salam
Design épuré, absence d'annonces publicitaires, pseudonymes et listes de contacts distinguant les "amis" et "le bruit", les autres... Ello sort l'artillerie lourde face à Facebook.
"Simple, beau et sans publicité", le slogan place d'emblée Ello, lancé en mars, dans une autre dimension. Alors que Facebook et Twitter cherchent à monétiser au maximum les profils des utilisateurs et que Snapchat et Instagram travaillent à l'introduction de la publicité, Ello nage à contre-courant.
"Votre réseau social est possédé par les publicitaires. (...) Les publicitaires achètent vos données pour vous montrer plus de publicités. Vous êtes le produit qui est acheté et vendu". Dès la page d'accueil, Ello ne laisse aucun doute : ici, pas question de faire comme les autres. En quelques jours, le site est devenu le nouvel objet de curiosité de tous les blogueurs américains.
"Créer la vie" sans tout révéler de soi
Ello est bien un réseau social : les utilisateurs y possèdent un profil, se connectent avec d'autres personnes et partagent des images et leurs pensées. Mais, au contraire des mastodontes du secteur, les pseudonymes y sont tout à fait autorisés et les profils complètement ouverts.
Son créateur, l'écrivain, créateur de jouets et constructeur de vélo Paul Budnitz, a voulu qu'Ello soit "une place pour se connecter, créer et célébrer la vie". Avec son design très simple, Ello permet de suivre les publications des autres utilisateurs comme sur une timeline classique semblable à Twitter. Par contre, tous les profils sont ouverts, ce qui signifie qu'il n'y a aucun critère de confidentialité. L'inscription se fait sur invitation seulement.
Succès fulgurant
En moins de six mois, la popularité du nouveau réseau social a explosé. 31.000 personnes par heure demandaient à être invité la semaine dernière. La demande d'inscription provenant de marques qui veulent y créer un profil est également très forte.
Ello refuse catégoriquement la publicité, et a promis à Beta Beast qu'il n'y en aura jamais. La création d'un profil n'est pas non plus payante. Ce qui n'a pas empêché la start-up de lever 435.000 dollars (343.000 euros) en mars dernier. Le fondateur de Ello a expliqué à Endgadget que son équipe réfléchissait à la possibilité de proposer des options payantes. Pour l'instant, Ello, toujours en version béta, fonctionne grâce aux dons.
http://www.rtl.fr/culture/web-high-tech/ello-nouveau-concurrent-anti-pub-de-facebook-7774566683
Design épuré, absence d'annonces publicitaires, pseudonymes et listes de contacts distinguant les "amis" et "le bruit", les autres... Ello sort l'artillerie lourde face à Facebook.
"Simple, beau et sans publicité", le slogan place d'emblée Ello, lancé en mars, dans une autre dimension. Alors que Facebook et Twitter cherchent à monétiser au maximum les profils des utilisateurs et que Snapchat et Instagram travaillent à l'introduction de la publicité, Ello nage à contre-courant.
"Votre réseau social est possédé par les publicitaires. (...) Les publicitaires achètent vos données pour vous montrer plus de publicités. Vous êtes le produit qui est acheté et vendu". Dès la page d'accueil, Ello ne laisse aucun doute : ici, pas question de faire comme les autres. En quelques jours, le site est devenu le nouvel objet de curiosité de tous les blogueurs américains.
"Créer la vie" sans tout révéler de soi
Ello est bien un réseau social : les utilisateurs y possèdent un profil, se connectent avec d'autres personnes et partagent des images et leurs pensées. Mais, au contraire des mastodontes du secteur, les pseudonymes y sont tout à fait autorisés et les profils complètement ouverts.
Son créateur, l'écrivain, créateur de jouets et constructeur de vélo Paul Budnitz, a voulu qu'Ello soit "une place pour se connecter, créer et célébrer la vie". Avec son design très simple, Ello permet de suivre les publications des autres utilisateurs comme sur une timeline classique semblable à Twitter. Par contre, tous les profils sont ouverts, ce qui signifie qu'il n'y a aucun critère de confidentialité. L'inscription se fait sur invitation seulement.
Succès fulgurant
En moins de six mois, la popularité du nouveau réseau social a explosé. 31.000 personnes par heure demandaient à être invité la semaine dernière. La demande d'inscription provenant de marques qui veulent y créer un profil est également très forte.
Ello refuse catégoriquement la publicité, et a promis à Beta Beast qu'il n'y en aura jamais. La création d'un profil n'est pas non plus payante. Ce qui n'a pas empêché la start-up de lever 435.000 dollars (343.000 euros) en mars dernier. Le fondateur de Ello a expliqué à Endgadget que son équipe réfléchissait à la possibilité de proposer des options payantes. Pour l'instant, Ello, toujours en version béta, fonctionne grâce aux dons.
http://www.rtl.fr/culture/web-high-tech/ello-nouveau-concurrent-anti-pub-de-facebook-7774566683