Trois mois après le dépôt de plainte de Tristane Banon contre DSK, pour tentative de viol en 2003, le parquet de Paris a décidé de classer l'affaire sans suite, même si la justice a reconnu qu'il y avait bien eu «agression sexuelle». Mais pour ce seul chef d'accusation, il y a prescription trois ans après les faits. La plainte est donc classée.
Tristane Banon, elle, s'y attendait un peu : déterminée à aller jusqu'au bout, la journaliste avait prévenu que si le parquet classait sa plainte, elle irait immédiatement se porter partie civile. Une nouvelle procédure qui entraîne automatiquement la désignation d'un juge d'instruction.
Le 29 septembre dernier, la romancière - dont le livre-confession vient justement de paraître ce même jour, «Le bal des hypocrites» (Au Diable Vauvert) et dans lequel elle livre sa version des faits - avait passé plus de deux heures dans les locaux de la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP) à Paris, face à son agresseur présumé, Dominique Strauss-Kahn. Une confrontation qu'elle avait demandée. Lors de ce face à face, au cours duquel DSK n'aurait, selon Banon, pas «osé la regarder», l'ancien patron du FMI a confirmé avoir «tenté de l'embrasser», tout en démentant l'agression.
http://www.leparisien.fr/dsk-la-chu...-la-plainte-sans-suite-13-10-2011-1651373.php
Tristane Banon, elle, s'y attendait un peu : déterminée à aller jusqu'au bout, la journaliste avait prévenu que si le parquet classait sa plainte, elle irait immédiatement se porter partie civile. Une nouvelle procédure qui entraîne automatiquement la désignation d'un juge d'instruction.
Le 29 septembre dernier, la romancière - dont le livre-confession vient justement de paraître ce même jour, «Le bal des hypocrites» (Au Diable Vauvert) et dans lequel elle livre sa version des faits - avait passé plus de deux heures dans les locaux de la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP) à Paris, face à son agresseur présumé, Dominique Strauss-Kahn. Une confrontation qu'elle avait demandée. Lors de ce face à face, au cours duquel DSK n'aurait, selon Banon, pas «osé la regarder», l'ancien patron du FMI a confirmé avoir «tenté de l'embrasser», tout en démentant l'agression.
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