boptitprince
je ne suis qu'un prince..
Les sex tapes de Stevaert : plaintes à Bruxelles
(09/11/2011)
© REPORTERS
10 sex tapes qui ont fait du bruit
Retrouvez le témoignage de la call-girl dans votre Dh du jour
Latifa sexprime pour la première fois sur cette tentative dextorsion de 666.000
BRUXELLES La Bruxelloise de 32 ans accusée davoir exercé un chantage sexuel sur lancien président du SP.A Steve Stevaert a déposé plainte contre lui, hier, à Bruxelles, pour incitation à la débauche avec circonstance aggravante dabus de faiblesse, menaces de mort, dénonciation calomnieuse . Elle demande au juge dinstruction en charge de laffaire dêtre confrontée à Steve Stevaert.
Une autre plainte vise un ami proche de M. Stevaert, Me B., avocat daffaires au barreau de Bruxelles, que la plaignante accuse davoir manigancé, avec laide dune femme, sa rencontre avec lancien président des socialistes flamands. Contre lavocat, la Bruxelloise porte plainte pour incitation à la débauche et dénonciation calomnieuse.
Latifa (prénom demprunt, à sa demande) sexprime pour la première fois sur cette affaire concernant lancien politicien qui fut aussi gouverneur du Limbourg et bourgmestre de Hasselt.
Latifa confirme sa liaison en mars et avril 2011 avec lex-wonder boy du SP.A, qui lappelait Schatje (Trésor).
Elle prétend ne pas appartenir au milieu de la nuit, ne pas être call-girl, escort ou prostituée. Cest ce quelle dit.
Si elle a reçu des cadeaux, ses relations sexuelles avec le ministre dÉtat nétaient pas rémunérées, dit-elle.
Elle nie le chantage.
Dans lentretien, elle prétend que les sex tapes filmant le couple en action nont jamais existé. Ils se rencontraient chez elle ou dans les bureaux de Stevaert dans le quartier européen, pas à lhôtel ni à Hasselt.
Nous sommes en novembre et les prétendues sex tapes, dit-elle, à supposer quelles existent, la police les cherche depuis cinq mois.
LE Montant du chantage sur M. Stevaert navait jamais été cité : 666.000 : Oui, avec trois 6 : les chiffres du diable.
Latifa insiste quelle nétait pas rémunérée mais Steve Stevaert, dit-elle, cherchait à Bruxelles un endroit discret pour eux deux, lencourageait à acheter un appartement et, selon elle, avait parlé de se porter garant et de laider financièrement pour un montant qui chiffre.
Mais avec laffaire, cest tombé à leau. Doù cette réflexion : Si quelquun navait pas intérêt à ce chantage, cest bien moi.
Entre Stevaert et elle, dit-elle, les choses étaient claires : jamais il ne lépouserait. Steve Stevaert voulait faire de Latifa sa deuxième femme, sa maîtresse.
Laffaire éclate dans la presse en début dété, en plein dossier DSK. Cinq mois après, Latifa parle dun jeu de manipulations contre Stevaert, provenant de son entourage damis, un jeu sur fond dintérêts financiers dans lequel elle estime avoir été manipulée, utilisée.
Car pour piéger un homme comme M. Stevaert, il fallait une femme. Mais jai refusé de marcher.
Pour lanecdote, Latifa dit garder des sentiments pour Stevaert, quelle na plus revu.
Elle se dit aussi profondément désolée pour lépouse du ministre dÉtat limbourgeois, affirme penser beaucoup à elle.
Son avocat, Me Amrani, se refuse à tout commentaire.
Gilbert Dupont
(09/11/2011)
© REPORTERS
10 sex tapes qui ont fait du bruit
Retrouvez le témoignage de la call-girl dans votre Dh du jour
Latifa sexprime pour la première fois sur cette tentative dextorsion de 666.000
BRUXELLES La Bruxelloise de 32 ans accusée davoir exercé un chantage sexuel sur lancien président du SP.A Steve Stevaert a déposé plainte contre lui, hier, à Bruxelles, pour incitation à la débauche avec circonstance aggravante dabus de faiblesse, menaces de mort, dénonciation calomnieuse . Elle demande au juge dinstruction en charge de laffaire dêtre confrontée à Steve Stevaert.
Une autre plainte vise un ami proche de M. Stevaert, Me B., avocat daffaires au barreau de Bruxelles, que la plaignante accuse davoir manigancé, avec laide dune femme, sa rencontre avec lancien président des socialistes flamands. Contre lavocat, la Bruxelloise porte plainte pour incitation à la débauche et dénonciation calomnieuse.
Latifa (prénom demprunt, à sa demande) sexprime pour la première fois sur cette affaire concernant lancien politicien qui fut aussi gouverneur du Limbourg et bourgmestre de Hasselt.
Latifa confirme sa liaison en mars et avril 2011 avec lex-wonder boy du SP.A, qui lappelait Schatje (Trésor).
Elle prétend ne pas appartenir au milieu de la nuit, ne pas être call-girl, escort ou prostituée. Cest ce quelle dit.
Si elle a reçu des cadeaux, ses relations sexuelles avec le ministre dÉtat nétaient pas rémunérées, dit-elle.
Elle nie le chantage.
Dans lentretien, elle prétend que les sex tapes filmant le couple en action nont jamais existé. Ils se rencontraient chez elle ou dans les bureaux de Stevaert dans le quartier européen, pas à lhôtel ni à Hasselt.
Nous sommes en novembre et les prétendues sex tapes, dit-elle, à supposer quelles existent, la police les cherche depuis cinq mois.
LE Montant du chantage sur M. Stevaert navait jamais été cité : 666.000 : Oui, avec trois 6 : les chiffres du diable.
Latifa insiste quelle nétait pas rémunérée mais Steve Stevaert, dit-elle, cherchait à Bruxelles un endroit discret pour eux deux, lencourageait à acheter un appartement et, selon elle, avait parlé de se porter garant et de laider financièrement pour un montant qui chiffre.
Mais avec laffaire, cest tombé à leau. Doù cette réflexion : Si quelquun navait pas intérêt à ce chantage, cest bien moi.
Entre Stevaert et elle, dit-elle, les choses étaient claires : jamais il ne lépouserait. Steve Stevaert voulait faire de Latifa sa deuxième femme, sa maîtresse.
Laffaire éclate dans la presse en début dété, en plein dossier DSK. Cinq mois après, Latifa parle dun jeu de manipulations contre Stevaert, provenant de son entourage damis, un jeu sur fond dintérêts financiers dans lequel elle estime avoir été manipulée, utilisée.
Car pour piéger un homme comme M. Stevaert, il fallait une femme. Mais jai refusé de marcher.
Pour lanecdote, Latifa dit garder des sentiments pour Stevaert, quelle na plus revu.
Elle se dit aussi profondément désolée pour lépouse du ministre dÉtat limbourgeois, affirme penser beaucoup à elle.
Son avocat, Me Amrani, se refuse à tout commentaire.
Gilbert Dupont