Le second mandat de Donald Trump, artisan de la marocanité du Sahara occidental (ex Sahara espagnol) commence sur les chapeaux de roue.
Tout bonnement, il revendique l'emprise sur le Canada dont il veut faire le 51ème Etat des EUA, le canal de Panama, construit avec les sang des Antillais et du fantasque Lesseps, le Groenland, territoire autonome appartenant au Danemark ; ce qui en fait le plus grand pays en superficie de l'UE.
Dernière lubie ; en pleine visite de son ami Bibi Netanyahou (que Sarkozy qualifiait de "fou") qui l'a trahi en saluant la victoire de Sleepy Joe, il annonce, dans une conférence de presse surprise en pleine nuit hier, que les EUA "s'empareront de la bande de Gaza", anciennement égyptienne. En contradiction totale avec sa volonté de ne plus s'intéresser à la politique internationale autour de son MAGA (Make America Great Again)
Bibi déroule son plan machiavélique sioniste expansionniste. Plus tôt, Trump disait que Gaza n'était que "désolation" , une terrain de "démolition". Une démolition largement permise par les EUA et ses subsides. Les livraisons d'armes vers l'état hébreux ont repris de plus belle.
Certes, Donald Trump aura accéléré la libération des otages sionistes avant même son arrivée dans le bureau ovale en promettant, à défaut, l’Armageddon au Proche-Orient. C'est à son crédit. Avec naturellement, l'intermédiation du Qatar, au centre du jeu. L'état sioniste dit pourtant ne JAMAIS négocier avec les terroristes. Bullshit en barres. Via le Mossad cela passe mieux sous les dorures de Doha et qq moutabal, falafels et autres feuilles de vignes + dessert baklava.
Pauvres Palestiniens, abandonnés par tous les pays arabes avec un Qatar vicieux car soucieux de se mettre au centre du jeu comme par compensation de sa faible superficie, une Arabie Saoudite silencieuse et une Syrie, désintéressée dit-elle et défaite du boucher Assad fils. L'Iran est désormais hors jeu et sera la prochaine cible. Ca doit trembler chez les mollahs et pasdarans.
Bouquet final, Trump annonce qu'il met une "pression maximale" sur l'Iran, obsession de Bibi venu lui donner sa partition pro-sioniste. Pour l'Ukraine, il négocie l'accès exclusif aux terres rares. Le clown Zelinsky se couche et veut aller à la table de son ancien boucher. En //, le Qatar indique qu'il refinancera le Liban. On re-distribue les cartes. Les terres vont d'une main à une autre. Comme dans l'Antiquité.
La constante humaine de la volonté de puissance chère à Nietzche.
L'hyper-empire étasunien est plus vrai que jamais. Trump dit vouloir faire de Gaza une "Riviera" où l'on "se sentira bien", comme dans son projet largement inspiré par son gendre J. Kuchner (plus sioniste tu meurs). A coup de milliards de $. Exit le droit des peuples à "disposer d'eux mêmes" et la "souveraineté des peuples". Le droit international, ce truc inventé par les Occidentaux pour dominer les faibles. La logique du plus fort prévaut; again and again. USA rule.
++
Tout bonnement, il revendique l'emprise sur le Canada dont il veut faire le 51ème Etat des EUA, le canal de Panama, construit avec les sang des Antillais et du fantasque Lesseps, le Groenland, territoire autonome appartenant au Danemark ; ce qui en fait le plus grand pays en superficie de l'UE.
Dernière lubie ; en pleine visite de son ami Bibi Netanyahou (que Sarkozy qualifiait de "fou") qui l'a trahi en saluant la victoire de Sleepy Joe, il annonce, dans une conférence de presse surprise en pleine nuit hier, que les EUA "s'empareront de la bande de Gaza", anciennement égyptienne. En contradiction totale avec sa volonté de ne plus s'intéresser à la politique internationale autour de son MAGA (Make America Great Again)
Bibi déroule son plan machiavélique sioniste expansionniste. Plus tôt, Trump disait que Gaza n'était que "désolation" , une terrain de "démolition". Une démolition largement permise par les EUA et ses subsides. Les livraisons d'armes vers l'état hébreux ont repris de plus belle.
Certes, Donald Trump aura accéléré la libération des otages sionistes avant même son arrivée dans le bureau ovale en promettant, à défaut, l’Armageddon au Proche-Orient. C'est à son crédit. Avec naturellement, l'intermédiation du Qatar, au centre du jeu. L'état sioniste dit pourtant ne JAMAIS négocier avec les terroristes. Bullshit en barres. Via le Mossad cela passe mieux sous les dorures de Doha et qq moutabal, falafels et autres feuilles de vignes + dessert baklava.
Pauvres Palestiniens, abandonnés par tous les pays arabes avec un Qatar vicieux car soucieux de se mettre au centre du jeu comme par compensation de sa faible superficie, une Arabie Saoudite silencieuse et une Syrie, désintéressée dit-elle et défaite du boucher Assad fils. L'Iran est désormais hors jeu et sera la prochaine cible. Ca doit trembler chez les mollahs et pasdarans.
Bouquet final, Trump annonce qu'il met une "pression maximale" sur l'Iran, obsession de Bibi venu lui donner sa partition pro-sioniste. Pour l'Ukraine, il négocie l'accès exclusif aux terres rares. Le clown Zelinsky se couche et veut aller à la table de son ancien boucher. En //, le Qatar indique qu'il refinancera le Liban. On re-distribue les cartes. Les terres vont d'une main à une autre. Comme dans l'Antiquité.
La constante humaine de la volonté de puissance chère à Nietzche.
L'hyper-empire étasunien est plus vrai que jamais. Trump dit vouloir faire de Gaza une "Riviera" où l'on "se sentira bien", comme dans son projet largement inspiré par son gendre J. Kuchner (plus sioniste tu meurs). A coup de milliards de $. Exit le droit des peuples à "disposer d'eux mêmes" et la "souveraineté des peuples". Le droit international, ce truc inventé par les Occidentaux pour dominer les faibles. La logique du plus fort prévaut; again and again. USA rule.
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