Discours survolté au kremlin

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion coronax
  • Date de début Date de début

coronax

Bladinaute averti
Discours musclé du président Poutine devant les membres du gouvernement et des gouverneurs de province a fait sensation. Il n'a pas parlé uniquement avec véhémence contre l’Occident qu'il l’accusait de vouloir détruire la Russie. Mais avec des mots durs pour ces compatriotes, il a également déclaré que tous ceux qui sympathisent avec les modes de vie et les valeurs occidentales et pensent politiquement différemment de ce qui est prévu dans sa dictature sont plus ou moins des traitres.
Avec ces mots, il a réveillé les sombres souvenirs du temps et des méthodes qui sont malheureusement populaires en Russie depuis un certain temps: la terreur et les « purges » politico-sociales contre les soi-disant traîtres au peuple, comme lors de la Grande Terreur des années trente et du stalinisme.

Le passage crucial qui a fait frémir les auditeurs qui ne sont pas en phase avec la politique du Kremlin est que le peuple russe est toujours capable de distinguer les vrais patriotes des « sales gars et traîtres ». Il les recrache simplement comme une mouche qui s’est retrouvée dans la bouche.
« Je suis convaincu qu’un tel auto-nettoyage naturel et nécessaire de la société ne fait que renforcer notre pays », a-t-il déclaré.

Est-ce que Poutine commencerait à mesurer l'ampleur du rejet intérieur de sa politique ?
 
“Poutine se déchaîne contre la ‘cinquième colonne’”, titre le tabloïd russe Moskovski Komsomolets au lendemain du discours “extrêmement émotionnel” que Vladimir Poutine a donné ce mercredi 16 mars, en ouverture du Conseil économique et social de soutien aux régions. La Russie ne pardonnera pas aux “traîtres” qui “rampent” devant la “caste supérieure occidentale”.
 
Pour poutine ce sont les traitres intérieurs qui vivent en russie mais ont l'esprit en occident.
Comme je disais dans un autre sujet, on devrait proposer un échange à poutine : ils nous envoi ses admirateurs du libéralisme et nous on lui envoi nos admirateurs de son anti‑libéralisme, comme ça tout le monde sera à sa place.
 
Discours musclé du président Poutine devant les membres du gouvernement et des gouverneurs de province a fait sensation. Il n'a pas parlé uniquement avec véhémence contre l’Occident qu'il l’accusait de vouloir détruire la Russie. Mais avec des mots durs pour ces compatriotes, il a également déclaré que tous ceux qui sympathisent avec les modes de vie et les valeurs occidentales et pensent politiquement différemment de ce qui est prévu dans sa dictature sont plus ou moins des traitres.
Avec ces mots, il a réveillé les sombres souvenirs du temps et des méthodes qui sont malheureusement populaires en Russie depuis un certain temps: la terreur et les « purges » politico-sociales contre les soi-disant traîtres au peuple, comme lors de la Grande Terreur des années trente et du stalinisme.

Le passage crucial qui a fait frémir les auditeurs qui ne sont pas en phase avec la politique du Kremlin est que le peuple russe est toujours capable de distinguer les vrais patriotes des « sales gars et traîtres ». Il les recrache simplement comme une mouche qui s’est retrouvée dans la bouche.
« Je suis convaincu qu’un tel auto-nettoyage naturel et nécessaire de la société ne fait que renforcer notre pays », a-t-il déclaré.

Est-ce que Poutine commencerait à mesurer l'ampleur du rejet intérieur de sa politique ?


envoie la vidéo le mytho
 
Comme je disais dans un autre sujet, on devrait proposer un échange à poutine : ils nous envoi ses admirateurs du libéralisme et nous on lui envoi nos admirateurs de son anti‑libéralisme, comme ça tout le monde sera à sa place.
Ses admirateurs principaux du libéralisme sont les oligarques qui gagnent beaucoup en Russie et dépensent en occident.
Pas dit qu'ils veuillent quitter définitivement la patrie qu'ils plument allègrement.
 
Ses admirateurs principaux du libéralisme sont les oligarques qui gagnent beaucoup en Russie et dépensent en occident.
Pas dit qu'ils veuillent quitter définitivement la patrie qu'ils plument allègrement.
Pourtant la classe moyenne quitte aussi la russie, d’après ce que tu as rapporté
 
Retour
Haut