De mon amour est né,
L'illusion de ma vie,
Et depuis s'est installé,
Le fléau de mes Nuits.
Comme un son de cloche,
mon mal-être résonne,
et c'est éclairé d'une torche,
que mon âme m'abondonne.
Dans le fil de mes nuits,
s'exprime ma detresse,
révoltés par l'ignominie
et par autant d'étroitesse
Alors quand l'aube surgit,
c'est dans un profond sommeil,
que j'installe mon âme qui fuit,
fatiguée par de lourdes insomnies.
Lorsque que les voies de Morphée,
s'ouvrent a moi comme un trophée,
je me rend compte de ma vie,
et c'est de "mort" dont il s'agit.
Precipité dans l'abîme,
mon âme se refugie,
des démons de ma vie,
pour une brève euthanasie.
C'est perdu dans les parois,
que ce produit le desarroi,
pour constater l'inconscience,
dans laquelle vit mon ignorance.
Déchu de mes jours et de mes nuits,
j'attend mon heure à une corde,
esperant un signe de "LUI"
Pour que descende enfin " SA MISERICORDE"
L'illusion de ma vie,
Et depuis s'est installé,
Le fléau de mes Nuits.
Comme un son de cloche,
mon mal-être résonne,
et c'est éclairé d'une torche,
que mon âme m'abondonne.
Dans le fil de mes nuits,
s'exprime ma detresse,
révoltés par l'ignominie
et par autant d'étroitesse
Alors quand l'aube surgit,
c'est dans un profond sommeil,
que j'installe mon âme qui fuit,
fatiguée par de lourdes insomnies.
Lorsque que les voies de Morphée,
s'ouvrent a moi comme un trophée,
je me rend compte de ma vie,
et c'est de "mort" dont il s'agit.
Precipité dans l'abîme,
mon âme se refugie,
des démons de ma vie,
pour une brève euthanasie.
C'est perdu dans les parois,
que ce produit le desarroi,
pour constater l'inconscience,
dans laquelle vit mon ignorance.
Déchu de mes jours et de mes nuits,
j'attend mon heure à une corde,
esperant un signe de "LUI"
Pour que descende enfin " SA MISERICORDE"