Une domestique philippine attentionnée a été récompensée par sa richissime patronne singapourienne qui lui a légué une partie de sa fortune après 20 ans de bons et loyaux services, a rapporté mercredi un quotidien.
"Je suis la plus heureuse domestique à Singapour, avec ou sans l'argent", a déclaré la célibataire de 47 ans, présentée sous le pseudonyme de Christine, au Straits Times.
Elle est désormais à la tête d'une fortune estimée à six millions de dollars singapouriens (plus de quatre millions de dollars US), comprenant des placements et un appartement de luxe dans le centre de la ville-Etat.
Ce patrimoine lui a été légué par sa maîtresse, Quek Kai Miew, docteur et philanthrope, qui est décédée l'année dernière à 66 ans. "J'étais toujours à ses côtés. Je l'accompagnais partout", témoigne Christine, qui s'était également occupée de la mère de sa patronne. "Il n'y avait pas de secret entre nous. Je n'ai ainsi pas été surprise quand elle m'a annoncé, avant sa mort, que j'allais hériter".
L'employée, qui souhaite obtenir un permis de résidence permanent à Singapour, affirme que sa nouvelle fortune n'a pas bouleversé son mode de vie ni ses relations sociales. "Je ne pense pas trop à cet argent. Je vis comme avant, pas comme une personne riche", indique-t-elle.
Mais elle a pris la précaution de ne pas dévoiler son identité au journal, de peur d'être menacée ou victime d'un enlèvement avec rançon, comme cela arrive parfois dans son pays natal.
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"Quek Kai Miew, docteur et philanthrope" A mon avis il y en a pas 30 des docteur et philantrope qui s'appelle Quek Kai Miew, alors l'anonymat :moyen:
"Je suis la plus heureuse domestique à Singapour, avec ou sans l'argent", a déclaré la célibataire de 47 ans, présentée sous le pseudonyme de Christine, au Straits Times.
Elle est désormais à la tête d'une fortune estimée à six millions de dollars singapouriens (plus de quatre millions de dollars US), comprenant des placements et un appartement de luxe dans le centre de la ville-Etat.
Ce patrimoine lui a été légué par sa maîtresse, Quek Kai Miew, docteur et philanthrope, qui est décédée l'année dernière à 66 ans. "J'étais toujours à ses côtés. Je l'accompagnais partout", témoigne Christine, qui s'était également occupée de la mère de sa patronne. "Il n'y avait pas de secret entre nous. Je n'ai ainsi pas été surprise quand elle m'a annoncé, avant sa mort, que j'allais hériter".
L'employée, qui souhaite obtenir un permis de résidence permanent à Singapour, affirme que sa nouvelle fortune n'a pas bouleversé son mode de vie ni ses relations sociales. "Je ne pense pas trop à cet argent. Je vis comme avant, pas comme une personne riche", indique-t-elle.
Mais elle a pris la précaution de ne pas dévoiler son identité au journal, de peur d'être menacée ou victime d'un enlèvement avec rançon, comme cela arrive parfois dans son pays natal.
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"Quek Kai Miew, docteur et philanthrope" A mon avis il y en a pas 30 des docteur et philantrope qui s'appelle Quek Kai Miew, alors l'anonymat :moyen: