Pour la clarté des débats et ne pas favoriser le jeu des va-t- en guerre entre pays frères, il convient de rappeler que rien n’est spontané en Algérie, tenue en mains par les services de sécurité.
L’opinion publique internationale est persuadée qu’en 1988 des jeunes sont descendus spontanément dans la rue pour exiger plus de démocratie. Le Président de l’époque, Chadli BENJEDID dans une interview accordée cette année à une revue suisse a été clair. Ayant pris la décision de changer l’orientation du régime communiste légué par BOUMEDIENE il l’avait annoncé et entamé l’ouverture. Les opposants, nomenklatura et bénéficiaires de privilèges , pour l’en dissuader organisèrent des manifestations, sous la conduite de meneurs
stratèges formés à l'Etat Major soviétique, expert en coups d'état.
Par la suite, il y eu d’autres « émeutes » qui furent la conséquence de l’attaque de l’Irak.
CHADLI ayant échappé au mouvement « insurrectionnel » de 88 avait introduit le multipartisme Le FIS dont la direction était infiltrée par les services n’était qu’un des dizaines de partis autorisés et infiltrés par les services. L’attaque de l’IRAK permit aux islamistes de mobiliser la quasi-totalité des Algériens qui défilèrent en masse dans la rue, non pour réclamer leurs droits mais des armes pour aller se battre.- déclaration de Ali BENHADJ-
Les derniers soubresauts en Tunisie et en Algérie relèvent des mêmes experts en coups d’Etat.
Les chefs des armées algérienne et tunisenne, dans le but de réduire l’influence des Français en Afrique – problème du POLISARIO toujours pendant, SAHEL devenue zone stratégique très convoitée, Côte d’Ivoire menacée d’appartenir au clan des amis du Roy fransaoui- ont décidé de remercier BEN ALI favorable à l’ancienne puissance coloniale. Guettant l’incident propice ils rééditèrent le scénario employé en Algérie en 1988. Jeunes provoqués et encouragés à manifester, avec des policiers pour encadrer la foule et mettre le feu à des immeubles dont la liste était programmée. Une fois le processus engagé, il ne resta aux comploteurs qu’à organiser des protestations, à moindre échelle en Algérie ,pour encourager les Tunisiens.
Le Gouvernement français, qui du temps de CHADLI avait en le Général BELKHEIR un homme sur place, a cette fois,comme l'a avoué notre Ministre des AE était dépassé. Ce que MAM ne précise pas, cest que notre allié américain, à qui rien n'échappe dans la région ne nous a pas pas prévenus.
L’opinion publique internationale est persuadée qu’en 1988 des jeunes sont descendus spontanément dans la rue pour exiger plus de démocratie. Le Président de l’époque, Chadli BENJEDID dans une interview accordée cette année à une revue suisse a été clair. Ayant pris la décision de changer l’orientation du régime communiste légué par BOUMEDIENE il l’avait annoncé et entamé l’ouverture. Les opposants, nomenklatura et bénéficiaires de privilèges , pour l’en dissuader organisèrent des manifestations, sous la conduite de meneurs
stratèges formés à l'Etat Major soviétique, expert en coups d'état.
Par la suite, il y eu d’autres « émeutes » qui furent la conséquence de l’attaque de l’Irak.
CHADLI ayant échappé au mouvement « insurrectionnel » de 88 avait introduit le multipartisme Le FIS dont la direction était infiltrée par les services n’était qu’un des dizaines de partis autorisés et infiltrés par les services. L’attaque de l’IRAK permit aux islamistes de mobiliser la quasi-totalité des Algériens qui défilèrent en masse dans la rue, non pour réclamer leurs droits mais des armes pour aller se battre.- déclaration de Ali BENHADJ-
Les derniers soubresauts en Tunisie et en Algérie relèvent des mêmes experts en coups d’Etat.
Les chefs des armées algérienne et tunisenne, dans le but de réduire l’influence des Français en Afrique – problème du POLISARIO toujours pendant, SAHEL devenue zone stratégique très convoitée, Côte d’Ivoire menacée d’appartenir au clan des amis du Roy fransaoui- ont décidé de remercier BEN ALI favorable à l’ancienne puissance coloniale. Guettant l’incident propice ils rééditèrent le scénario employé en Algérie en 1988. Jeunes provoqués et encouragés à manifester, avec des policiers pour encadrer la foule et mettre le feu à des immeubles dont la liste était programmée. Une fois le processus engagé, il ne resta aux comploteurs qu’à organiser des protestations, à moindre échelle en Algérie ,pour encourager les Tunisiens.
Le Gouvernement français, qui du temps de CHADLI avait en le Général BELKHEIR un homme sur place, a cette fois,comme l'a avoué notre Ministre des AE était dépassé. Ce que MAM ne précise pas, cest que notre allié américain, à qui rien n'échappe dans la région ne nous a pas pas prévenus.