kitti_3000
تو هَم خَ
Salam les filles,
Petite question que je me posais: un bonheur parfait, sans accrocs, la plupart des personnes vous diront soit que 1) c'est ennuyeux, soit 2) c'est pas possible.
D'ou ma question: si nous nous centrons sur l'amour: doit-on nécessairement souffrir au moins un peu pour être heureux en amour? A-t-on besoin de ces épreuves pour renforcer le lien, ou sont-ce les liens initialement forts qui résistent au pire? Ou alors le bonheur parfait, lisse et harmonieux peut exister en soi, selon vous.
Parallèllement à la souffrance, on peut faire le même constat avec la privation. On conçoit aisément pour la plupart que pour accéder à ce délicieux sentiment amoureux, on doive passer par qq sacrifices, c'est-à-dire PAR EXEMPLE éviter la facilité/céder trop vite à la tentation (mais plz si possible ne pas transformer ceci en débat sur la virginité ou sur les one night stand, c'est juste un exemple, on peut aussi parler d'autres types de privations).
Petite question que je me posais: un bonheur parfait, sans accrocs, la plupart des personnes vous diront soit que 1) c'est ennuyeux, soit 2) c'est pas possible.
D'ou ma question: si nous nous centrons sur l'amour: doit-on nécessairement souffrir au moins un peu pour être heureux en amour? A-t-on besoin de ces épreuves pour renforcer le lien, ou sont-ce les liens initialement forts qui résistent au pire? Ou alors le bonheur parfait, lisse et harmonieux peut exister en soi, selon vous.
Parallèllement à la souffrance, on peut faire le même constat avec la privation. On conçoit aisément pour la plupart que pour accéder à ce délicieux sentiment amoureux, on doive passer par qq sacrifices, c'est-à-dire PAR EXEMPLE éviter la facilité/céder trop vite à la tentation (mais plz si possible ne pas transformer ceci en débat sur la virginité ou sur les one night stand, c'est juste un exemple, on peut aussi parler d'autres types de privations).