Dois je trouver un job ?

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion saad2
  • Date de début Date de début
Voila je suis a montreal depuis fin mars

je ne sais pas si je dois trouve un job declarer

ou attendre trois moi

bien a vous avis merci

salam tu es depuis 15j à Mtl...
Patience et sbar allaj jib tissir...
Ne penses jamais à l'aide sociale BS et travailler dans le NOIR comme une grande partie des maghrébins...ba3ad ala les finéants allah ghadi sahhel n'oublies pas la crise en cours...
Vaut mieux chercher des jobbing que penser au noir et Besbes...
Ceci est un conseil de mon ami déja installé depuis 6 mois ..lui s'est engagé dans une formation temps plein dés le début....
A toi de voir selon ta motivation et ton profil.
allah awn.
 
Voila je suis a montreal depuis fin mars

je ne sais pas si je dois trouve un job declarer

ou attendre trois moi

bien a vous avis merci

Sujet à répétition et vu que c'Est important je répondrai.

T'as le choix:
Option 1: Attendre 3 mois, demander le BES, puis être considéré aidé par le gouvernement pusique c'Est ton dernier recours. Aux yeux de tous et surtout pour les banques, établissement tu seras considérés comme démuni: Jamais de crédit accordé, jamais de carte, pas deplan de financement....Bref Rien. Même si tu peux travailler en Noir en parallèle mais ce n'est pas conseillé pour unepersonne dépassant les 50 ans.

Option 2 : Chercher un travail déclaré même au minimum et s'améliorer, Les impots retenus seront remboursés vu qut tu es marié (ca dépend du statut de ta femme aussi) et en plus vous avez des enfants. apre`s accumulation des heures, tu auras droit à L'assurance emploi en cas de réorientation de carrière ou de formation qui sera payée par Emploi Québec. et penses aussi à ta retraite et cotisations sociales pour tes enfants.

Option 3: Commencer par des formation ou études, une formation professionelle serait le mieux puisque tu pourras décrocher un poste rapidement.

À toi de voir et bonne décision
 
je voudrais remercier coolq de son intervention d ailleurs de toutes ces interventions sur ce site.me concernant je suis en attente du visa j ais 40ans marie avec 2 enfants est ce que la troisieme option celle de la formation serais benefique pour moi sachant que je suis licensie en litterature anglaise avec 16 ans d experience en fonction publique je donne aussi des cours d anglais si oui quel genre de formation me conseillerais vous merci
 
si j'etais toi, je ferai un bacc acceleré en traduction et interpretation (2 ans si je ne me trompe pas...) ou un bacc en education pour que tu puisses enseigner l'anglais soit dans des cegep ou meme dans des ecoles pour adultes! c'est mon simple avis :)
 
Je te conseille de bénéficier TEMPORAIREMENT du BS (Je précise TEMPORAIREMENT).

Ceci te permettra de refléchir tranquillement à la formation que tu voudras faire.

Je te conseille une formation car avec ton background du Maroc tu vas faire des petites

jobbines.

Bon Courage.
 
si j'etais toi, je ferai un bacc acceleré en traduction et interpretation (2 ans si je ne me trompe pas...) ou un bacc en education pour que tu puisses enseigner l'anglais soit dans des cegep ou meme dans des ecoles pour adultes! c'est mon simple avis :)

ouais mais j'ai lu sur un autre forum que l'enseignant restera vacataire pendant X temps jamais titulaire ...donc précarité....je ne sais pas si cela vrai !
 
merci pour saradona ainsi que pour mounir8 aussi pour renegade mais si saradona a des liens concernant le bacc en interpretariat et traduction veiller me l envoyer svp j ais deja vu un article concernant cette matiere qui confirme que le canada est en manque d interprete et traducteur mais les conditions d acces a des formations universitaires me parais un peu difficile. pour l enseignement j ais vu que l ordre des enseignents au canada est un peu exigent.bref j attend toute aide ou information .merci infiniment
 
merci pour saradona ainsi que pour mounir8 aussi pour renegade mais si saradona a des liens concernant le bacc en interpretariat et traduction veiller me l envoyer svp j ais deja vu un article concernant cette matiere qui confirme que le canada est en manque d interprete et traducteur mais les conditions d acces a des formations universitaires me parais un peu difficile. pour l enseignement j ais vu que l ordre des enseignents au canada est un peu exigent.bref j attend toute aide ou information .merci infiniment

Dans la région de la capitale nationale, un certain domaine a un sacré privilège : celui de la traduction.

Vu le statut de la région (une capitale) et vu le besoin d’appliquer la notion de bilinguisme (au niveau fédéral notamment) grâce à la présence de la majorité d’institutions politiques, le besoin en traduction est imminent.

Donc pour ceux qui sont dans le domaine et sont en quête d’un travail en tant que traducteur, ainsi que pour les futurs étudiants, le gouvernement leur offre en plus d’une garantie du travail, une bonne bourse d’étude.

Voici une dépêche de radio-canada d’hier mardi 6 avril 2010 à 13 h 14 :

Des fonds pour la formation

Le gouvernement fédéral et de nombreuses entreprises s'arrachent les traducteurs, c'est pourquoi Ottawa débloque des fonds pour accélérer la formation de ces spécialistes. L'école de traduction et d'interprétation de l'Université d'Ottawa reçoit notamment 1,7 million de dollars du programme de renforcement du secteur langagier du Canada.

Au Bureau de la traduction du gouvernement fédéral, le travail ne manque pas. L'âge moyen des traducteurs est de 53 ans. Plusieurs d'entre eux partiront bientôt à la retraite et les nouveaux diplômés se font rares.

La demande ne cesse d'augmenter et les besoins de relèves sont importants. « En général, entre 35 et 40 % de notre charge de travail est confiée à nos partenaires du secteur privé. [...] La pénurie, elle est mondiale, parce la demande, c'est du jamais vu dans l'histoire de l'humanité », explique le vice-président aux services professionnels au Bureau de la traduction, Donald Barabé.
À l'Université d'Ottawa, l'argent du fédéral servira à offrir des bourses de 2050 $ aux étudiants en traduction. La directrice intérimaire de l'école de traduction et d'interprétation de l'Université d'Ottawa, Lynne Bowker, croit que les bourses inciteront les étudiants passionnés des langues à opter davantage pour ce champ d'études.

De son côté, la directrice du programme d'études langagières de l'Université du Québec en Outaouais, Christiane Melançon, comprend comment cette pénurie peut causer des maux de tête aux employeurs. Toutefois, selon elle, il s'agit d'une bonne chose pour le programme et pour ses étudiants.

« On est en mesure de dire à nos étudiants, venez étudier dans ces domaines-là, il y a un taux de placement qui avoisine les 100 % », soutient-elle.

Le marché peut accueillir 1000 traducteurs et interprètes par année, alors que toutes les universités canadiennes confondues n'en forment qu'un peu plus de 300 annuellement.

http://www.radio-canada.ca/regions/o...e-ottawa.shtml
 
Sujet à répétition et vu que c'Est important je répondrai.

T'as le choix:
Option 1: Attendre 3 mois, demander le BES, puis être considéré aidé par le gouvernement pusique c'Est ton dernier recours. Aux yeux de tous et surtout pour les banques, établissement tu seras considérés comme démuni: Jamais de crédit accordé, jamais de carte, pas deplan de financement....Bref Rien. Même si tu peux travailler en Noir en parallèle mais ce n'est pas conseillé pour unepersonne dépassant les 50 ans.

Option 2 : Chercher un travail déclaré même au minimum et s'améliorer, Les impots retenus seront remboursés vu qut tu es marié (ca dépend du statut de ta femme aussi) et en plus vous avez des enfants. apre`s accumulation des heures, tu auras droit à L'assurance emploi en cas de réorientation de carrière ou de formation qui sera payée par Emploi Québec. et penses aussi à ta retraite et cotisations sociales pour tes enfants.

Option 3: Commencer par des formation ou études, une formation professionelle serait le mieux puisque tu pourras décrocher un poste rapidement.

À toi de voir et bonne décision
j'achète l'option 2.................
 
merci pour saradona ainsi que pour mounir8 aussi pour renegade mais si saradona a des liens concernant le bacc en interpretariat et traduction veiller me l envoyer svp j ais deja vu un article concernant cette matiere qui confirme que le canada est en manque d interprete et traducteur mais les conditions d acces a des formations universitaires me parais un peu difficile. pour l enseignement j ais vu que l ordre des enseignents au canada est un peu exigent.bref j attend toute aide ou information .merci infiniment

effectivement ca prend un Bac =etudes universitaire et etre excellent sinon oublie ca

c'est un dommaine de concurrence mon amie travail a domicile dans la traduction et je sais de quoi je parle
 
Dans la région de la capitale nationale, un certain domaine a un sacré privilège : celui de la traduction.

Vu le statut de la région (une capitale) et vu le besoin d’appliquer la notion de bilinguisme (au niveau fédéral notamment) grâce à la présence de la majorité d’institutions politiques, le besoin en traduction est imminent.

Donc pour ceux qui sont dans le domaine et sont en quête d’un travail en tant que traducteur, ainsi que pour les futurs étudiants, le gouvernement leur offre en plus d’une garantie du travail, une bonne bourse d’étude.

Voici une dépêche de radio-canada d’hier mardi 6 avril 2010 à 13 h 14 :

Des fonds pour la formation

Le gouvernement fédéral et de nombreuses entreprises s'arrachent les traducteurs, c'est pourquoi Ottawa débloque des fonds pour accélérer la formation de ces spécialistes. L'école de traduction et d'interprétation de l'Université d'Ottawa reçoit notamment 1,7 million de dollars du programme de renforcement du secteur langagier du Canada.

Au Bureau de la traduction du gouvernement fédéral, le travail ne manque pas. L'âge moyen des traducteurs est de 53 ans. Plusieurs d'entre eux partiront bientôt à la retraite et les nouveaux diplômés se font rares.

La demande ne cesse d'augmenter et les besoins de relèves sont importants. « En général, entre 35 et 40 % de notre charge de travail est confiée à nos partenaires du secteur privé. [...] La pénurie, elle est mondiale, parce la demande, c'est du jamais vu dans l'histoire de l'humanité », explique le vice-président aux services professionnels au Bureau de la traduction, Donald Barabé.
À l'Université d'Ottawa, l'argent du fédéral servira à offrir des bourses de 2050 $ aux étudiants en traduction. La directrice intérimaire de l'école de traduction et d'interprétation de l'Université d'Ottawa, Lynne Bowker, croit que les bourses inciteront les étudiants passionnés des langues à opter davantage pour ce champ d'études.

De son côté, la directrice du programme d'études langagières de l'Université du Québec en Outaouais, Christiane Melançon, comprend comment cette pénurie peut causer des maux de tête aux employeurs. Toutefois, selon elle, il s'agit d'une bonne chose pour le programme et pour ses étudiants.

« On est en mesure de dire à nos étudiants, venez étudier dans ces domaines-là, il y a un taux de placement qui avoisine les 100 % », soutient-elle.

Le marché peut accueillir 1000 traducteurs et interprètes par année, alors que toutes les universités canadiennes confondues n'en forment qu'un peu plus de 300 annuellement.

http://www.radio-canada.ca/regions/o...e-ottawa.shtml
malheureusement se qu'on nous fait croire et la réalité c,est autre chose

j'en connais deux personnes dans le domaine de traduction une bilingues et l'autre trilingues

tous ce que je sais qu'il faut exceller dans le dommaine pour se trouver une place
 
Retour
Haut