Dmitri Medvedev, l'effrayante dérive d'un ex-"libéral"

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Drapo03
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L'idylle avait si bien commencé... Le 23 juin 2010, invité au siège de Twitter, à San Francisco, le président russe Dmitri Medvedev entrait dans l'histoire du réseau social à l'oiseau bleu en inaugurant son compte : "Bonjour tout le monde, je suis maintenant sur Twitter et voici mon premier message", avait-il pianoté, tout sourire, entre deux rencards avec le gouverneur de Californie Arnold Schwarzenegger et le patron d'Apple Steve Jobs (lequel lui avait offert un Iphone dernier cri), avant de croquer un hamburger en compagnie de Barack Obama. A l'époque, il n'était pas question de traiter les Américains de "sales pervers anglo-saxons" ou les Occidentaux de "demi-esprits", encore moins de menacer le monde d'une "énorme explosion nucléaire", voire d'une "Troisième Guerre mondiale".

Douze ans plus tard, ces mots sont pourtant bien ceux de "Dimon" (le diminutif de Dmitri, son surnom), désormais vice-président du Conseil de sécurité russe. Accro à son smartphone, l'ancien chef du Kremlin amateur de "selfies" crache quotidiennement sa haine de l'Occident sur les réseaux sociaux. Depuis le début de la guerre en Ukraine, le "libéral" d'hier s'est mué en propagandiste enragé, dans le peloton de tête des "turbo-patriotes".

Plus poutiniste que Poutine, Dmitri Medvedev, éternel dauphin de "Vladimir", de douze ans son cadet, a bien l'intention de rester dans les petits papiers de l'actuel président. "S'il n'y avait qu'un mot pour décrire Medvedev, ce serait 'opportuniste', tranche Sergey Radchenko, professeur à la John Hopkins School of Advanced International Studies, à Washington. Ce n'est pas un individu qui a beaucoup de principes. Il s'est un temps présenté comme un technocrate, un innovateur, et même un démocrate. Aujourd'hui, il a complètement changé de cadre idéologique afin de rester proche du pouvoir, quitte à utiliser une rhétorique génocidaire." Comme cette hallucinante sortie, en juillet dernier, sur le réseau Télégram : "Je les déteste. Ce sont des bâtards et des dégénérés. Ils veulent la mort de la Russie. Et tant que je vivrai, je ferai tout pour les faire disparaître."

Président pantin de Poutine

A lui seul, Medvedev incarne toutes les désillusions de l'Occident à l'égard du pouvoir russe. A l'aube de son élection en 2008 après huit ans de pouvoir de Vladimir Poutine qui ne pouvait pas briguer de troisième mandat consécutif, Dmitri Medvedev cochait toutes les cases du "Russe moderne" à l'heure où la Maison Blanche espérait ouvrir un nouveau chapitre avec Moscou. Geek, ouvert sur le monde, anti-corruption et pro démocratie, il n'appartenait pas au clan réputé conservateur des "siloviki", issus des services de sécurité. Fraîchement élu, le président de 43 ans baladait son air décontracté et son visage poupin dans les capitales occidentales. Aux Russes, il vendait une "modernisation de fond en comble", laquelle devait reposer sur "les valeurs et les institutions de la démocratie", déclarait-il en novembre 2009 dans son deuxième discours à la nation. L'ancien professeur de droit à l'université d'État de Saint-Pétersbourg avait même eu l'outrecuidance de critiquer les conglomérats publics comme Rosatom - dans le secteur de l'énergie atomique - formés sous la houlette de son prédécesseur.

Vladimir Poutine ne s'en formalisa pas. Sans doute savait-il qu'il reviendrait bientôt au premier plan, en présentant à nouveau sa candidature à la présidentielle de 2012, courue d'avance. Surtout, tout le monde savait qui, d'entre lui et son remplaçant, était le vrai patron. "Poutine a désigné Medvedev pour lui succéder, et ce n'est pas un hasard si les deux hommes sont toujours liés des années plus tard, explique Galia Ackerman, spécialiste de la Russie post-soviétique. Il l'a choisi pour sa docilité !" De la mairie de Saint-Pétersbourg où ils se sont connus dans les années 1990 jusqu'à aujourd'hui, "Dmitri" est resté dans l'ombre de son aîné, même lorsqu'il a accédé à la fonction suprême.
 
La Maison Blanche ne s'y est pas trompée longtemps, avisée par ses diplomates. Dans un télégramme de 2008 révélé par Wikileaks, Medvedev est décrit comme "le Robin de Poutine - alias Batman", autrement dit un second rôle. À la télévision d'Etat russe, des comiques se moquent ouvertement de ce curieux attelage. En 2011, dans un sketch d'une émission populaire, un sosie de Medvedev arrive sur scène sur un tandem, avant de céder immédiatement sa place à un ersatz de Poutine, devant un public hilare, le vrai Poutine compris, assis au premier rang...

L'après-Poutine en ligne de mire ?

Est-ce pour briser cette réputation que Medvedev a tenu tête à son mentor, en 2011, lors du vote à l'ONU de la résolution autorisant l'intervention en Libye ? Contre l'avis de Poutine, favorable au 'non', le président s'est abstenu sous la pression de Washington, permettant l'adoption de facto. "Or, les Occidentaux ont violé les termes de la résolution, en allant au-delà de la protection des civils et la zone d'exclusion aérienne, rappelle Sylvie Bermann, ambassadrice de France à Moscou de 2017 à 2019. Cet épisode, considéré comme une trahison, a beaucoup marqué les Russes et entaché la réputation de Medvedev, vu comme un faible."

Il explique en partie la hargne de l'ex-président pour "l'Ouest". "Sa radicalisation s'est accélérée en 2017, reprend Sergey Radchenko : il est devenu brutalement antidémocratique après la sortie d'un documentaire de l'opposant Alexeï Navalny [aujourd'hui en prison] révélant une série de scandales de corruption." Dans ce film visionné plus de 45 millions de fois sur YouTube, on découvre le "système Medvedev", une myriade de sociétés écrans grâce auxquelles le poulain de Poutine détenait deux datchas secrètes estimées à 85 et 120 millions de dollars, une propriété familiale, un empire agricole, plusieurs yachts et un vignoble en Toscane. Pour un homme qui assurait avoir "déclaré la guerre à la corruption", l'affaire fait mauvais genre. Une vague de manifestations sans précédent secoue le pays.

Tombé en disgrâce chez les libéraux, insipide aux yeux des faucons de Poutine, Dmitri Medvedev est progressivement mis à l'écart, jusqu'à se voir écarté de son poste de Premier ministre en 2020. "Il n'avait plus de capital politique, tranche Ben Noble, professeur associé à l'University College de Londres. Sa nomination au poste de vice-président du Conseil de sécurité a été considérée comme un lot de consolation. Mais avec son changement de ton depuis le début de la guerre, il a peut-être regagné du crédit chez les plus bellicistes de l'élite."

Plus l'armée russe s'enfonce en Ukraine, plus Medvedev vocifère. Premier à soutenir l'annexion des provinces du Donbass "pour le rétablissement de la justice historique" (sic) ; il est aussi l'un des plus zélés quand il s'agit d'agiter la menace nucléaire. Le calcul pourrait se révéler habile. Tant que Poutine est au Kremlin, il se place sous sa protection. S'il faut un jour remplacer le président (qui vient d'avoir 70 ans), "Dimon" aura tout fait pour être en pole position.
 
Medvedev le caniche de poutine
Le tsar choisit sa cour pamis les toutous les plus dociles.
 
Medvedev le caniche de poutine
Le tsar choisit sa cour pamis les toutous les plus dociles.
Que se passe-t-il bjorn pour oser critiquer ce personnage d’origine arménienne comme toi, et qui est juif par sa mère qui est sioniste.

Je te rappelle que lorsqu'il était premier ministre, il avait suspendu le contrat de vente du système de défense antiaérienne S-300 à la république islamique d’Iran sur demande des maudits isra-helliens via sa mère.

Il est fort probable qu’il fasse partie de la cinquième colonne sioniste de Moscou. J’espère qu’il soit sous étroite surveillance par les services secrets russes.
 
Que se passe-t-il bjorn pour oser critiquer ce personnage d’origine arménienne comme toi, et qui est juif par sa mère qui est sioniste.

Je te rappelle que lorsqu'il était premier ministre, il avait suspendu le contrat de vente du système de défense antiaérienne S-300 à la république islamique d’Iran sur demande des maudits isra-helliens via sa mère.

Il est fort probable qu’il fasse partie de la cinquième colonne sioniste de Moscou. J’espère qu’il soit sous étroite surveillance par les services secrets russes.
En d'autres termes, Medvedev, le fidèle des fidèles de Poutine, est de facto suspect (à tes yeux) parce que supposé "juif par sa mère"... il est (ou serait) donc génétiquement une graine de traître... :D
L'argument de feu...:D
Tu ne déraillerais pas un peu en mettant en cause la vista de Saint Poutine l'infaillible? ;)
 
En d'autres termes, Medvedev, le fidèle des fidèles de Poutine, est de facto suspect (à tes yeux) parce que supposé "juif par sa mère"... il est (ou serait) donc génétiquement une graine de traître... :D
L'argument de feu...:D
Tu ne déraillerais pas un peu en mettant en cause la vista de Saint Poutine l'infaillible? ;)
Ce que tu en penses m’intéresse très peu. Nous avons tous vu la non réaction de l'ex président Medvedev lors de la destruction de la Libye, ainsi que lorsque les tensions étaient exacerbées entre Israël et l' Iran.
Mon message s'adressait en premier lieu à Bjorn.
Sa honte d’admettre que son opinion est biaisée ne l’autorisera pas à me répondre… La télé mainstream l’a déjà lobotomisé et il n’est qu’un échantillon parmi tant d’autres…. Seul son prochain et brutal réveil à l’aune de la débâcle ukrainienne et le dévoilement au grand jour de tous les mensonges médiatiques lui remettront une faction ou ce qui lui reste de son cerveau ….
 
Ce que tu en penses m’intéresse très peu.
Ça t'intéresse (ou te chiffonne), sinon tu ne prendrais même pas la peine de répondre. :)

Nous avons tous vu la non réaction de l'ex président Medvedev lors de la destruction de la Libye
"Nous avons tous...", "nous" c'est qui? :)
Tu supputes...
Et le petit Med(ved)or était de toute façon la voix de son maître...

ainsi que lorsque les tensions étaient exacerbées entre Israël et l' Iran.
Il n'avait peut-être pas eu l'autorisation de son patron de l'ouvrir sur le sujet, ou il avait peur de dire quelque chose qui aurait été en contradiction avec une prise de position ultérieure de son Boss... prudent le petit... ;)

Mon message s'adressait en premier lieu à Bjorn.
J'entends bien.
Mais tu t'emmêles les pinceaux en voulant le remettre à sa place. 🤷🏾‍♂️:)

Sa honte d’admettre que son opinion est biaisée ne l’autorisera pas à me répondre… La télé mainstream l’a déjà lobotomisé et il n’est qu’un échantillon parmi tant d’autres….
Chacun ses opinions, fruits de lobotomie ou pas. :)
Les positions biaisées, ce n'est pas ce qui manque par ici... ;)

Seul son prochain et brutal réveil à l’aune de la débâcle ukrainienne et le dévoilement au grand jour de tous les mensonges médiatiques lui remettront une faction ou ce qui lui reste de son cerveau ….
Cette guerre en elle-même est une débâcle pour toutes les parties concernées.
Le réveil sera pour tous. :)
 
Medvedev défend les intérêts de son pays.
Il a vu quelle était la valeur des paroles de gouvernements occidentaux quand ces derniers ont affirmé que l'intervention en Libye ne
visait pas à renverser Kadhafi. L'intervention a conduit au changement de régime.

Les Américains ont constamment rapproché leurs soldats et leurs armes des frontières russes par l'intermédiaire de l'OTAN.
Ils ont organisé la révolution de 2014 à Kiev, ont fourni des armes aux Ukrainiens depuis 2014.
Ils veulent que le monde reste à leur botte par le maintien de l'unilatéralisme.
Les Russes veulent un monde multilatéral.
La radicalité de Medvedev est parfaitement logique et justifiée.
 
Tiens, @Drapo03 t'as changé d'avatar !
T'aurais dû choisir cette image comme avatar ... mais ça se voit, tu es encore trop jeune pour comprendre
879.png

Si tu penses que Volodomyr Zelensky est le premier dirigeant en proie à une guerre civile ( à la base ) à se rendre à Washington, DC, à s’adresser au Congrès et à être comparé à Winston Churchill, détrompe-toi.

Je mets au défi quiconque de citer un moment mémorable du discours ennuyeux de Zelensky devant le Congrès américain.
 
Medvedev défend les intérêts de son pays.
Il a vu quelle était la valeur des paroles de gouvernements occidentaux quand ces derniers ont affirmé que l'intervention en Libye ne
visait pas à renverser Kadhafi. L'intervention a conduit au changement de régime.

Les Américains ont constamment rapproché leurs soldats et leurs armes des frontières russes par l'intermédiaire de l'OTAN.
Ils ont organisé la révolution de 2014 à Kiev, ont fourni des armes aux Ukrainiens depuis 2014.
Ils veulent que le monde reste à leur botte par le maintien de l'unilatéralisme.
Les Russes veulent un monde multilatéral.
La radicalité de Medvedev est parfaitement logique et justifiée.
Medvedev a beaucoup changé depuis sa présidence.
On dirait qu’il a ouvert les yeux sur certains aspects.
Il a tout simplement compris comme tout Russe, que son pays mène une bataille pour son existence.

Medvedev est bien conscient que la domination anglo-saxonne sur l’Occident est en train de mourir. Il suffit de voir le passage éclair de Truss au 10 Downing street. Débarquée au bout de 44 jours seulement, qui lui ont suffi pour montrer à la face du monde son hystérie et sa bêtise crasse. Quand aux US, ils ne tiennent plus que par le prompteur du sénile Joe le Bidon et l’Otan de bric et de broc que Poutine va bientôt renvoyer aux poubelles de l’Histoire...
Patience, l’effondrement anglo-saxon est pour bientôt.
 
Medvedev défend les intérêts de son pays.
Il a vu quelle était la valeur des paroles de gouvernements occidentaux quand ces derniers ont affirmé que l'intervention en Libye ne visait pas à renverser Kadhafi. L'intervention a conduit au changement de régime.
Effectivement.
Et nous n'entendons pas distinctement de mea culpa.
Et y en aurait-il que cela ne changerait pas la situation actuelle en Lybie, et encore moins tous les effets secondaires que sont le foisonnement de groupes terroristes (sur)armés en Afrique au Sahel.

Les Américains ont constamment rapproché leurs soldats et leurs armes des frontières russes par l'intermédiaire de l'OTAN.
Maladresse et arrogance.

Ils ont organisé la révolution de 2014 à Kiev, ont fourni des armes aux Ukrainiens depuis 2014.
Évènements compliqués.

Ils veulent que le monde reste à leur botte par le maintien de l'unilatéralisme.
Personne n'abandonne ses avantages volontairement et de gaité de coeur. :D

Les Russes veulent un monde multilatéral.
Ils veulent aussi et surtout leur part de domination. :)

La radicalité de Medvedev est parfaitement logique et justifiée.
De toute façon, vu la situation, aucun dirigeant russe ne peut se montrer moins radical que le boss Poutine himself...
 
Medvedev défend les intérêts de son pays.
Il a vu quelle était la valeur des paroles de gouvernements occidentaux quand ces derniers ont affirmé que l'intervention en Libye ne
visait pas à renverser Kadhafi. L'intervention a conduit au changement de régime.

Les Américains ont constamment rapproché leurs soldats et leurs armes des frontières russes par l'intermédiaire de l'OTAN.
Ils ont organisé la révolution de 2014 à Kiev, ont fourni des armes aux Ukrainiens depuis 2014.
Ils veulent que le monde reste à leur botte par le maintien de l'unilatéralisme.
Les Russes veulent un monde multilatéral.
La radicalité de Medvedev est parfaitement logique et justifiée.
Notre radicalité sera parfaitement logique et justifiée, dans ce cas.
 
Aucun !

ce type est insipide et creux, un pantin Pinocchio de bien piètre qualité
Pinocchio est intéressant même sans parler, juste de par son existence.

D'ailleurs, si pinocchio parle, son nez s'allonge, donc pas grave s'il ne dit rien ou reste insipide, c'est le théâtre qui compte. 🤷🏾‍♂️:)
 

La Russie n'a pas de quoi discuter avec l'Occident, assure Medvedev​


Dans une tribune publiée dans le quotidien officiel Rossiiskaia Gazeta, le vice-président du Conseil de sécurité de Russie a assuré que son pays n'avait plus de quoi discuter avec l'Occident.
Moscou a perdu toute confiance en l'Occident et n'a plus de quoi discuter avec ses dirigeants, a écrit le vice-président du Conseil de sécurité de Russie Dmitri Medvedev.

"Aujourd'hui, il est devenu tout à fait évident que dans les relations entre les États indépendants et le monde anglo-saxon actuel, il ne peut être question de confiance [...]. Hélas, nous n'avons plus de quoi parler et négocier avec l'Occident, et il n'y a aucune raison de le faire", a indiqué l'ex-chef du Kremlin dans une tribune publiée dans le quotidien officiel Rossiiskaia Gazeta.
Selon lui, les tentatives d'élargir l'Alliance atlantique vers l'est étaient "une préparation à la guerre avec la Russie".
M.Medvedev a également estimé qu'il n'y avait "aucun sens" à mener des négociations avec les dirigeants actuels de l'Ukraine, les traitant de "nazis" et de "marionnettes". Il a souligné que la décision de déclencher l'opération militaire spéciale contre les forces ukrainiennes était "difficile" mais nécessaire.
 

La Russie n'a pas de quoi discuter avec l'Occident, assure Medvedev​


Dans une tribune publiée dans le quotidien officiel Rossiiskaia Gazeta, le vice-président du Conseil de sécurité de Russie a assuré que son pays n'avait plus de quoi discuter avec l'Occident.
Moscou a perdu toute confiance en l'Occident et n'a plus de quoi discuter avec ses dirigeants, a écrit le vice-président du Conseil de sécurité de Russie Dmitri Medvedev.

"Aujourd'hui, il est devenu tout à fait évident que dans les relations entre les États indépendants et le monde anglo-saxon actuel, il ne peut être question de confiance [...]. Hélas, nous n'avons plus de quoi parler et négocier avec l'Occident, et il n'y a aucune raison de le faire", a indiqué l'ex-chef du Kremlin dans une tribune publiée dans le quotidien officiel Rossiiskaia Gazeta.
Selon lui, les tentatives d'élargir l'Alliance atlantique vers l'est étaient "une préparation à la guerre avec la Russie".
M.Medvedev a également estimé qu'il n'y avait "aucun sens" à mener des négociations avec les dirigeants actuels de l'Ukraine, les traitant de "nazis" et de "marionnettes". Il a souligné que la décision de déclencher l'opération militaire spéciale contre les forces ukrainiennes était "difficile" mais nécessaire.
Le ressentiment ne se limite pas à Medvedev ou aux aux Russes qui en sont venus à mépriser l’Europe; c’est plutôt, dans le monde entier, le ressentiment bouillonne face à toutes les vies détruites dans le sillage du projet hégémonique occidental…

L’UE se pose en acteur stratégique, en puissance politique à part entière, en colosse du marché, en monopsone ayant le pouvoir d’imposer sa volonté à quiconque fait du commerce avec elle. En d’autres termes, l’UE insiste (et croit) qu’elle possède un pouvoir politique significatif. Mais elle n’a aucun pouvoir politique ou militaire en soi (elle est un vassal des États-Unis).

Or plus de 85% de l’humanité n’entend pas être un vassal de l’Empire hégémonique occidental. Voilà donc le problème insurmontable qui se posera à une UE déjà isolée et méprisée, dans le monde de demain.
 
Le ressentiment ne se limite pas à Medvedev ou aux aux Russes qui en sont venus à mépriser l’Europe; c’est plutôt, dans le monde entier, le ressentiment bouillonne face à toutes les vies détruites dans le sillage du projet hégémonique occidental…

L’UE se pose en acteur stratégique, en puissance politique à part entière, en colosse du marché, en monopsone ayant le pouvoir d’imposer sa volonté à quiconque fait du commerce avec elle. En d’autres termes, l’UE insiste (et croit) qu’elle possède un pouvoir politique significatif. Mais elle n’a aucun pouvoir politique ou militaire en soi (elle est un vassal des États-Unis).

Or plus de 85% de l’humanité n’entend pas être un vassal de l’Empire hégémonique occidental. Voilà donc le problème insurmontable qui se posera à une UE déjà isolée et méprisée, dans le monde de demain.
l'Allemagne s'en tirera seule ... la France aussi , mais plus par son vice que son travail ...
 
Medvedev a émis des « hypothèses futuristes » pour 2023


Dmitri Medvedev, vice-président du Conseil de sécurité de la Russie, a émis plusieurs hypothèses futuristes sur ce qui pourrait se passer dans le monde en 2023. Il l’a écrit sur son canal officiel Telegram.


Selon Medvedev, l’année prochaine, le prix du pétrole pourrait passer à 150 dollars le baril, et celui du gaz à 5000 dollars les mille mètres cubes. Il a également envisagé que la Grande-Bretagne revienne dans l’Union européenne. Toutefois, un tel scénario pourrait conduire à la dissolution de l’organisation et à l’abolition de l’euro en tant que monnaie de l’ancienne UE.


« La prise de possession par la Pologne et la Hongrie des régions occidentales de l’ancienne Ukraine. Création d’un Quatrième Reich à partir de l’Allemagne et de ses satellites. Guerre entre la France et le Quatrième Reich. Le partage de l’Europe, y compris une nouvelle division de la Pologne », a ajouté Medvedev dans le cadre de son hypothèse.


Il a prévu la séparation de l’Irlande du Nord de la Grande-Bretagne, ainsi que l’adhésion à la République d’Irlande. Le vice-premier ministre a envisagé une éventuelle guerre civile aux États-Unis, la séparation de la Californie et du Texas en pays indépendants et la victoire de l’homme d’affaires Elon Musk aux prochaines élections présidentielles.


Medvedev a également évoqué la possible délocalisation de toutes les principales bourses et activités financières des États-Unis et de l’Europe vers l’Asie, la chute du système financier de Bretton Woods, y compris le FMI et la Banque mondiale. En outre, il a suggéré l’abandon de l’euro et du dollar comme monnaies de réserve mondiales et un retour à l’étalon-or.


source : Riafan
 
Medvedev a émis des « hypothèses futuristes » pour 2023


Dmitri Medvedev, vice-président du Conseil de sécurité de la Russie, a émis plusieurs hypothèses futuristes sur ce qui pourrait se passer dans le monde en 2023. Il l’a écrit sur son canal officiel Telegram.


Selon Medvedev, l’année prochaine, le prix du pétrole pourrait passer à 150 dollars le baril, et celui du gaz à 5000 dollars les mille mètres cubes. Il a également envisagé que la Grande-Bretagne revienne dans l’Union européenne. Toutefois, un tel scénario pourrait conduire à la dissolution de l’organisation et à l’abolition de l’euro en tant que monnaie de l’ancienne UE.


« La prise de possession par la Pologne et la Hongrie des régions occidentales de l’ancienne Ukraine. Création d’un Quatrième Reich à partir de l’Allemagne et de ses satellites. Guerre entre la France et le Quatrième Reich. Le partage de l’Europe, y compris une nouvelle division de la Pologne », a ajouté Medvedev dans le cadre de son hypothèse.


Il a prévu la séparation de l’Irlande du Nord de la Grande-Bretagne, ainsi que l’adhésion à la République d’Irlande. Le vice-premier ministre a envisagé une éventuelle guerre civile aux États-Unis, la séparation de la Californie et du Texas en pays indépendants et la victoire de l’homme d’affaires Elon Musk aux prochaines élections présidentielles.


Medvedev a également évoqué la possible délocalisation de toutes les principales bourses et activités financières des États-Unis et de l’Europe vers l’Asie, la chute du système financier de Bretton Woods, y compris le FMI et la Banque mondiale. En outre, il a suggéré l’abandon de l’euro et du dollar comme monnaies de réserve mondiales et un retour à l’étalon-or.


source : Riafan
Vous seriez très drôle si vous n'étiez pas d'abord dangereux.
 
Medvedev a émis des « hypothèses futuristes » pour 2023


Dmitri Medvedev, vice-président du Conseil de sécurité de la Russie, a émis plusieurs hypothèses futuristes sur ce qui pourrait se passer dans le monde en 2023. Il l’a écrit sur son canal officiel Telegram.


Selon Medvedev, l’année prochaine, le prix du pétrole pourrait passer à 150 dollars le baril, et celui du gaz à 5000 dollars les mille mètres cubes. Il a également envisagé que la Grande-Bretagne revienne dans l’Union européenne. Toutefois, un tel scénario pourrait conduire à la dissolution de l’organisation et à l’abolition de l’euro en tant que monnaie de l’ancienne UE.


« La prise de possession par la Pologne et la Hongrie des régions occidentales de l’ancienne Ukraine. Création d’un Quatrième Reich à partir de l’Allemagne et de ses satellites. Guerre entre la France et le Quatrième Reich. Le partage de l’Europe, y compris une nouvelle division de la Pologne », a ajouté Medvedev dans le cadre de son hypothèse.


Il a prévu la séparation de l’Irlande du Nord de la Grande-Bretagne, ainsi que l’adhésion à la République d’Irlande. Le vice-premier ministre a envisagé une éventuelle guerre civile aux États-Unis, la séparation de la Californie et du Texas en pays indépendants et la victoire de l’homme d’affaires Elon Musk aux prochaines élections présidentielles.


Medvedev a également évoqué la possible délocalisation de toutes les principales bourses et activités financières des États-Unis et de l’Europe vers l’Asie, la chute du système financier de Bretton Woods, y compris le FMI et la Banque mondiale. En outre, il a suggéré l’abandon de l’euro et du dollar comme monnaies de réserve mondiales et un retour à l’étalon-or.


source : Riafan
Rassure-moi que c'est toi et pas lui qui a émis toutes ces hypothèses (dont une ou deux sont éventuellement possible et toutes les autres... comment dire... :D :D)

Si c'est vraiment lui, il doit arrêter la vodka, il fait un delirium tremens... :D

Si c'est toi, pas de souci, état normal, je suis habitué... :)
 
Je me souviens d’un Dimitri Medvedev qui ne tarissait pas d’éloges sur ce occident si civilisé , summum de la condition humaine , et regardez le aujourd’hui , à lui tout seul il personnifie le réveil de cette EX-cinquième colonne de repentis , Poutine lui même admet avoir était naïf , mais juste un temps au vue des superbes armes avancés que la Russie développa entre-temps…

Poutine a eu tort de faire confiance en la « parole » de Merkel, de Hollande et de Macron … Son excuse réside notamment dans le fait que ces accords de Minsk étaient devenus LOI INTENRAIONALE car reconnus par l’ONU … Aussi, n’en déplaise aux sceptiques, en ces sanctions qui ont provoqué une crise économique en Russie en 2015-16 … Mais, pendant ce temps de « naïveté », il n’oubliait pas, lui aussi, d’ARMER la Russie … à un point tel que les plus lucides stratèges étatsuniens reconnaissent à demi-mot (ou à mot couvert !) qu’il est impossible de vaincre la Russie …
 
Dernière édition:
Avec des stocks d'armes à sec comme c'est le cas en Europe, ça va être difficile.
Toujours amusants ce gens qui jouent les durs sans avoir les moyens de leurs prétentions.
une guerre avec la chine c'est encore pire ... sans arme ils viennent et se constituent prisonniers, juste avec les lois internationales de la guerre, le pays en guerre avec les chinois fait banqueroute ...
 
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