Les enquêteurs sont, récemment, parvenus à de nouveaux détails concernant le kidnapping des ressortissants étrangers en Algérie. Ils suspectent un groupe terroriste appartenant à Al-Qaida au Maghreb Islamique davoir mené cette opération de kidnapping. Ces derniers ont planifié la façon de procéder au kidnapping et tracé litinéraire à prendre après les avoir kidnappés et le moyen de contact entre les ravisseurs qui se sont scindés en deux groupes.
Une source bien informée a indiqué que lenquête préliminaire a révélé que les ravisseurs des otages occidentaux se sont infiltrés vers Tindouf via les régions de Hank et de lErg dIgdi, avant de se scinder en deux groupes, à 70 heures avant le kidnapping. Le premier groupe, cest-à-dire, le principal, était composé de 7 à 10 personnes armées déguisées en tenues de bédouins locaux. Ils se sont approchés du camp sous commandement dun terroriste mauritanien, bénéficiant dune expérience de plusieurs années dans le trafic. Quant au deuxième groupe, il a campé dans un site élevé au sud-ouest de la route wilayale, reliant entre les camps de Smara des réfugiés Sahraouis et le camp de Rabouni. Ce groupe a dissimulé ses voitures dans le sable du Sahara et surveillait la région à laide de moyens sophistiqués et des jumelles infrarouges trafiqués quil a pu sacquérir en Libye, actuellement entre les mains de lArmée.
Le deuxième groupe, était composé de 4 personnes armées et était chargé de guetter les déplacements de lArmée et les personnes armées de la République Sahraouie et dintervenir si cest nécessaire pour faciliter la fuite des ravisseurs.
Les deux groupes de ravisseurs se contactaient par des signaux lumineux et appels téléphoniques codés en Hassani, qui est une langue locale mauritanienne. Nos sources ont notamment révélé une panne dans le système dalarmes contre les opérations et attentats terroristes, installé et opérationnel dans le camp depuis 2010. Ce qui a retardé la mise en garde et lintervention de lArmée et services de sécurité par le kidnapping des ressortissants étrangers. Ce qui a facilité le kidnapping et lévacuation des ressortissants étrangers vers les frontières internationales entre lAlgérie et le Sahara occidental.
Une source bien informée a indiqué que lenquête préliminaire a révélé que les ravisseurs des otages occidentaux se sont infiltrés vers Tindouf via les régions de Hank et de lErg dIgdi, avant de se scinder en deux groupes, à 70 heures avant le kidnapping. Le premier groupe, cest-à-dire, le principal, était composé de 7 à 10 personnes armées déguisées en tenues de bédouins locaux. Ils se sont approchés du camp sous commandement dun terroriste mauritanien, bénéficiant dune expérience de plusieurs années dans le trafic. Quant au deuxième groupe, il a campé dans un site élevé au sud-ouest de la route wilayale, reliant entre les camps de Smara des réfugiés Sahraouis et le camp de Rabouni. Ce groupe a dissimulé ses voitures dans le sable du Sahara et surveillait la région à laide de moyens sophistiqués et des jumelles infrarouges trafiqués quil a pu sacquérir en Libye, actuellement entre les mains de lArmée.
Le deuxième groupe, était composé de 4 personnes armées et était chargé de guetter les déplacements de lArmée et les personnes armées de la République Sahraouie et dintervenir si cest nécessaire pour faciliter la fuite des ravisseurs.
Les deux groupes de ravisseurs se contactaient par des signaux lumineux et appels téléphoniques codés en Hassani, qui est une langue locale mauritanienne. Nos sources ont notamment révélé une panne dans le système dalarmes contre les opérations et attentats terroristes, installé et opérationnel dans le camp depuis 2010. Ce qui a retardé la mise en garde et lintervention de lArmée et services de sécurité par le kidnapping des ressortissants étrangers. Ce qui a facilité le kidnapping et lévacuation des ressortissants étrangers vers les frontières internationales entre lAlgérie et le Sahara occidental.