Education nationale : Absentéisme et Fonctionnaires fantômes

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A fin mai, 92.788 journées d’absence ont été enregistrées auprès du (CNT) qui reçoit les ordres des différentes administrations pour effectuer les déductions sur les salaires.
L’Education nationale, qui emploie près de la moitié des fonctionnaires, est en tête avec 89.502 absences irrégulières. Les instituteurs et les profs du lycée seraient les champions de l’école buissonnière. Autres foyers d’absentéisme, la Santé (2.279), l’Enseignement supérieur (324) et dans une moindre mesure l’Intérieur (431).
...
LE souci majeur dans l’administration publique est la traque des fonctionnaires fantômes.
Un exercice auquel s’attelle annuellement le ministère de la Modernisation des secteurs publics, s’appuyant pour cela sur une comparaison entre les listes des fonctionnaires qui existent dans chaque département ministériel et la base de données du Centre national de traitement.
Ce «relevé» a permis de détecter la présence d’une soixantaine de fonctionnaires fantômes, affirme un haut responsable. Les données sont arrêtées à fin novembre 2008. Ce sont les dernières statistiques connues.

leconomiste
 
A fin mai, 92.788 journées d’absence ont été enregistrées auprès du (CNT) qui reçoit les ordres des différentes administrations pour effectuer les déductions sur les salaires.
L’Education nationale, qui emploie près de la moitié des fonctionnaires, est en tête avec 89.502 absences irrégulières. Les instituteurs et les profs du lycée seraient les champions de l’école buissonnière. Autres foyers d’absentéisme, la Santé (2.279), l’Enseignement supérieur (324) et dans une moindre mesure l’Intérieur (431).
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LE souci majeur dans l’administration publique est la traque des fonctionnaires fantômes.
Un exercice auquel s’attelle annuellement le ministère de la Modernisation des secteurs publics, s’appuyant pour cela sur une comparaison entre les listes des fonctionnaires qui existent dans chaque département ministériel et la base de données du Centre national de traitement.
Ce «relevé» a permis de détecter la présence d’une soixantaine de fonctionnaires fantômes, affirme un haut responsable. Les données sont arrêtées à fin novembre 2008. Ce sont les dernières statistiques connues.

leconomiste



Les vrais bons sujets n'interessent plus personne !!!
 
Les vrais bons sujets n'interessent plus personne !!!

vu comme tu donnes l'exemple...pas étonnant!:D


je veux dire, tu ne dis pas grand'chose là-dessus toi non plus quand même...pardon...

si tu ne connais pas l'éducation nationale marocaine, qu'est-ce que tu veux en dire?

c'est comme la médeçine, on ne peut pas en parler si on y connait rien...:D
 
vu comme tu donnes l'exemple...pas étonnant!:D


je veux dire, tu ne dis pas grand'chose là-dessus toi non plus quand même...pardon...

si tu ne connais pas l'éducation nationale marocaine, qu'est-ce que tu veux en dire?

c'est comme la médeçine, on ne peut pas en parler si on y connait rien...:D

L'education nationale Marocaine je connais pratiquement comme ma poche.............

Et j'ai suivi presuq etout les changements hasardeux et empiriques effectués...c'est un cancer metastasté il faut ou un ordinateur infecté à mon avis il ne faut continuer dans la betise mais faire un formatage du syteme sur les année 80 et redemarer son systeme doucement

Alors dire que le seul souci des enseignants etait leur salaire !!!!
 
A fin mai, 92.788 journées d’absence ont été enregistrées auprès du (CNT) qui reçoit les ordres des différentes administrations pour effectuer les déductions sur les salaires.
L’Education nationale, qui emploie près de la moitié des fonctionnaires, est en tête avec 89.502 absences irrégulières. Les instituteurs et les profs du lycée seraient les champions de l’école buissonnière. Autres foyers d’absentéisme, la Santé (2.279), l’Enseignement supérieur (324) et dans une moindre mesure l’Intérieur (431).
...
LE souci majeur dans l’administration publique est la traque des fonctionnaires fantômes.
Un exercice auquel s’attelle annuellement le ministère de la Modernisation des secteurs publics, s’appuyant pour cela sur une comparaison entre les listes des fonctionnaires qui existent dans chaque département ministériel et la base de données du Centre national de traitement.
Ce «relevé» a permis de détecter la présence d’une soixantaine de fonctionnaires fantômes, affirme un haut responsable. Les données sont arrêtées à fin novembre 2008. Ce sont les dernières statistiques connues.

leconomiste

LA HONTE!!!

ces gens doivent etre payer par l'heure et non pas par salaire.
 
le souci de tout fonctionnaire et salarié est le salaire c'est évident et c'est valable majoritement partout dans le monde
la société marocaine a aussi changé : on donne plus la valeur à l'education ou la culture de la personne mais seulement à combien ce qu'il gagne ou s'il occupe un poste d'autorité ou pas...
c'est l'ère de la mondialisation le libéralisme le matérialisme....
tout le monde sait que l'enseignement au maroc est dégradé reste à savoir quand est ce que nos responsables penseront sérieusement à le réformer ? quand est ce que notre société commensera à donner la vraie valeur et l'importance à l'éducation...
à mon avis, il vaudrait mieux privatiser l'enseignement au maorc tant que l'etat n'a pas ou ne veut pas investir massivement des fonsd dans l'enseignement (augmenter les salaires, construire suffisamment d'ecole lycées universités,entretenir le reste...)
 
le souci de tout fonctionnaire et salarié est le salaire c'est évident et c'est valable majoritement partout dans le monde
la société marocaine a aussi changé : on donne plus la valeur à l'education ou la culture de la personne mais seulement à combien ce qu'il gagne ou s'il occupe un poste d'autorité ou pas...
c'est l'ère de la mondialisation le libéralisme le matérialisme....
tout le monde sait que l'enseignement au maroc est dégradé reste à savoir quand est ce que nos responsables penseront sérieusement à le réformer ? quand est ce que notre société commensera à donner la vraie valeur et l'importance à l'éducation...
à mon avis, il vaudrait mieux privatiser l'enseignement au maorc tant que l'etat n'a pas ou ne veut pas investir massivement des fonsd dans l'enseignement (augmenter les salaires, construire suffisamment d'ecole lycées universités,entretenir le reste...)

il faut etre logique quand meme.
on parle du maroc ici.
 
A fin mai, 92.788 journées d’absence ont été enregistrées auprès du (CNT) qui reçoit les ordres des différentes administrations pour effectuer les déductions sur les salaires.
L’Education nationale, qui emploie près de la moitié des fonctionnaires, est en tête avec 89.502 absences irrégulières. Les instituteurs et les profs du lycée seraient les champions de l’école buissonnière. Autres foyers d’absentéisme, la Santé (2.279), l’Enseignement supérieur (324) et dans une moindre mesure l’Intérieur (431).
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LE souci majeur dans l’administration publique est la traque des fonctionnaires fantômes.
Un exercice auquel s’attelle annuellement le ministère de la Modernisation des secteurs publics, s’appuyant pour cela sur une comparaison entre les listes des fonctionnaires qui existent dans chaque département ministériel et la base de données du Centre national de traitement.
Ce «relevé» a permis de détecter la présence d’une soixantaine de fonctionnaires fantômes, affirme un haut responsable. Les données sont arrêtées à fin novembre 2008. Ce sont les dernières statistiques connues.

leconomiste



la seule solution pour combattre ce malheur c'est supprimer les heures sup.
 
quel heure sup le gars est dans djeb el a 20 etudiant et 5 niveaux à enseigner simulatement.......................koi devenir fou et partir

c'est pas quand même les instituteurs du djbel qui font ces stats . ceux là on peut les compter sur les doigts . le problème c'est que t'as des profs qui s'absentent et les etudiants devant terminer le programme se doivent obligés de prendre des heures sups chez ses profs et ça arrange ces derniers car c'est payant ...
 
La privatisation de l'enseignement est la solution, l'etat n'arrive pas à supporter les charges de l'enseignement et les citoyens veulent un enseignement de qualité
qui dit qualité dit des investissements en infrastructures, personnel bien payés, laboratoires, équipements... il ne faut pas rêver comme meme l'etat ne pourra jamais pourvoir ca avec son budget alors :
-soit l'etat imposera aux citoyens les frais de l'enseignement
-soit privatisé l'enseignement(même si deja il y a des écoles privés mais c'est insuffisant il faut donner toutes les facilités aux inestisseurs pour s'occuper au moins de 60% de l'enseignement et ne laisser publique que des écoles pour les citoyens pauvres ou dans les regions montagneuses...)
et sur le terrain, le constat le prouve les écoles privées offrent un service meilleur que le public
imaginé : 350.000 enseignants à payer pour un service gratuit, imaginé le nombre des écoles, lycées à entretenir, imaginé le coût pour doter chaque école des équipements (labos, pc,matériels...)
sans oublier les universités : une seule université IbnZohr d'agadir accueille 55% des étudiants marocains !!! des équipements de féraille, bourses médiocres, taux de redoublement élevé ....
tout ca pour servir gratuitement!
Si l'etat veut réformer et offrir un service d'enseignement de qualité aux marocains alors il doit lui consacrer tout le budget pour au moins une décennie et encore garder un taux de croissance moyen de 5%
je ne pense pas que les marocains sont prêt à sacrifier tous les autres services pour obtenir un enseignement de qualité
alors la seule solution est la privatisation
 
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