Le Maroc s'est investit, très tôt, dans la construction d'un espace de liberté et de respect des droits de l'Homme selon une démarche propre et un rythme approprié qui tiennent compte de ses fondamentaux.
«Les grandes avancées en matière des droits de l'Homme confortent la position du Maroc comme modèle exceptionnel»Sous le leadership de S.M. le Roi Mohammed VI, le Maroc a entamé, depuis plus de deux décennies, un processus serein de réformes graduelles vers une société démocratique moderniste où le citoyen est honoré comme il se doit, nanti des attributs d'une citoyenneté pleine et entière. Le Royaume s'est ainsi investit, très tôt, dans la construction d'un espace de liberté et de respect des droits de l'Homme selon une démarche propre et un rythme approprié qui tiennent compte de ses fondamentaux, de ses choix stratégiques et de ses spécificités.
Les grandes avancées réalisées en matière de promotion et de respect des droits de l'Homme lui ont ainsi valu d'être élu, en novembre dernier, au Conseil des droits de l'Homme de l'Onu, pour la deuxième fois consécutive, et ont conforté sa position de «modèle exceptionnel et de pôle de stabilité, de développement et de tolérance dans la région».Le processus de réformes a été entamé au début de l'année 2000, notamment par la consécration du nouveau concept de l'autorité, la réforme de la Moudawana, la reconnaissance du pluralisme ethnoculturel avec le discours royal d'Ajdir, la mise en place de l'Institut royal de la culture amazighe (Ircam) et le travail fait par l'Instance équité et réconciliation (IER).Pour le président du Conseil national des droits de l'homme (CNDH), Driss El Yazami, il s'agit de trois problématiques essentielles qui ont été au coeur de la première grande vague de réformes, à savoir l'égalité, le pluralisme et les droits politiques et civils.Une deuxième vague de réformes, non moins importantes, a été initiée bien avant même le Printemps arabe, avec le lancement de l'Initiative nationale pour le développement humain (INDH) en 2005 et les travaux de la Commission consultative sur la régionalisation qui a produit son rapport. La promotion de la situation de groupes vulnérables et la répartition du pouvoir sont des «questions centrales» dans ce travail de longue haleine, a souligné El Yazami.- See more at: http://www.lematin.ma/express/droit...on-du-maroc-/192698.html#sthash.T3qV37MH.dpuf
«Les grandes avancées en matière des droits de l'Homme confortent la position du Maroc comme modèle exceptionnel»Sous le leadership de S.M. le Roi Mohammed VI, le Maroc a entamé, depuis plus de deux décennies, un processus serein de réformes graduelles vers une société démocratique moderniste où le citoyen est honoré comme il se doit, nanti des attributs d'une citoyenneté pleine et entière. Le Royaume s'est ainsi investit, très tôt, dans la construction d'un espace de liberté et de respect des droits de l'Homme selon une démarche propre et un rythme approprié qui tiennent compte de ses fondamentaux, de ses choix stratégiques et de ses spécificités.
Les grandes avancées réalisées en matière de promotion et de respect des droits de l'Homme lui ont ainsi valu d'être élu, en novembre dernier, au Conseil des droits de l'Homme de l'Onu, pour la deuxième fois consécutive, et ont conforté sa position de «modèle exceptionnel et de pôle de stabilité, de développement et de tolérance dans la région».Le processus de réformes a été entamé au début de l'année 2000, notamment par la consécration du nouveau concept de l'autorité, la réforme de la Moudawana, la reconnaissance du pluralisme ethnoculturel avec le discours royal d'Ajdir, la mise en place de l'Institut royal de la culture amazighe (Ircam) et le travail fait par l'Instance équité et réconciliation (IER).Pour le président du Conseil national des droits de l'homme (CNDH), Driss El Yazami, il s'agit de trois problématiques essentielles qui ont été au coeur de la première grande vague de réformes, à savoir l'égalité, le pluralisme et les droits politiques et civils.Une deuxième vague de réformes, non moins importantes, a été initiée bien avant même le Printemps arabe, avec le lancement de l'Initiative nationale pour le développement humain (INDH) en 2005 et les travaux de la Commission consultative sur la régionalisation qui a produit son rapport. La promotion de la situation de groupes vulnérables et la répartition du pouvoir sont des «questions centrales» dans ce travail de longue haleine, a souligné El Yazami.- See more at: http://www.lematin.ma/express/droit...on-du-maroc-/192698.html#sthash.T3qV37MH.dpuf