économie politique et paradis

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Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da quebrada
VIB
Dans la discipline de l'économie politique, il y a le concept d'utilité marginale. Ce concept signifie: le degré de satisfaction apporté par une unité supplémentaire d'un bien.

Or, force est de constater que l'utilité marginale est décroissante. En clair: la deuxième bouchée d'un gâteau fait moins plaisir que la première, et la troisième moins que la deuxième.

Mais si le paradis est constitué essentiellement de plaisirs, et que ceux-ci sont conçus pour durer éternellement, d'après ce qu'on vient de dire on peut déduire que les plaisirs deviendront de moins en moins plaisants, jusqu'au point où on n'en retirera rien ou presque. Autrement dit, au début on va prendre son pied, mais le paradis deviendra de moins en moins agréable, jusqu'au point où on va ressentir un ennui profond.

Il existe un espoir cependant: c'est que la qualité des plaisirs aille sans cesse en augmentant, pour compenser la décroissance de l'utilité marginale...

Cela suppose un nombre infini de plaisirs différents, puisque tout nombre fini viendra à être dépassé.

Or, je ne crois pas vraiment en un dieu infini. Je trouve le concept incohérent.

On peut cependant concevoir qu'au paradis, le temps subjectif ralentisse indéfiniment, et tende vers une asymptote sans l'atteindre. Dans ces conditions, on n'aurait pas besoin d'un dieu infini.

Autre solution: celle de Bouddha et du nirvana, sorte d'état de paix ineffable où tous les désirs sont éteints.
 
l'economie est une pensé humaine libre pour le bien de la societé!
la religion n'a rien avoire ladedans ni le christianisme ni l'islam!
ce qu'il peut etre, c'est ajouté un peu d'etique et de moralité selon la religion qu'on a!

il ne faut pas faire d'amalgames!
 
Dans la discipline de l'économie politique, il y a le concept d'utilité marginale. Ce concept signifie: le degré de satisfaction apporté par une unité supplémentaire d'un bien.

Or, force est de constater que l'utilité marginale est décroissante. En clair: la deuxième bouchée d'un gâteau fait moins plaisir que la première, et la troisième moins que la deuxième.

Mais si le paradis est constitué essentiellement de plaisirs, et que ceux-ci sont conçus pour durer éternellement, d'après ce qu'on vient de dire on peut déduire que les plaisirs deviendront de moins en moins plaisants, jusqu'au point où on n'en retirera rien ou presque. Autrement dit, au début on va prendre son pied, mais le paradis deviendra de moins en moins agréable, jusqu'au point où on va ressentir un ennui profond.

Il existe un espoir cependant: c'est que la qualité des plaisirs aille sans cesse en augmentant, pour compenser la décroissance de l'utilité marginale...

Cela suppose un nombre infini de plaisirs différents, puisque tout nombre fini viendra à être dépassé.

Or, je ne crois pas vraiment en un dieu infini. Je trouve le concept incohérent.

On peut cependant concevoir qu'au paradis, le temps subjectif ralentisse indéfiniment, et tende vers une asymptote sans l'atteindre. Dans ces conditions, on n'aurait pas besoin d'un dieu infini.

Autre solution: celle de Bouddha et du nirvana, sorte d'état de paix ineffable où tous les désirs sont éteints.

Analyse rationnelle intéressante, mais quand on est croyant, on n'est pas très rationnel !
 
Dans la discipline de l'économie politique, il y a le concept d'utilité marginale. Ce concept signifie: le degré de satisfaction apporté par une unité supplémentaire d'un bien.

Or, force est de constater que l'utilité marginale est décroissante. En clair: la deuxième bouchée d'un gâteau fait moins plaisir que la première, et la troisième moins que la deuxième.

Mais si le paradis est constitué essentiellement de plaisirs, et que ceux-ci sont conçus pour durer éternellement, d'après ce qu'on vient de dire on peut déduire que les plaisirs deviendront de moins en moins plaisants, jusqu'au point où on n'en retirera rien ou presque. Autrement dit, au début on va prendre son pied, mais le paradis deviendra de moins en moins agréable, jusqu'au point où on va ressentir un ennui profond.

Il existe un espoir cependant: c'est que la qualité des plaisirs aille sans cesse en augmentant, pour compenser la décroissance de l'utilité marginale...

Cela suppose un nombre infini de plaisirs différents, puisque tout nombre fini viendra à être dépassé.

Or, je ne crois pas vraiment en un dieu infini. Je trouve le concept incohérent.

On peut cependant concevoir qu'au paradis, le temps subjectif ralentisse indéfiniment, et tende vers une asymptote sans l'atteindre. Dans ces conditions, on n'aurait pas besoin d'un dieu infini.

Autre solution: celle de Bouddha et du nirvana, sorte d'état de paix ineffable où tous les désirs sont éteints.

Une fois que l'utilité marginale est égale à 0, on attend un peu et puis, l'envie revient.
 
Dans la discipline de l'économie politique, il y a le concept d'utilité marginale. Ce concept signifie: le degré de satisfaction apporté par une unité supplémentaire d'un bien.

Or, force est de constater que l'utilité marginale est décroissante. En clair: la deuxième bouchée d'un gâteau fait moins plaisir que la première, et la troisième moins que la deuxième.

Mais si le paradis est constitué essentiellement de plaisirs, et que ceux-ci sont conçus pour durer éternellement, d'après ce qu'on vient de dire on peut déduire que les plaisirs deviendront de moins en moins plaisants, jusqu'au point où on n'en retirera rien ou presque. Autrement dit, au début on va prendre son pied, mais le paradis deviendra de moins en moins agréable, jusqu'au point où on va ressentir un ennui profond.

Il existe un espoir cependant: c'est que la qualité des plaisirs aille sans cesse en augmentant, pour compenser la décroissance de l'utilité marginale...

Cela suppose un nombre infini de plaisirs différents, puisque tout nombre fini viendra à être dépassé.

Or, je ne crois pas vraiment en un dieu infini. Je trouve le concept incohérent.

On peut cependant concevoir qu'au paradis, le temps subjectif ralentisse indéfiniment, et tende vers une asymptote sans l'atteindre. Dans ces conditions, on n'aurait pas besoin d'un dieu infini.

Autre solution: celle de Bouddha et du nirvana, sorte d'état de paix ineffable où tous les désirs sont éteints.

Quand bien même l'utilité marginale serait décroissante, elle ne serait pas nulle si ta satiété est infinie.

Donc l'utilité marginale d'une unité additionnelle, bien qu'inférieure à la précédente, augmentera toujours ton utilité.

En gros on en veut toujours plus, même si on en est moins intéressé.
 
Dans la discipline de l'économie politique, il y a le concept d'utilité marginale. Ce concept signifie: le degré de satisfaction apporté par une unité supplémentaire d'un bien.

Or, force est de constater que l'utilité marginale est décroissante. En clair: la deuxième bouchée d'un gâteau fait moins plaisir que la première, et la troisième moins que la deuxième.

Mais si le paradis est constitué essentiellement de plaisirs, et que ceux-ci sont conçus pour durer éternellement, d'après ce qu'on vient de dire on peut déduire que les plaisirs deviendront de moins en moins plaisants, jusqu'au point où on n'en retirera rien ou presque. Autrement dit, au début on va prendre son pied, mais le paradis deviendra de moins en moins agréable, jusqu'au point où on va ressentir un ennui profond.

Il existe un espoir cependant: c'est que la qualité des plaisirs aille sans cesse en augmentant, pour compenser la décroissance de l'utilité marginale...

Cela suppose un nombre infini de plaisirs différents, puisque tout nombre fini viendra à être dépassé.

Or, je ne crois pas vraiment en un dieu infini. Je trouve le concept incohérent.

On peut cependant concevoir qu'au paradis, le temps subjectif ralentisse indéfiniment, et tende vers une asymptote sans l'atteindre. Dans ces conditions, on n'aurait pas besoin d'un dieu infini.

Autre solution: celle de Bouddha et du nirvana, sorte d'état de paix ineffable où tous les désirs sont éteints.
économiquement parlant l'utilité marginale pourrait retomber a 0 comme l'indiquait "aldajjal" ds ce cas la ya l'envie de se satisfaire resurgis!donc ca revient au méme;) ..et puis tant qu'on est humain doté d'un cerveau crée par DIEU cad qu'on serait tt petit devant le savoir de notre concepteur!! donc il ns appartient point de se mesurer a dieu ou encore a le défier!! "Au Paradis, il y a des choses qu'aucun oeil n'a jamais vues, qu'aucune oreille n'a jamais entendues, et qu'aucun esprit humain n'a jamais imaginées."
 
Quand bien même l'utilité marginale serait décroissante, elle ne serait pas nulle si ta satiété est infinie.

Donc l'utilité marginale d'une unité additionnelle, bien qu'inférieure à la précédente, augmentera toujours ton utilité.

En gros on en veut toujours plus, même si on en est moins intéressé.
tu l'a dis bouffi!cad qu'on arriverra jms a se rassasierr!! dire que les plasirs du paradis deviendront de moins en moins plaisants c coméme illogique nn?!
 
l'economie est un concepte tres necessaire et une idée libre tres respecté!
l'argent n'est qu'un bout de papier, c'est l'homme qui lui a donner de la valeur.
c'est avant tout un etape tres importante dans la vie societaires!
la religion ne dois pas etre toujours melé aux autres ideologie, si cela n'agresse pas son authencité et sa valeur de la foi!
ce qu'on peux donner aux pensée ou a la creativité c une touche de moralité de notre doctrine...
 
Quand bien même l'utilité marginale serait décroissante, elle ne serait pas nulle si ta satiété est infinie.

Donc l'utilité marginale d'une unité additionnelle, bien qu'inférieure à la précédente, augmentera toujours ton utilité.

En gros on en veut toujours plus, même si on en est moins intéressé.

Effectivement, on nous introduit à l'économie politique en nous disant que les besoins humains sont infinis.
 
Très juste: on peut concevoir le paradis comme un cycle sans fin de consommation et de repos...
la ou il y a des choses qu'aucun oeil n'a jamais vues, qu'aucune oreille n'a jamais entendues, et qu'aucun esprit humain n'a jamais imaginées!!;) donc ds ce bas monde notre seigneur ns a asservi un cerveau tt défferent de celui dont ns serons doté une fois au paradis!!
 
la ou il y a des choses qu'aucun oeil n'a jamais vues, qu'aucune oreille n'a jamais entendues, et qu'aucun esprit humain n'a jamais imaginées!!;) donc ds ce bas monde notre seigneur ns a asservi un cerveau tt défferent de celui dont ns serons doté une fois au paradis!!

mais on attendant, faut pas delaissé les ideologie propre pour notre bien-vivre!
 
Dans la discipline de l'économie politique, il y a le concept d'utilité marginale. Ce concept signifie: le degré de satisfaction apporté par une unité supplémentaire d'un bien.

Or, force est de constater que l'utilité marginale est décroissante. En clair: la deuxième bouchée d'un gâteau fait moins plaisir que la première, et la troisième moins que la deuxième.

Mais si le paradis est constitué essentiellement de plaisirs, et que ceux-ci sont conçus pour durer éternellement, d'après ce qu'on vient de dire on peut déduire que les plaisirs deviendront de moins en moins plaisants, jusqu'au point où on n'en retirera rien ou presque. Autrement dit, au début on va prendre son pied, mais le paradis deviendra de moins en moins agréable, jusqu'au point où on va ressentir un ennui profond.

Il existe un espoir cependant: c'est que la qualité des plaisirs aille sans cesse en augmentant, pour compenser la décroissance de l'utilité marginale...

Cela suppose un nombre infini de plaisirs différents, puisque tout nombre fini viendra à être dépassé.

Or, je ne crois pas vraiment en un dieu infini. Je trouve le concept incohérent.

On peut cependant concevoir qu'au paradis, le temps subjectif ralentisse indéfiniment, et tende vers une asymptote sans l'atteindre. Dans ces conditions, on n'aurait pas besoin d'un dieu infini.

Autre solution: celle de Bouddha et du nirvana, sorte d'état de paix ineffable où tous les désirs sont éteints.

Je ne pense pas que ce concept d'utilité marginale puisse exister au Paradis, sachant qu'il s'agit d'un autre monde où ttes les préoccupations et créations humaines en vigueur actuellement ds le notre sont inexistantes.
 
Dans la discipline de l'économie politique, il y a le concept d'utilité marginale. Ce concept signifie: le degré de satisfaction apporté par une unité supplémentaire d'un bien.

Or, force est de constater que l'utilité marginale est décroissante. En clair: la deuxième bouchée d'un gâteau fait moins plaisir que la première, et la troisième moins que la deuxième.

Mais si le paradis est constitué essentiellement de plaisirs, et que ceux-ci sont conçus pour durer éternellement, d'après ce qu'on vient de dire on peut déduire que les plaisirs deviendront de moins en moins plaisants, jusqu'au point où on n'en retirera rien ou presque. Autrement dit, au début on va prendre son pied, mais le paradis deviendra de moins en moins agréable, jusqu'au point où on va ressentir un ennui profond.

Il existe un espoir cependant: c'est que la qualité des plaisirs aille sans cesse en augmentant, pour compenser la décroissance de l'utilité marginale...

Cela suppose un nombre infini de plaisirs différents, puisque tout nombre fini viendra à être dépassé.

Or, je ne crois pas vraiment en un dieu infini. Je trouve le concept incohérent.

On peut cependant concevoir qu'au paradis, le temps subjectif ralentisse indéfiniment, et tende vers une asymptote sans l'atteindre. Dans ces conditions, on n'aurait pas besoin d'un dieu infini.

Autre solution: celle de Bouddha et du nirvana, sorte d'état de paix ineffable où tous les désirs sont éteints.
On est dans l'au delà, une autre dimenssion.

Tu peut pas résonner avec ton petit cerveau D'Homme.

C'est comme si un petit de maternelle essayait de comprendre les règles du droit médical (je dit ça au pif) grâce aux règles qu'il y a en maternelle. Dans ce cas il dirait que le droit médical n'existe pas parce que ceux qui l'exercent ne font pas de coloriage le jeudi.

Changement de monde=changement de lois.
 
On est dans l'au delà, une autre dimenssion.

Tu peut pas résonner avec ton petit cerveau D'Homme.

C'est comme si un petit de maternelle essayait de comprendre les règles du droit médical (je dit ça au pif) grâce aux règles qu'il y a en maternelle. Dans ce cas il dirait que le droit médical n'existe pas parce que ceux qui l'exercent ne font pas de coloriage le jeudi.

Changement de monde=changement de lois.

C'est quand même pas interdit de se poser des questions en islam, non ???
 
Un monde avec des besoins illimités et des ressources illimités. Voilà (en gros) en quoi consisterait le paradis.

Ce qui est intéressant, c'est que l'approche bouddhiste envisage autrement ce problème: elle anéantit les désirs plutôt que de multiplier à l'infini les ressources. Cela est bien sûr cohérent avec son athéisme.
 
Dans la discipline de l'économie politique, il y a le concept d'utilité marginale. Ce concept signifie: le degré de satisfaction apporté par une unité supplémentaire d'un bien.

Or, force est de constater que l'utilité marginale est décroissante. En clair: la deuxième bouchée d'un gâteau fait moins plaisir que la première, et la troisième moins que la deuxième.

Mais si le paradis est constitué essentiellement de plaisirs, et que ceux-ci sont conçus pour durer éternellement, d'après ce qu'on vient de dire on peut déduire que les plaisirs deviendront de moins en moins plaisants, jusqu'au point où on n'en retirera rien ou presque. Autrement dit, au début on va prendre son pied, mais le paradis deviendra de moins en moins agréable, jusqu'au point où on va ressentir un ennui profond.

Il existe un espoir cependant: c'est que la qualité des plaisirs aille sans cesse en augmentant, pour compenser la décroissance de l'utilité marginale...

Cela suppose un nombre infini de plaisirs différents, puisque tout nombre fini viendra à être dépassé.

Or, je ne crois pas vraiment en un dieu infini. Je trouve le concept incohérent.

On peut cependant concevoir qu'au paradis, le temps subjectif ralentisse indéfiniment, et tende vers une asymptote sans l'atteindre. Dans ces conditions, on n'aurait pas besoin d'un dieu infini.

Autre solution: celle de Bouddha et du nirvana, sorte d'état de paix ineffable où tous les désirs sont éteints.

tu fait une erreur les plésirs du paradis sont étérnelle tu ne sentira pas le temp et il n'y aura pas de notion de temps. c'est-a-dire que si tu voit quelque chose de beau au paradis tu t'en lassera pour autant. c'est-a-dire que les plaisirs du paradis peuvent être décris comme manger un gateau et et que les autres bouchés devient de plus en plus meilleurs car la bas les plaisirs ne passent pas de 1 seconde a 2 mais les plaisirs sont au même état qu'on les a vu ou goûté qu'au départ et même plus savourant. on peut dire que c'est comme une horloge qui est cassé et que l'éguie de la seconde revient toujour au même sans bouger d'une seconde. Tu voit ce que je veut dire ??? il n'y a pas de notion du temps et on ne sent pas le temps au paradis je vais te donner une exemple :

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Dans le Hadith, élevé jusqu’au Prophète d’après Darrâj, d’arpsè Abu Haytham d’après Abû Sa3id, on lit :


« L’homme au paradis s’appuie sur un coussin pendant 70 ans avant qu’il ne se retourne. Une femme s’approche, ensuite, de lui et lui donne une tape sur l’épaule. Il voit son propre visage, dans sa joue, plus pur que dans un miroir. La plus petite des perles qu’elle porte, éclairerait tout l’espace existant entre l’orient et l’occident. Elle le salut. Il lui rend le salut et lui dit : « Qui es tu ? » elle répond : « C’est moi qui suis ce qui se donne en plus. » Elle porte 70 habits dont le dernier est aussi beau que les anémones qui poussent sous l’arbre Tuba ; il voit la moelle des os de ses jambes à travers tout cela »

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________Salam j'espère t'avoir aidé qu'Allah te guide vers le droit chemin, Amin__________
 
La notion de paradis est un trompe-la-mort, une facon maladroite de masquer sa propre peur infantile de l'idee de la mort.
L'idee de la mort est plus effrayante que la mort elle-meme.
Pourtant il faudra bien mourir.
 
les désirs ne sont jms anéantit du moins ds ce bas monde!..mais qu'est ce qu'ils ont ces boudhiste de surplus?!!

Que tu le veuilles ou non, les bouddhistes ont la cote en ce moment. Leur religion est associée au pacifisme et à la paix intérieure, ainsi qu'à une profonde spiritualité empreinte de tolérance et de bienveillance.

Leur pensée philosophique sans dieu créateur et sans âme séduit également une partie des intellectuels d'Occident en rupture avec leur héritage judéo-chrétien.
 
Que tu le veuilles ou non, les bouddhistes ont la cote en ce moment. Leur religion est associée au pacifisme et à la paix intérieure, ainsi qu'à une profonde spiritualité empreinte de tolérance et de bienveillance.

Leur pensée philosophique sans dieu créateur et sans âme séduit également une partie des intellectuels d'Occident en rupture avec leur héritage judéo-chrétien.
heu..tu parle a qui la?^^ ben ma question a moi ct par contre PQ prétend tu que leur désirs ou besoins sont anéantit en dehors du fait de leur "paix intérieure.."..
 
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