salam
El Jadida : Un citoyen demande à être protégé contre un commissaire ayant commis une faute professionnelle
«Moi, Siba, commissaire principal au service provincial de la police judiciaire à El Jadida ., reconnais préférer que M. Noureddine Bentawa renonce à sa poursuite judiciaire, sachant que jai agi contre la loi et commis à son égard une faute professionnelle le 18 janvier 2012 à 3h30 au centre Sidi Bouzid». Ce sont des extraits de laveu signé et légalisé par un commissaire de police à El Jadida le 24 février 2012 suite à une plainte déposée par un citoyen pour abus de pouvoir, privation de liberté et menace.
Une affaire qui a défrayé la chronique à El Jadida. Malgré la Constitution de juillet 2011 comportant de solides garanties des droits et des libertés, un commissaire de police se permet encore duser de méthodes appartenant aux années de plomb.
Les faits. Selon une plainte déposée par Noureddine Bentawa, titulaire de la CIN n° M224509, ce dernier a été appréhendé par deux policiers à la sortie dun hôtel. Après lui avoir demandé de les accompagner pour lauditionner au sujet dune plainte déposée contre lui, ils lauraient embarqué, sous la menace, sur une moto (scooter) jusquà la sortie de la ville où les attendait une voiture de police.
«Arrivés au centre de police à 3h 30 du matin, ils mont retiré les clés de ma voiture et mon téléphone. Vers 3h38 mn, mon téléphone a sonné, le policier ma demandé de répondre. Cétait le commissaire Siba», raconte le plaignant qui, dans une autre plainte déposée auprès du procureur général du Roi près la Cour dappel dEl Jadida, demande une protection juridique pour lui et sa famille, contre déventuels actes de vengeance de la part du commissaire en question ou de ses collaborateurs au service de la PJ. Il reconnaît avoir renoncé à toute poursuite judiciaire après avoir, toujours selon ses dires, fait lobjet de pression et de menaces de la part de Siba.
Le fait inédit, cependant, cest quun commissaire de police se permet de reconnaître, signature légalisée à lappui, ses abus et ses fautes professionnelles!
Quen disent le gouvernement Benkirane et le CNDH?

source: MAP
El Jadida : Un citoyen demande à être protégé contre un commissaire ayant commis une faute professionnelle
«Moi, Siba, commissaire principal au service provincial de la police judiciaire à El Jadida ., reconnais préférer que M. Noureddine Bentawa renonce à sa poursuite judiciaire, sachant que jai agi contre la loi et commis à son égard une faute professionnelle le 18 janvier 2012 à 3h30 au centre Sidi Bouzid». Ce sont des extraits de laveu signé et légalisé par un commissaire de police à El Jadida le 24 février 2012 suite à une plainte déposée par un citoyen pour abus de pouvoir, privation de liberté et menace.
Une affaire qui a défrayé la chronique à El Jadida. Malgré la Constitution de juillet 2011 comportant de solides garanties des droits et des libertés, un commissaire de police se permet encore duser de méthodes appartenant aux années de plomb.
Les faits. Selon une plainte déposée par Noureddine Bentawa, titulaire de la CIN n° M224509, ce dernier a été appréhendé par deux policiers à la sortie dun hôtel. Après lui avoir demandé de les accompagner pour lauditionner au sujet dune plainte déposée contre lui, ils lauraient embarqué, sous la menace, sur une moto (scooter) jusquà la sortie de la ville où les attendait une voiture de police.
«Arrivés au centre de police à 3h 30 du matin, ils mont retiré les clés de ma voiture et mon téléphone. Vers 3h38 mn, mon téléphone a sonné, le policier ma demandé de répondre. Cétait le commissaire Siba», raconte le plaignant qui, dans une autre plainte déposée auprès du procureur général du Roi près la Cour dappel dEl Jadida, demande une protection juridique pour lui et sa famille, contre déventuels actes de vengeance de la part du commissaire en question ou de ses collaborateurs au service de la PJ. Il reconnaît avoir renoncé à toute poursuite judiciaire après avoir, toujours selon ses dires, fait lobjet de pression et de menaces de la part de Siba.
Le fait inédit, cependant, cest quun commissaire de police se permet de reconnaître, signature légalisée à lappui, ses abus et ses fautes professionnelles!
Quen disent le gouvernement Benkirane et le CNDH?

source: MAP