Vos chances de décrocher un entretien peuvent carrément tripler si vous habitez dans le bon quartier
Une étude a démontré quun CV pourvu dune adresse située dans un quartier favorisé multiplie considérablement les chances de décrocher un entretien tandis quune adresse jugée « mauvaise » les réduit.
LObservatoire des zones urbaines sensibles (Onzus) a menée une étude ce lundi sur 3.000 candidatures fictives toutes similaires (âge, sexe, parcours) et où les patronymes « ne suggèrent pas quils sont issus de limmigration ». Les résultats sont formels : un profil de serveur non-qualifié ne reçoit seulement 10% de réponses favorables en résidant en Seine-St-Denis, contre 20% pour un profil résidant à Paris. Létude confirme : « Une bonne adresse peut aller jusquà tripler les chances dêtre invité à un entretien dembauche » .
Cette discrimination touche particulièrement les serveurs et les cuisiniers vivant dans des quartiers considérés comme « défavorisés » de Paris. Et elle touche même encore plus les serveurs que les cuisiniers. Ceci sexplique par leur contact direct avec la clientèle : « Un préjugé des employeurs serait que le fait dhabiter dans un quartier défavorisé signale de moindres capacités dexpression et de communication des candidats. »
http://dailygeekshow.com/2013/06/26...=e-mail&utm_campaign=Newsletter2013-06-26
mam![Quoi!!! :eek: :eek:](data:image/gif;base64,R0lGODlhAQABAIAAAAAAAP///yH5BAEAAAAALAAAAAABAAEAAAIBRAA7)
Une étude a démontré quun CV pourvu dune adresse située dans un quartier favorisé multiplie considérablement les chances de décrocher un entretien tandis quune adresse jugée « mauvaise » les réduit.
LObservatoire des zones urbaines sensibles (Onzus) a menée une étude ce lundi sur 3.000 candidatures fictives toutes similaires (âge, sexe, parcours) et où les patronymes « ne suggèrent pas quils sont issus de limmigration ». Les résultats sont formels : un profil de serveur non-qualifié ne reçoit seulement 10% de réponses favorables en résidant en Seine-St-Denis, contre 20% pour un profil résidant à Paris. Létude confirme : « Une bonne adresse peut aller jusquà tripler les chances dêtre invité à un entretien dembauche » .
Cette discrimination touche particulièrement les serveurs et les cuisiniers vivant dans des quartiers considérés comme « défavorisés » de Paris. Et elle touche même encore plus les serveurs que les cuisiniers. Ceci sexplique par leur contact direct avec la clientèle : « Un préjugé des employeurs serait que le fait dhabiter dans un quartier défavorisé signale de moindres capacités dexpression et de communication des candidats. »
http://dailygeekshow.com/2013/06/26...=e-mail&utm_campaign=Newsletter2013-06-26
mam