Doit-on souffrir pour être heureux en amour?

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kitti_3000

تو هَم خ&#1614
Salam les filles,

Petite question que je me posais: un bonheur parfait, sans accrocs, la plupart des personnes vous diront soit que 1) c'est ennuyeux, soit 2) c'est pas possible.

D'ou ma question: si nous nous centrons sur l'amour: doit-on nécessairement souffrir au moins un peu pour être heureux en amour? A-t-on besoin de ces épreuves pour renforcer le lien, ou sont-ce les liens initialement forts qui résistent au pire? Ou alors le bonheur parfait, lisse et harmonieux peut exister en soi, selon vous.

Parallèllement à la souffrance, on peut faire le même constat avec la privation. On conçoit aisément pour la plupart que pour accéder à ce délicieux sentiment amoureux, on doive passer par qq sacrifices, c'est-à-dire PAR EXEMPLE éviter la facilité/céder trop vite à la tentation (mais plz si possible ne pas transformer ceci en débat sur la virginité ou sur les one night stand, c'est juste un exemple, on peut aussi parler d'autres types de privations).
 
Merci pour cette précision ultime :

Sinon ton avis sur la question?

petit détail mais qui a son importance:D

moi je pense que l'endurance permet peut etre d etre heureux en amour
car comme tu l'as dit, si ya la facilité, ya pas de sentiment de s'être battu pour obtenir quelque chose
on savoure plus une "victoire" quand on a le sentiment de s'être battu pour y arrivern plutot qu'un truk qui ne manifeste aucune resistance :rolleyes:

je parlerai plutot d'endurance et non de souffrance

donc pr répondre à ta question je dirai: NON

mdrrrr on croirait une dissert de philo!
 
petit détail mais qui a son importance: D

moi je pense que l'endurance permet peut etre d etre heureux en amour
car comme tu l'as dit, si ya la facilité, ya pas de sentiment de s'être battu pour obtenir quelque chose
on savoure plus une "victoire" quand on a le sentiment de s'être battu pour y arrivern plutot qu'un truk qui ne manifeste aucune resistance :r olleyes:

je parlerai plutot d'endurance et non de souffrance

donc pr répondre à ta question je dirai: NON

mdrrrr on croirait une dissert de philo!

J'en étais sûre y a que des warriors sur bladi :langue:
 
Disons que... si avec le temps, on se dit moins de choses, on montre moins son amour a l autre.. souvent on (enfin plutot les filles..) en vient a "créer" des disputes juste pour faire réagir l autre et sentir qu il s enerve, et donc qu il est toujours préoccupé" par le sort du couple...
S il réagit pas a vos crises, c est presque deja mort..
 
Salam les filles,

Petite question que je me posais: un bonheur parfait, sans accrocs, la plupart des personnes vous diront soit que 1) c'est ennuyeux, soit 2) c'est pas possible.

D'ou ma question: si nous nous centrons sur l'amour: doit-on nécessairement souffrir au moins un peu pour être heureux en amour? A-t-on besoin de ces épreuves pour renforcer le lien, ou sont-ce les liens initialement forts qui résistent au pire? Ou alors le bonheur parfait, lisse et harmonieux peut exister en soi, selon vous.

Parallèllement à la souffrance, on peut faire le même constat avec la privation. On conçoit aisément pour la plupart que pour accéder à ce délicieux sentiment amoureux, on doive passer par qq sacrifices, c'est-à-dire PAR EXEMPLE éviter la facilité/céder trop vite à la tentation (mais plz si possible ne pas transformer ceci en débat sur la virginité ou sur les one night stand, c'est juste un exemple, on peut aussi parler d'autres types de privations).

t'as dit salam les filles ...
donc, je donne pas mon avis ... NA !
 
Disons que... si avec le temps, on se dit moins de choses, on montre moins son amour a l autre.. souvent on (enfin plutot les filles..) en vient a "créer" des disputes juste pour faire réagir l autre et sentir qu il s enerve, et donc qu il est toujours préoccupé" par le sort du couple...
S il réagit pas a vos crises, c est presque deja mort..

Attention dans ce post je ne parle pas des chieuses! :langue:

Ce que je veux dire, grosso modo... un couple qui a traversé des crises difficiles voire dramatiques (par exemple refus des autres de voir le couple réuni, maladie d'un des conjoints, etc), ou un couple qui a survécu à certaines privations (réunis après des années de séparation, etc), on aura tous constaté et connus des couples de la sorte qui sont très solides. Le fond de la question c'est: ces couples sont-ils si forts parce qu'il ont enduré/souffert tout ceci, ou alors auraient-ils été possible d'atteindre le même intensité d'amour et d'attachement dans une relation ou le destin a moins malmené ces gens?
 
Oups petit reflexe de posteuse bladinette ;) j'avais meme pas remarqué

mais le post est couvert à toutes et à tous ;)

couvert ? hijab obligatoire ?

Alors je vais faire court ...
comment peut-on apprécier la santé si l'on ne connait pas la maladie ...
la nourriture sans la faim
apprécier la lumière sans connaitre les ténébres ...
apprecier les hommes sans me connaitre MOI

etc etc etc etc ....

L'humain se blase très vite des choses et oublie vite aussi ...

Voila, j'ai dit ce que je voulais dire ...
 
j'ai toujours pensé que les peines de coeur nous permettaient de mieux apprécier l'amour entrant.
Ce que j'avais oublié ds ce raisonnement, c'est que qq peines nous changent, nous malmènent,.. ont raison de nous ou de nos proches.

Nous connaissons toutes les deux une personne qui a trouvé l'amour de sa vie sans jamais verser une larme, et cet amour est de loin plus fort que ceux que j'ai pu pleurer ou adorer..

Je pense qu'il faut être avec ceux qui nous ressemblent et ne pas se risquer à charger la "complémentarité" plus que ça.. Il ne faut rien brader,..
Le bonheur parfait ne nous fait pas pleurer, ni ne nous fait nous détester, encore moins nous donne envie de mourir, le bonheur parfait doit nous faire prendre conscience de ce que l'on est et de notre unicité..

Du moins, je crois..

NB: le risque des souffrances à répétition que l'on s'inflige par aour, c'est la culpabilité.
La culpabilité est une barrière à l'insouciance.. et rien de plus lourd qu'un amour grave.

Salam les filles,

Petite question que je me posais: un bonheur parfait, sans accrocs, la plupart des personnes vous diront soit que 1) c'est ennuyeux, soit 2) c'est pas possible.

D'ou ma question: si nous nous centrons sur l'amour: doit-on nécessairement souffrir au moins un peu pour être heureux en amour? A-t-on besoin de ces épreuves pour renforcer le lien, ou sont-ce les liens initialement forts qui résistent au pire? Ou alors le bonheur parfait, lisse et harmonieux peut exister en soi, selon vous.

Parallèllement à la souffrance, on peut faire le même constat avec la privation. On conçoit aisément pour la plupart que pour accéder à ce délicieux sentiment amoureux, on doive passer par qq sacrifices, c'est-à-dire PAR EXEMPLE éviter la facilité/céder trop vite à la tentation (mais plz si possible ne pas transformer ceci en débat sur la virginité ou sur les one night stand, c'est juste un exemple, on peut aussi parler d'autres types de privations).

Attention dans ce post je ne parle pas des chieuses! :langue:

Ce que je veux dire, grosso modo... un couple qui a traversé des crises difficiles voire dramatiques (par exemple refus des autres de voir le couple réuni, maladie d'un des conjoints, etc), ou un couple qui a survécu à certaines privations (réunis après des années de séparation, etc), on aura tous constaté et connus des couples de la sorte qui sont très solides. Le fond de la question c'est: ces couples sont-ils si forts parce qu'il ont enduré/souffert tout ceci, ou alors auraient-ils été possible d'atteindre le même intensité d'amour et d'attachement dans une relation ou le destin a moins malmené ces gens?
 
Quand les deux parties sont amoureux, la souffrance qui suit a un gout à un charme qui ne fais que rapprocher les deux apres une bonne tempete et le fond est là l'amour est là malgré tout....parfois quand tu souffre tu te rends compte combien cette personne est chere à toi ... un amour sans souffrance n'existe pas...
 
Quand les deux parties sont amoureux, la souffrance qui suit a un gout à un charme qui ne fais que rapprocher les deux apres une bonne tempete et le fond est là l'amour est là malgré tout....parfois quand tu souffre tu te rends compte combien cette personne est chere à toi ... un amour sans souffrance n'existe pas...
oui c l'histoire de " on ne connaît la valeur de ce qu'on a , que lorsqu'on le perd ou presque "...c ça ?
NB: le risque des souffrances à répétition que l'on s'inflige par amour, c'est la culpabilité.
La culpabilité est une barrière à l'insouciance.. et rien de plus lourd qu'un amour grave.

je n'ai pas trop bien compris le sens de cette réflexion...on peut m'expliquer please ?
 
On peut aimer qql, et ce qql peut nous aimer, et malgré cet amour ou cette estime mutuelle, tout un tas de choses peuvent se dresser entre nous, tout un tas de choses ou tout un tas de gens, de notre fait ou pas.

Il n'empêche que s'immisce entre nous un sentiment de culpabilité et de complexité, qui biaise l'amour lui-même.

Voilà pourquoi il est vain de reprendre une histoire qui s'est arrêtée.

je n'ai pas trop bien compris le sens de cette réflexion...on peut m'expliquer please ?
 
On peut aimer qql, et ce qql peut nous aimer, et malgré cet amour ou cette estime mutuelle, tout un tas de choses peuvent se dresser entre nous, tout un tas de choses ou tout un tas de gens, de notre fait ou pas.

Il n'empêche que s'immisce entre nous un sentiment de culpabilité et de complexité, qui biaise l'amour lui-même.

Voilà pourquoi il est vain de reprendre une histoire qui s'est arrêtée.

culpabilité à quoi ?
 
un couple qui traverse une crise (qui dit crise dit souffrance hein :D) en ressort: soit plus solide, soit il n'en ressort pas... il se brise!

donc quelque part oui oui oui il faut souffrir pr etre heureux en amour:D

mais comme on dit: l'amour est enfant de bohème, qui n'a jamais connu de lois.. ( ça me rappelle la pub là MDR)
 
Salam les filles,

Petite question que je me posais: un bonheur parfait, sans accrocs, la plupart des personnes vous diront soit que 1) c'est ennuyeux, soit 2) c'est pas possible.

D'ou ma question: si nous nous centrons sur l'amour: doit-on nécessairement souffrir au moins un peu pour être heureux en amour? A-t-on besoin de ces épreuves pour renforcer le lien, ou sont-ce les liens initialement forts qui résistent au pire? Ou alors le bonheur parfait, lisse et harmonieux peut exister en soi, selon vous.

Parallèllement à la souffrance, on peut faire le même constat avec la privation. On conçoit aisément pour la plupart que pour accéder à ce délicieux sentiment amoureux, on doive passer par qq sacrifices, c'est-à-dire PAR EXEMPLE éviter la facilité/céder trop vite à la tentation (mais plz si possible ne pas transformer ceci en débat sur la virginité ou sur les one night stand, c'est juste un exemple, on peut aussi parler d'autres types de privations).


C' est justement cette souffrance qui cultive le bonheur.
 
Hé que lis-je ??? Un coup de fouet !!!! Ya latif !!!! :D

Remarque le Marquis de Sade prônait la douleur pour plus de plaisir : rouge:


Oui mais lui c' était la violence et la cruauté plus axé sur la débauche que sur l' amour.

Mes coups de fouets a moi sont pleins d' amours et d' attentions. :D
 
Salam les filles,

Petite question que je me posais: un bonheur parfait, sans accrocs, la plupart des personnes vous diront soit que 1) c'est ennuyeux, soit 2) c'est pas possible.

D'ou ma question: si nous nous centrons sur l'amour: doit-on nécessairement souffrir au moins un peu pour être heureux en amour? A-t-on besoin de ces épreuves pour renforcer le lien, ou sont-ce les liens initialement forts qui résistent au pire? Ou alors le bonheur parfait, lisse et harmonieux peut exister en soi, selon vous.

Parallèllement à la souffrance, on peut faire le même constat avec la privation. On conçoit aisément pour la plupart que pour accéder à ce délicieux sentiment amoureux, on doive passer par qq sacrifices, c'est-à-dire PAR EXEMPLE éviter la facilité/céder trop vite à la tentation (mais plz si possible ne pas transformer ceci en débat sur la virginité ou sur les one night stand, c'est juste un exemple, on peut aussi parler d'autres types de privations).



En amour ou dans le reste , ce qui nous rends heureux c'est la comparaison avec les moments ou l'on fut malheureux , le bonheur n'a ce gout sucrée que lorsqu'on se rememore les moments amers de la vie donc l'amour pour moi ne fait pas exception à cela. je ne connais personne qui n'a pas souffert par contre j'en connais beaucoup qui n'ont pas aimés
 
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