Elle se suicide à cause de ses orgasmes incontrôlables

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Wakilmalik
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C'est une maladie extrêmement rare. Le syndrome d'excitation génitale persistante (SEGP) reste en effet un mystère pour la grande majorité des scientifiques. Touchant les femmes, cette maladie amène une vive excitation au niveau des parties intimes quel que soit le contexte. Rien ne peut soulager ces orgasmes à répétition qui peuvent durer des heures voire des jours, ni même l'activité sexuelle. Cette maladie serait due à un dysfonctionnement nerveux et n'aurait rien à voir avec la nymphomanie, qui est la recherche permanente du plaisir sexuel.

Victime de la SEGP depuis l'âge de 23 ans, Gretchen Molannen a essayé de faire comprendre sa maladie au Tampa Bay Times. Elle a expliqué que sa vie était un cauchemar. Identifié dix ans auparavant, le syndrome avait contraint la femme à quitter son travail de traductrice. Croyant au départ à un simple dérèglement hormonal, elle a raconté avoir ressenti "près de 50 orgasmes". La maladie devenait alors incompatible avec son emploi car elle était obligée de s'isoler plusieurs fois par jour pendant des heures. "C’est comme un bouton qu’on voudrait mettre sur off, mais qui ne répond pas. Quand l’excitation arrive, elle est incontrôlable. Je suis en sueur, mon cœur bat à tout rompre, chaque centimètre de mon corps me fait mal. Je panique, j’ai peur de mourir et puis je m’effondre sur le sol et éclate en sanglots", a témoigné Gretchen Molannen.

http://www.atlantico.fr/atlantico-light/elle-se-suicide-cause-orgasmes-incontrolables-569951.html

Après la perte de son emploi, elle a fait une demande de pension d'invalidité qui lui a été refusée, sa maladie n'étant pas reconnue. Sans aucun moyen de se soigner, elle a décidé de se suicider le lendemain de son interview avec le Tampa Bay Times. Il existerait des milliers de femmes à souffrir de la SEGP dans le monde.
 
Dans la section santé et bien être cette histoire aurait eu toute sa place...

ya un toubib le doc waldinger en angleterre qui avait opéré 2 femmes qui avait cette maladie et apparemment ça a marché...

Restless Genital Syndrome, treatment by Dr. M. Waldinger - About
www.restlessgenitalsyndrome.com/.../waldinger-e... -

Dr. Waldinger. Prof. dr. Marcel D. Waldinger (MD, PhD) is a neuropsychiatrist and Professor in Sexual Psychopharmacology at the Division of Pharmacology of ...
 
C'est une maladie extrêmement rare. Le syndrome d'excitation génitale persistante (SEGP) reste en effet un mystère pour la grande majorité des scientifiques. Touchant les femmes, cette maladie amène une vive excitation au niveau des parties intimes quel que soit le contexte. Rien ne peut soulager ces orgasmes à répétition qui peuvent durer des heures voire des jours, ni même l'activité sexuelle. Cette maladie serait due à un dysfonctionnement nerveux et n'aurait rien à voir avec la nymphomanie, qui est la recherche permanente du plaisir sexuel.

Victime de la SEGP depuis l'âge de 23 ans, Gretchen Molannen a essayé de faire comprendre sa maladie au Tampa Bay Times. Elle a expliqué que sa vie était un cauchemar. Identifié dix ans auparavant, le syndrome avait contraint la femme à quitter son travail de traductrice. Croyant au départ à un simple dérèglement hormonal, elle a raconté avoir ressenti "près de 50 orgasmes". La maladie devenait alors incompatible avec son emploi car elle était obligée de s'isoler plusieurs fois par jour pendant des heures. "C’est comme un bouton qu’on voudrait mettre sur off, mais qui ne répond pas. Quand l’excitation arrive, elle est incontrôlable. Je suis en sueur, mon cœur bat à tout rompre, chaque centimètre de mon corps me fait mal. Je panique, j’ai peur de mourir et puis je m’effondre sur le sol et éclate en sanglots", a témoigné Gretchen Molannen.

http://www.atlantico.fr/atlantico-light/elle-se-suicide-cause-orgasmes-incontrolables-569951.html

Après la perte de son emploi, elle a fait une demande de pension d'invalidité qui lui a été refusée, sa maladie n'étant pas reconnue. Sans aucun moyen de se soigner, elle a décidé de se suicider le lendemain de son interview avec le Tampa Bay Times. Il existerait des milliers de femmes à souffrir de la SEGP dans le monde.

Oh meskina :-(

Allah i R7am8a... la détresse dans laquelle elle devait être....
 
La SEGP est une vraie maladie qui se traduit par un dysfonctionnement nerveux (névralgie pudendale)...on ne parle pas de nymphomanie ou de satyriasis (pour un homme) qui relève de troubles psychologiques.

Chaque cas est unique, et puis parfois la guerison vient seule
 
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