Disparition mystérieuse de Medhi Narjissi

Bladi Robot

Je suis un vrai robot!
Disparu en mer depuis mercredi au cap de Bonne-Espérance, en Afrique du Sud, le rugbyman français Medhi Narjissi, joueur du Stade toulousain formé à Agen, âgé de 17 ans, n'a toujours pas été retrouvé. La police a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de sa disparition.
Jeudi, la Fédération française de rugby (FFR) a, dans un communiqué, annoncé l'ouverture d'une enquête de police pour retrouver l'international Franco-marocain Medhi Narjissi porté disparu depuis (...)

- Sport / Disparition, Rugby, Afrique du Sud, Enquête, Toulouse, France

Disparition mystérieuse de Medhi Narjissi
 
je ne comprend pas la moitié des titres sur bladi....

Disparition mystérieuse....

Il n'y a rien de mystérieux, le gamin est aller nager dans un endroit où les courants sont forts et les requins meurent de faim....
 
je ne comprend pas la moitié des titres sur bladi....

Disparition mystérieuse....

Il n'y a rien de mystérieux, le gamin est aller nager dans un endroit où les courants sont forts et les requins meurent de faim....
il n'est pas "allé nager", l'encadrement de la FFR a amené ce groupe d'adolescents pour une "récupérartion" à un endroit particulièrement dangereux. Merci de respecter sa famille , ses parents Jalil et Valérie, sa soeur Ines, qui est sous le choc de leur enfant et fils unique.
 
Ce mardi après-midi, à Agen, Jalil Narjissi a pris la parole lors d'une conférence de presse marquée par l'émotion. Depuis la disparition tragique de son fils Mehdi, emporté par une vague en Afrique du Sud début août, l'ancien talonneur d'Agen et sa famille sont plongés dans la douleur et l'incompréhension. Mais ce qui les révolte encore plus, c'est ce qu'ils estiment être un manque d'investissement de la Fédération Française de Rugby et surtout de son président Florian Grill. Dans des propos rapportés par Midi Olympique, Narjissi n'a pas mâché ses mots à l'encontre de Grill. Il a dénoncé le manque de soutien et d'empathie de la part de la FFR. "Le président de la FFR, je ne l’ai eu qu’une seule fois au téléphone, le 7 août 17h59 pour m’annoncer la disparition de mon fils. ", a-t-il confié. "Il se déplace pour d’autres affaires mais pour notre fils, pour la mort de notre fils, il ne vient pas ?" Pour Narjissi, cette absence de réponse de la part de la FFR, malgré la présence de Jean-Marc Béderède sur place, est inacceptable. Il précise que le Stade Toulousain, via des appels quotidiens de Mola et Lacroix ou encore la fédé sud-africaine les ont accompagnés. Mais il n'a eu Grill que par Whatspp. "Grill, il m’a simplement proposé une visio quand j’ai râlé auprès du consulat mais il n’était même pas là à notre retour, au moins par respect pour notre fils." Sans oublier "un SMS de Monsieur Lhermet. Un SMS, même pas de vive voix. Voilà… Ils n’étaient pas présents à l’aller, pas présents au retour, pas présents sur place." La famille Narjissi, elle, ne demande pas l'impossible : elle veut des réponses, elle veut comprendre pourquoi la vie de Mehdi a été arrachée de cette façon. Face à ces propos, je considère d’abord que je n’ai rien à dire, si ce n’est de respecter cette colère et de l’écouter. D’aller en Afrique du Sud, je me suis évidemment posé la question immédiatement. (Source : Midi Olympique) Face à ces accusations, Florian Grill a tenté de se justifier, via le Midol. Mais ces mots semblent bien insuffisants pour la famille Narjissi, qui attend des actions concrètes plutôt que des condoléances de circonstance. D’ailleurs, dans un second temps, j’ai voulu y aller, le rejoindre. J’ai alors peut-être mal interprété ses besoins, ses envies : il refusait mes visios, certains de mes appels. J’ai imaginé que ma présence était inopportune, qu’il n’avait pas envie de me voir puisque j’étais aussi celui qui lui avait annoncé le drame. Je me suis dit : « n’impose pas ta présence, il n’en veut pas ». Je me suis peut-être trompé. Depuis je n’ai eu de cesse d’écrire à Jalil, de lui dire que je suis à sa disposition quand il le voulait, comme il le souhaitait : en visio, par téléphone ou physiquement. Qu’on pouvait se voir. "Ce n’est pas un accident, c’est quelque chose de provoqué par l’inconscience des adultes", a même déclaré Jalil Narjissi via Sud Ouest, réitérant son incompréhension sur les circonstances de la disparition de son fils. Les Narjissi sont déterminés à obtenir justice, et ne comptent pas rester silencieux. "Ils sont responsables, tous. Les 12 adultes encadrants sont responsables. Personne ne s’est mis devant pour arrêter ça. Ils ont cautionné, donc ils sont responsables". Plusieurs enquêtes sont en cours pour déterminer les causes de la disparition de Medhi ainsi que les
 
il n'est pas "allé nager", l'encadrement de la FFR a amené ce groupe d'adolescents pour une "récupérartion" à un endroit particulièrement dangereux. Merci de respecter sa famille , ses parents Jalil et Valérie, sa soeur Ines, qui est sous le choc de leur enfant et fils unique.
Tu ne vas quand même pas commencer à me faire la morale? tu te prend pour qui?? Jusqu'à présent je dis ce que j'ai envie de dire sans devoir subir tes états d'âme.
 
Tu ne vas quand même pas commencer à me faire la morale? tu te prend pour qui?? Jusqu'à présent je dis ce que j'ai envie de dire sans devoir subir tes états d'âme.

C est à dire que tu présentes mal les faits

Qd on lit qu il "est allé nager" , c est comme si c était une décision propre à lui , un loisir pour un après midi

Alors que non , il faisait partie d un groupe ENCADRÉ par des adultes qui les ont ramenés sur cette plage et DANS cette eau pour une " séance de récupération"

Cette séance ds cette plage n était même pas prévue au programme, qui l a décidée , et pkoi a cet endroit là ?
A la vue du lieu , des vagues, des panneaux de danger , c'est impensable que des adultes aient emmené des jeunes ( mineurs en plus donc complètement sous leur responsabilité) a cet endroit

Et plus je lis sur cette histoire, plus je plains les parents

Car sur 10 adultes , un seul aurait tenté qqchose qd le jeune était emporté..




Pauvre famille ! Tu confiés ton fils à une fédération pour une compétition, et il meurt ds ces circonstances....



Si ces jeunes avaient été d eux mêmes sur cette plage lors d un quartier libre , j'aurais parlé de " négligence" concernant ce drame

Mais là non . Pour moi ils sont entièrement responsables, jamais ce groupe de jeunes n aurait dû se retrouver ds l'eau à cet endroit


Après oui le titre est débile , il n y a rien de mystérieux...
 
C est à dire que tu présentes mal les faits

Qd on lit qu il "est allé nager" , c est comme si c était une décision propre à lui , un loisir pour un après midi

Alors que non , il faisait partie d un groupe ENCADRÉ par des adultes qui les ont ramenés sur cette plage et DANS cette eau pour une " séance de récupération"

Cette séance ds cette plage n était même pas prévue au programme, qui l a décidée , et pkoi a cet endroit là ?
A la vue du lieu , des vagues, des panneaux de danger , c'est impensable que des adultes aient emmené des jeunes ( mineurs en plus donc complètement sous leur responsabilité) a cet endroit

Et plus je lis sur cette histoire, plus je plains les parents

Car sur 10 adultes , un seul aurait tenté qqchose qd le jeune était emporté..




Pauvre famille ! Tu confiés ton fils à une fédération pour une compétition, et il meurt ds ces circonstances....



Si ces jeunes avaient été d eux mêmes sur cette plage lors d un quartier libre , j'aurais parlé de " négligence" concernant ce drame

Mais là non . Pour moi ils sont entièrement responsables, jamais ce groupe de jeunes n aurait dû se retrouver ds l'eau à cet endroit


Après oui le titre est débile , il n y a rien de mystérieux...
J'ai même compris pire que ça , les encadrants pour la plupart étaient restés sur le sable et le seul qui aurait tenté pendant 20 mn de ramener Mehdi était son meilleur ami, coéquipier, Oscar. Le pauvre a été traumatisé. Il se trouve que le père de Mehdi est un ancien international de rugby qui connait cette plage où les vagues sont énormes , 4m, répétitives et les courants très puissants. Perso j'ai déjà connu une fois une expérience un peu semblable où la pente de la plage était très vite très raide, des vagues extrêmement puissantes qui se cassaient à une cinquantaine de mètres et qui entrainait un reflux vers le large très puissant. Je me disais "bedji si tu pers l'équilibre c'est peut être ta vie que tu joueras". Je suis sorti aussitôt.
Egalement Aout en AFrique du Sud est un mois d'hiver, donc l'eau était à mon avis très froide (je sais que les sportifs récupèrent musculairement dans de l'eau très froide) et les encadrants n'avaient même pas prévu un bateau de secours au cas où il y aurait eu un malaise. Question: pourquoi aucun dispositif de secours sur l'eau ? Si c'est à cause des vagues, eh bien alors il ne fallait pas mettre ce groupe de jeunes à l'eau!!

Pour revenir au contexte Mehdi avait 17 ans, donc pas d'expérience et faisait confiance à son encadrement d'adultes.
Le combat pour la vérité de sa famille s'annonce très difficile car ces gens là vont certainement chercher d'abord à se couvrir collectivement face à la famille , puis si la famille et leur avocat parvenaient à mettre en accusation un ou plusieurs encadrants sur un fait précis alors ils se renverraient la balle. L'expérience montre qu'en France personne n'assume car la justice française donne la prime aux menteurs et à ceux qui sont de mauvaise fois surtout quant ils sont puissants (et làa on parle tout de même de la Fédération Française de Rugby, quand même!)

En tout cas je suis cette affaire, je soutiens la famille dans son combat pour la vérité, en espérant que là où se trouve Mehdi il suivra ce que sa famille fait pour lui et ne l'oubliera jamais.
 
Dernière édition:
L'article de Ouest France donne plus de détails sur les circonstances rapportées par la famille:

« Aucun adulte n’a bougé » : la colère de la famille Narjissi après la disparition de leur fils​

La famille de Medhi Narjissi, joueur disparu alors qu’il se trouvait avec l’équipe de France de rugby U18 en Afrique du Sud, a tenu une conférence de presse ce mardi 27 août, à Agen. Elle a fait part de sa colère.

La famille de Medhi Narjissi a pris la parole pour revenir sur la disparition de leur fils.

La famille de Medhi Narjissi a pris la parole pour revenir sur la disparition de leur fils. | PHOTO : ILLUSTRATION AFPVoir en plein écran

Ils ont dit au revoir à leur fils, sans penser un seul instant que cela pourrait être un adieu. Début août, Medhi Narjissi s’est envolé avec l’équipe de France de rugby U18 en Afrique du Sud pour y disputer l’International Series.


Le 7 août, le jeune espoir du Stade Toulousain a été emporté par une vague sur la plage de Diaz Beach, en compagnie de ses coéquipiers et des encadrants pour y effectuer une baignade de récupération.

« Aucun adulte n’a bougé » : la colère de la famille Narjissi après la disparition de leur fils​

La famille de Medhi Narjissi, joueur disparu alors qu’il se trouvait avec l’équipe de France de rugby U18 en Afrique du Sud, a tenu une conférence de presse ce mardi 27 août, à Agen. Elle a fait part de sa colère.
La famille de Medhi Narjissi a pris la parole pour revenir sur la disparition de leur fils.

La famille de Medhi Narjissi a pris la parole pour revenir sur la disparition de leur fils.

Ils ont dit au revoir à leur fils, sans penser un seul instant que cela pourrait être un adieu. Début août, Medhi Narjissi s’est envolé avec l’équipe de France de rugby U18 en Afrique du Sud pour y disputer l’International Series.

Le 7 août, le jeune espoir du Stade Toulousain a été emporté par une vague sur la plage de Diaz Beach, en compagnie de ses coéquipiers et des encadrants pour y effectuer une baignade de récupération.

« C’est inimaginable »​

Le père de Medhi Narjissi, Jalil, ancien rugbyman professionnel, est sorti du silence ce mardi, en déplorant notamment la dangerosité de la plage. « Il n’y a pas besoin d’être entraîneur pro pour comprendre que c’est dangereux. N’importe quelle personne, n’importe quel parent… C’est inimaginable », a-t-il prononcé, des propos relayés par Rugbyrama .
Jalil Narjissi regrette également le fait qu’aucun adulte n’ait bougé en voyant son fils en difficulté, au contraire d’Oscar, l’un de ses coéquipiers. « Ils sont ceux à qui j’ai confié mon enfant, dans une fédération soi-disant d’élite, et il n’y a aucune action de leur part ? Rien pour aller chercher ces deux gamins qui se débattent dans l’eau ? C’est très grave ce qu’on vit, mais ça aurait pu être dramatique. Si Oscar n’avait pas de bonnes notions de nage… Je l’ai appelé, ce gamin. J’ai parlé à son père. Oscar, il est un héros pour moi. Il a eu les cou***** d’y aller. Même s’il n’a rien pu faire, il est mon héros. Et aucun adulte n’a bougé ? »

Désormais, l’affaire a été portée devant la justice et c’est cette dernière qui livrera son verdict.
 
« J’ai demandé au procureur de la République d’ouvrir une information pour recherche des causes de la disparition qui permettra au juge d’instruction d’entendre tous les membres de l’encadrement », a déclaré ce mercredi 21 août Me Édouard Martial, avocat des parents et de la sœur de Medhi Narjissi, après sa disparition au large de l’Afrique du Sud le 7 août dernier.

Le signalement a été effectué auprès du parquet d’Agen, ville où est domicilié le joueur, en déplacement avec l’équipe de France U18 quand le drame est survenu. Me Martial souhaite que le président de la Fédération française de rugby (FFR) soit entendu, ainsi que « tout le groupe de l’équipe de France U18, et notamment les joueurs qui étaient dans l’eau ».

« On sait d’ores et déjà qu’il y a eu une faute commise, c’est-à-dire que l’on n’aurait jamais dû laisser les jeunes joueurs, des mineurs, aller récupérer sur cette plage où, ce jour-là, il y avait des vagues de trois à quatre mètres, l’eau était très froide, et surtout, elle est réputée extrêmement dangereuse », fustige le conseil des proches, ajoutant qu’il n’y avait pas « de signal téléphonique » permettant « de prévenir les secours dans les meilleurs délais ».
 
Le récit d'une journée tragique, qui met en avant beaucoup d'incohérences et de fautes pour le père de Medhi Narjissi.

Lors de leur récente conférence de presse, les parents de Medhi Narjissi ont notamment donné plusieurs détails sur des décisions prises par certains membres du staff, et en particulier Robin Ladauge, le responsable de la préparation physique des U18. Selon Jalil Narjissi, ce dernier avait déjà été informé par le passé du danger de la baignade à Diaz Beach et avait tout de même pris cette décision, seul, d'emmener les jeunes joueurs là-bas.

Le père du jeune Medhi a également donné des précisions sur le déroulé de la journée, qui montre également de larges incohérences. "On ne comprend pas trop le déroulé de la journée", a-t-il indiqué, comme cela est indiqué dans La Dépêche. En effet, joueurs et encadrants ont pique-niqué tous ensemble sur une autre plage, avant de rejoindre Dias Beach pour aller y visiter un phare situé dans le coin. Et décision est alors prise de diviser le groupe en deux car tout le monde ne peut pas accéder en même temps au site en question.

"Là, il prend conscience qu’il y a un problème"

Jalil Narjissi souligne également que le docteur qui était présent ce jour-là, Pascal Pradier n'aurait pas voulu descendre jusqu'à la plage. Une faute de plus pour le père de Mehdi : "Ça aurait dû être sa place, il est docteur. Pour moi, il n’a rien à faire à aller se balader. Il doit être présent sur la plage". Stéphane Campos, manager général (et qui n'était pas au courant que Robin Ladauge avait décidé de mettre les enfants à l'eau à cet endroit selon sa déclaration), arrive quelques minutes après pour se mettre à l'eau, où les joueurs sont déjà. Le drame se produit alors, et Jalil Narjissi a raconté ce qu'il s'est passé à la presse, selon les dépositions qu'il a pu avoir en Afrique du Sud, et que le Midi Olympique a relayé.

Quand il arrive sur la plage, Cambos voit que l’autre partie des enfants est déjà dans l’eau. De ce qu’il dit dans sa déposition, il enlève son t-shirt pour aller aussi à l’eau. À ce moment-là, il entend Ladauge dire : "allez les enfants, on sort de l’eau !". Mais Cambos voit un problème au loin, et les jeunes de l’équipe sur la plage qui regardent aussi deux silhouettes qui se débattent. Lui aussi voit deux têtes et tout à coup, il ne voit plus qu’une seule tête. Là, il prend conscience qu’il y a un problème. Mais comme il n’a pas de signal téléphonique sur la plage, il remonte en courant pour alerter les secours.
Et c'est là que survient l'autre énorme problème pour Jalil Narjissi : le fait qu'aucun adulte n'ait décidé d'aller dans l'eau pour essayer de sauver Mehdi, qu'on ne reverra plus. "On en a perdu un", déclarera un membre du staff des U18 en remontant de la plage. La suite, malheureusement, nous ne la connaissons que trop bien.
 
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