2 juin 2009
Claude Goasguen, Président du groupe France-Israël à lAssemblée nationale, et le député Eric Raoult (Seine-Saint Denis) ont réclamé à Michèle Alliot-Marie, ministre de lIntérieur, des poursuites contre leurs auteurs.
Réponse: « Monsieur le député, il est vrai que, depuis le début du conflit israélo-palestinien au mois de décembre 2008, plusieurs associations de défense de la cause palestinienne sont intervenues dans des grandes surfaces en appelant au boycott des produits en provenance dIsraël ou de pays supposés apporter une aide à ce pays.
Ces interventions se sont concrétisées par vingt et une actions recensées dans des grandes surfaces, dont la moitié en grande banlieue.
Ces opérations, il faut bien le préciser, touchent des produits importés dIsraël et non des produits casher.
Ils sont signalés par des étiquettes qui leur sont apposées, quand il sagit de fruits ou de légumes, ou par des tracts distribués aux clients.
Les forces de lordre, chaque fois quelles sont appelées, interviennent, notamment pour éviter des violences ou des heurts.
Il est évident que, si des plaintes précises étaient déposées ou si des infractions pénales étaient constituées, des poursuites auraient lieu.
Mais, à ce jour, je dois vous préciser quaucune plainte na été déposée, ni par des grandes surfaces, ni par des associations. »
Claude Goasguen, Président du groupe France-Israël à lAssemblée nationale, et le député Eric Raoult (Seine-Saint Denis) ont réclamé à Michèle Alliot-Marie, ministre de lIntérieur, des poursuites contre leurs auteurs.
Réponse: « Monsieur le député, il est vrai que, depuis le début du conflit israélo-palestinien au mois de décembre 2008, plusieurs associations de défense de la cause palestinienne sont intervenues dans des grandes surfaces en appelant au boycott des produits en provenance dIsraël ou de pays supposés apporter une aide à ce pays.
Ces interventions se sont concrétisées par vingt et une actions recensées dans des grandes surfaces, dont la moitié en grande banlieue.
Ces opérations, il faut bien le préciser, touchent des produits importés dIsraël et non des produits casher.
Ils sont signalés par des étiquettes qui leur sont apposées, quand il sagit de fruits ou de légumes, ou par des tracts distribués aux clients.
Les forces de lordre, chaque fois quelles sont appelées, interviennent, notamment pour éviter des violences ou des heurts.
Il est évident que, si des plaintes précises étaient déposées ou si des infractions pénales étaient constituées, des poursuites auraient lieu.
Mais, à ce jour, je dois vous préciser quaucune plainte na été déposée, ni par des grandes surfaces, ni par des associations. »