Amine
En mode pause
Le ministre de la Sante a décidé de mettre un coup de frein aux césariennes de convenance. Certaines maternités seront bientôt soumises à une entente préalable des caisses dassurance maladie. En clair, des médecins conseils de la sécu seront charges de vérifier, au cas par cas, la pertinence médicale de ces interventions. Cest une étude de la fédération hospitalière qui a mis le feu aux poudres. Selon cet organisme qui représente les hôpitaux public, les césariennes ont double en vingt cinq ans, passant de 10,9% des naissances à 20,1%. Une hausse qui ne serait pas médicalement justifiée estime la FHF.
Une peu embarrassées, les organisations de gynécologues obstétriciens rappellent les recommandations de bonne pratique qui visent à limiter les césariennes. Mais la multiplication des grossesses tardives, la volonté de ne pas prendre de risque et de prémunir contre des procès, la demande des parents sont aussi évoquées pour expliquer ce phénomène. De son cote, la fédération hospitalière prive se défend en affirmant que les cliniques nont aucun intérêt financier a pratiquer des césariennes, une intervention sous rémunère.
Une peu embarrassées, les organisations de gynécologues obstétriciens rappellent les recommandations de bonne pratique qui visent à limiter les césariennes. Mais la multiplication des grossesses tardives, la volonté de ne pas prendre de risque et de prémunir contre des procès, la demande des parents sont aussi évoquées pour expliquer ce phénomène. De son cote, la fédération hospitalière prive se défend en affirmant que les cliniques nont aucun intérêt financier a pratiquer des césariennes, une intervention sous rémunère.