El Ouafa s'accroche

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Mohamed El Ouafa aura tenu tête à la direction de son parti jusqu’à la dernière minute. Alors que les cinq autres ministres finissaient de remettre leur démission au chef du gouvernement, le ministre de l’éducation nationale n’a pas voulu en faire autant. Le parti lui a accordé 24 heures pour s’exécuter. Faute de quoi, il risque l’exclusion. El Ouafa qui ne fait d’ailleurs pas partie du comité exécutif est, en fait, resté à l’écart depuis sa nomination, en 2000, ambassadeur en Inde. Son prédécesseur, Ahmed Akhchichine, étant dans la même situation en 2009, son parti, le PAM, passé à l’opposition, avait décidé de geler ses activités.

La Vie éco
 
Une nouvelle majorité pour le gouvernement va le jeter dehors, le PJD ne peut pas continuer à gouverner sans le PI en absence de remplaçant.

El Ouafa a été suspendu du PI et il sera exclu, et à la nouvelle formation de majorité il sera jeté.
 
Une nouvelle majorité pour le gouvernement va le jeter dehors, le PJD ne peut pas continuer à gouverner sans le PI en absence de remplaçant.

El Ouafa a été suspendu du PI et il sera exclu, et à la nouvelle formation de majorité il sera jeté.
El Ouafa a eu le courage d'initier plusieurs actions qui vont dans le bon sens ,l'on aura remarqué que cette année les enseignants se sont montrés plutôt calmes ,qu'il n-y-a pas eu de grève comme par le passé ,c'est plutôt une bonne chose.
Mr El Ouafa fait du bon travail ,si à l'occasion d'un remaniement ministériel il n'est pas reconduit, il aura eu le mérite au moins de tenir bon face à chabate sachant tout ce qu'il risquait en contrepartie.
 
El Ouafa a eu le courage d'initier plusieurs actions qui vont dans le bon sens ,l'on aura remarqué que cette année les enseignants se sont montrés plutôt calmes ,qu'il n-y-a pas eu de grève comme par le passé ,c'est plutôt une bonne chose.
Mr El Ouafa fait du bon travail ,si à l'occasion d'un remaniement ministériel il n'est pas reconduit, il aura eu le mérite au moins de tenir bon face à chabate sachant tout ce qu'il risquait en contrepartie.

IL a fait de bonnes choses, il faut l'avouer, mais ne tournons pas un type qui se bat pour un siège en un héro national.

Le type se bat pour sa pomme, et son ministère.
 
El Ouafa a eu le courage d'initier plusieurs actions qui vont dans le bon sens ,l'on aura remarqué que cette année les enseignants se sont montrés plutôt calmes ,qu'il n-y-a pas eu de grève comme par le passé ,c'est plutôt une bonne chose.
Mr El Ouafa fait du bon travail ,si à l'occasion d'un remaniement ministériel il n'est pas reconduit, il aura eu le mérite au moins de tenir bon face à chabate sachant tout ce qu'il risquait en contrepartie.
d'ailleurs , il ne s'accroche pas , mais il est en phase avec lui même .c'est un tenor istiqlalien ,il sait trés bien ce qu'il fait .c'est pour creer une crise au sein de ce hizb qu'il se raidit.

en phase avec lui même , vu ce qu'il a dit de Benkirane dés le debut .http://www.youtube.com/watch?v=bd3QI4p1AmI:
 
d'ailleurs , il ne s'accroche pas , mais il est en phase avec lui même .c'est un tenor istiqlalien ,il sait trés bien ce qu'il fait .c'est pour creer une crise au sein de ce hizb qu'il se raidit.

en phase avec lui même , vu ce qu'il a dit de Benkirane dés le debut .http://www.youtube.com/watch?v=bd3QI4p1AmI:
El Ouafa est avant tout un homme cultivé qui fait travailler sa jugeote ,un ancien professeur universitaire qui connait le domaine et se lamente de ce qu'il est advenu.Il est devenu un grand commis de l'état après un parcours aussi riche que celui de la diplomatie ,il n'a pas à se soucier de son avenir c'est pourquoi il tient bon face à chabate qui pour lui n'est que ce qu'il est.
:)
 
Une nouvelle majorité pour le gouvernement va le jeter dehors, le PJD ne peut pas continuer à gouverner sans le PI en absence de remplaçant.

El Ouafa a été suspendu du PI et il sera exclu, et à la nouvelle formation de majorité il sera jeté.
exactement, il n'aura plus de place dans la nouvelle formation du gouvernement
 
El Ouafa est avant tout un homme cultivé qui fait travailler sa jugeote ,un ancien professeur universitaire qui connait le domaine et se lamente de ce qu'il est advenu.Il est devenu un grand commis de l'état après un parcours aussi riche que celui de la diplomatie ,il n'a pas à se soucier de son avenir c'est pourquoi il tient bon face à chabate qui pour lui n'est que ce qu'il est.
:)
oui , je le connais bien et aussi sa petite famille . et c'est vrai que ce sont des gens integres .
franchement , les gens ont en marre de ce moussalsale à la turc de Chabat .

le probléme c'est que Benkirane va prendre tout son temps pour accepter les demissions .ce qui fait que le hizb ne pourra pas passer à l'opposition tout de suite comme il le souhaite .;)
 
A vos places, le spectacle commence​
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par Taoufiq Bouachrine (akhbar lyoume)

L’évènement n’est pas le retrait de l’Istiqlal du gouvernement et l’effondrement d’une majorité qui a perdu son homogénéité et sa cohésion depuis l’arrivée de Hamid Chabat au secrétariat général de l’Istiqlal en septembre 2012… non, à mon avis, l’évènement est le refus du Roi Mohammed VI de s’impliquer dans la crise de cette majorité et d’arbitrer le conflit entre Benkirane et Chabat ; l’évènement est la retenue du Roi, après mûre et longue réflexion, de recourir à l’article 42 de la constitution et de procéder à un arbitrage entre deux partis en délicatesse, puisque la Loi fondamentale confère au chef de l’Etat ce pouvoir d’arbitrage lors des grandes crises institutionnelles et non pour de petits conflits partisans.


C’est donc cela le véritable évènement à mon sens, nonobstant les calculs effectués par tous à cette phase où a été prise la décision. Et force est de constater que l’attitude royale n’aura pas satisfait le parti de l’Istiqlal, dont les dirigeants ont dû ressentir une certaine amertume, eux qui voulaient instrumentaliser l’influence du palais pour faire (ré)fléchir leur adversaire, même si cela devait tirer le Roi vers l’arrière, vers ces pratiques traditionnalistes que la constitution a essayé, jusqu’à une certaine limite, de réduire



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Or, on sait bien qu’en politique, il n’existe pas de cadeaux gratuits : tout le monde attend un retour de ses actions et prises de position, et tout le monde veut gagner quelque chose. Quel sera donc le prix à payer par Benkirane en échange de ce solide coup de main qui lui serait donné ? Et quel est le coût pour un gouvernement tel que le nôtre pour rester en place, à une époque où les autres gouvernements issus du printemps arabe s’effondrent, avec la bénédiction de l’Amérique et de ses alliés qui avaient pourtant donné leur chance aux islamistes, histoire de les tester ? Tout le monde sait à présent que Benkirane n’aura pas l’audace d’aller vers de nouvelles élections, anticipées, et donc qu’il entamera un long et éprouvant parcours de négociations… restez donc à l’écoute, ne vous éloignez pas de vos télés, le film vient de commencer, après le prélude…

http://www.panoramaroc.ma/fr/a-vos-places-le-spectacle-commence-par-taoufiq-bouachrine/
 
Salam,
El Ouafa est un politicien averti : il ne fait pas partie des rats qui abandonnent le navire Maroc en pleine tempête.
Par ailleurs, il pourrait rejoindre les rangs du PJD et faire partie des prochains gouvernements : rien n'est joué, d'autant plus que les backgrounds idéologiques et religieux sont les mêmes ....

Chabat mise sur l’échec du Maroc à relever le défi de la crise économique et œuvre à travers les sections syndicales à alimenter le mécontentement : le malheur des marocains ferait-il son bonheur ?

Personne n'oublie que le P.I a participé au creusement de la crise et qu'il n'a pas été capable par ailleurs durant des décennies à affronter la réalité économique ni imposer ou faire passer les nécessaires restructurations conséquentes à l'évolution du prix du brut : après la fuite en avant, la fuite tout court ...

Des technocrates ministrables, en pensant à Hassar, Benhima, Hassad comme des parlementaires de l'actuelle mouvance majoritaire et quelques autres pourraient rejoindre le PJD en vue d'une nouvelle majorité élargie pour de nouvelles élections ..........

P.S : La Terre ne s'arrêtera pas de tourner sans Chabat .......
Ma ti khroj men Jma3a ghair a taichan moussalat .....
 
Chabbat joue le rôle qu'on lui a demandé de jouer : paralyser Benkirane et avorter les projets de réformes et le pousser à la sortie.

Par conséquent, des nouvelles élections seront organisées et truquées car le "printemps arabe" est loin et ne représente aucun danger

Je ne suis pas sympathisant du PJD mais la sortie de Chabbat n'est pas innocente
 
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