Un citoyen tunisien de confession juive a été arrêté samedi 29 mars 2025 à Djerba, provoquant la mobilisation de plusieurs habitants de son quartier, La Hara, devant la zone de sécurité nationale de la ville. Des tensions ont éclaté, certains manifestants ayant tenté de forcer l’entrée du poste de police.
Selon une source sécuritaire citée par la journaliste de Radio Tataouine, Lamia Ben Ghali, l’arrestation a eu lieu dans le cadre d’un mandat de recherche émis par les autorités judiciaires. L’individu arrêté faisait l’objet d’une condamnation par contumace à sept ans de prison pour une affaire de droit commun liée à l’incendie d’un véhicule, des faits remontant à plusieurs années. La même source a formellement démenti les rumeurs liant cette arrestation à une participation à la guerre en cours à Gaza, affirmant qu’il s’agissait uniquement d’un citoyen tunisien recherché pour des motifs judiciaires internes.
La tentative de prise d’assaut du poste de police par certains manifestants a conduit à l’ouverture d’une enquête par les autorités pour identifier les responsables. La situation est toutefois revenue au calme depuis dimanche soir.
Dans un communiqué, la Communauté juive de Tunisie (CJT) a démenti les informations diffusées par certaines plateformes numériques et sur les réseaux sociaux. La CJT précise que cette arrestation n’a aucun lien avec un quelconque conflit ou agenda politique international.
Le communiqué confirme que l’arrestation fait suite à une décision de justice définitive condamnant l’individu à sept ans de prison pour un délit de droit commun, à savoir l’incendie d’un véhicule. La CJT appelle les médias et les utilisateurs des réseaux sociaux à faire preuve de professionnalisme et à vérifier l’exactitude des informations avant de les diffuser, afin de préserver la cohésion sociale et d’éviter toute forme de désinformation.
La Communauté juive de Tunisie insiste sur l’importance de ne pas politiser cette affaire ni de l’instrumentaliser, rappelant la nécessité de respecter la souveraineté judiciaire tunisienne. Elle appelle également à ne pas céder aux rumeurs susceptibles d’attiser les tensions communautaires, dans un contexte déjà marqué par de fortes émotions en raison des événements internationaux.
Selon une source sécuritaire citée par la journaliste de Radio Tataouine, Lamia Ben Ghali, l’arrestation a eu lieu dans le cadre d’un mandat de recherche émis par les autorités judiciaires. L’individu arrêté faisait l’objet d’une condamnation par contumace à sept ans de prison pour une affaire de droit commun liée à l’incendie d’un véhicule, des faits remontant à plusieurs années. La même source a formellement démenti les rumeurs liant cette arrestation à une participation à la guerre en cours à Gaza, affirmant qu’il s’agissait uniquement d’un citoyen tunisien recherché pour des motifs judiciaires internes.
La tentative de prise d’assaut du poste de police par certains manifestants a conduit à l’ouverture d’une enquête par les autorités pour identifier les responsables. La situation est toutefois revenue au calme depuis dimanche soir.
Dans un communiqué, la Communauté juive de Tunisie (CJT) a démenti les informations diffusées par certaines plateformes numériques et sur les réseaux sociaux. La CJT précise que cette arrestation n’a aucun lien avec un quelconque conflit ou agenda politique international.
Le communiqué confirme que l’arrestation fait suite à une décision de justice définitive condamnant l’individu à sept ans de prison pour un délit de droit commun, à savoir l’incendie d’un véhicule. La CJT appelle les médias et les utilisateurs des réseaux sociaux à faire preuve de professionnalisme et à vérifier l’exactitude des informations avant de les diffuser, afin de préserver la cohésion sociale et d’éviter toute forme de désinformation.
La Communauté juive de Tunisie insiste sur l’importance de ne pas politiser cette affaire ni de l’instrumentaliser, rappelant la nécessité de respecter la souveraineté judiciaire tunisienne. Elle appelle également à ne pas céder aux rumeurs susceptibles d’attiser les tensions communautaires, dans un contexte déjà marqué par de fortes émotions en raison des événements internationaux.