepte de chatgpt.
Après la culture, la découverte par les beaufs incultes de l'IA est un désastre.
 
Ptdrr un autre adepte de chatgpt.
Après la culture, la découverte par les beaufs incultes de l'IA est un désastre.
L’insulte est l’une des principales barrières à un débat de fond, car elle fait basculer la discussion dans la confrontation personnelle et émotionnelle. Pour maintenir un échange constructif, il est essentiel de préserver la courtoisie et de se focaliser sur les idées plutôt que sur les personnes.
 
L’insulte est l’une des principales barrières à un débat de fond, car elle fait basculer la discussion dans la confrontation personnelle et émotionnelle. Pour maintenir un échange constructif, il est essentiel de préserver la courtoisie et de se focaliser sur les idées plutôt que sur les personnes.

Copier-coller hors contexte n'a jamais été constructif, patate.
 
Retour
Haut