Le président a affirmé que la France avait "besoin d'apaisement", "de réconciliation", "de rassemblement", ajoutant que le chef de l'Etat devait faire "vivre ensemble tous les Français sans distinction", mardi dans son discours d'investiture à l'Elysée.
François Hollandea affirmé que la France avait "besoin d'apaisement", "de réconciliation", "de rassemblement", ajoutant que le chef de l'Etat devait faire "vivre ensemble tous les Français sans distinction", mardi dans son discours d'investiture à l'Elysée. "Nos différence ne doivent pas devenir des divisions, nos diversités des discordes. Le pays a besoin d'apaisement, de réconciliation, de rassemblement, c'est le rôle du président de la République d'y contribuer", a dit M. Hollande avant de souligner qu'il lutterait "contre toutes les discriminations".
Le nouveau président de la République a cité mardi "une dette massive" au premier rang des "contraintes" qui pèsent sur la France à l'heure où il devient officiellement chef de l'Etat. "Je mesure aujourd'hui même le poids des contraintes auxquelles notre pays fait face: une dette massive, une croissance faible, un chômage élevé, une compétitivité dégradée, une Europe qui peine à sortir dégradée", a déclaré M. Hollande dans son premier discours après son investiture officielle à l'Elysée, affirmant qu'il n'y a "pas de fatalité".
François Hollande a assuré qu'il ne déciderait pas de tout, "pour tout et partout". "Je fixerai les priorités, mais je ne déciderai pas" de tout "pour tout et partout", a-t-il dit, après avoir répété au long de sa campagne électorale qu'il ne serait ni chef de gouvernement, ni chef de majorité, en succédant à Nicolas Sarkozy qualifié souvent '"omniprésident". "La confiance, c'est l'exemplarité", a dit le nouveau chef de l'Etat. "Président de la République, j'assumerai pleinement les responsabilités exceptionnelles de cette haute mission. Je fixerai les priorités, mais je ne déciderai pas de tout, pour tout et partout". "Conformément à la Constitution, le gouvernement déterminera et conduira la politique de la nation, le Parlement sera respecté dans ses droits, la justice disposera de toutes les garanties de son indépendance", a-t-il poursuivi
François Hollandea affirmé que la France avait "besoin d'apaisement", "de réconciliation", "de rassemblement", ajoutant que le chef de l'Etat devait faire "vivre ensemble tous les Français sans distinction", mardi dans son discours d'investiture à l'Elysée. "Nos différence ne doivent pas devenir des divisions, nos diversités des discordes. Le pays a besoin d'apaisement, de réconciliation, de rassemblement, c'est le rôle du président de la République d'y contribuer", a dit M. Hollande avant de souligner qu'il lutterait "contre toutes les discriminations".
Le nouveau président de la République a cité mardi "une dette massive" au premier rang des "contraintes" qui pèsent sur la France à l'heure où il devient officiellement chef de l'Etat. "Je mesure aujourd'hui même le poids des contraintes auxquelles notre pays fait face: une dette massive, une croissance faible, un chômage élevé, une compétitivité dégradée, une Europe qui peine à sortir dégradée", a déclaré M. Hollande dans son premier discours après son investiture officielle à l'Elysée, affirmant qu'il n'y a "pas de fatalité".
François Hollande a assuré qu'il ne déciderait pas de tout, "pour tout et partout". "Je fixerai les priorités, mais je ne déciderai pas" de tout "pour tout et partout", a-t-il dit, après avoir répété au long de sa campagne électorale qu'il ne serait ni chef de gouvernement, ni chef de majorité, en succédant à Nicolas Sarkozy qualifié souvent '"omniprésident". "La confiance, c'est l'exemplarité", a dit le nouveau chef de l'Etat. "Président de la République, j'assumerai pleinement les responsabilités exceptionnelles de cette haute mission. Je fixerai les priorités, mais je ne déciderai pas de tout, pour tout et partout". "Conformément à la Constitution, le gouvernement déterminera et conduira la politique de la nation, le Parlement sera respecté dans ses droits, la justice disposera de toutes les garanties de son indépendance", a-t-il poursuivi