Après plus de 40 ans, « Exilé du Néant » est là.
Le hasard a bien organisé la rencontre dans une ambiance festive, de la rencontre est né une discussion inspirée par un poète. Un petit récital s'est organisé et les poèmes fusent au bonheur des présents. L'oreille attentive, l'expérience aidant, le poète salue son semblable et le félicite. Il insiste même que ces poèmes voient le jour après presque un demi siècle au fond d'un placard.
Les deux poètes se serrent la main sur une promesse qu'un recueil de poésie naîtra sous peu. Promesse tenue, voici le jour arrivé et " Exilé du Néant" est là. On peut le lire, le toucher, le feuilleter et l'apprécier. Ne dit-on pas, que le hasard fait bien les choses!
Témoin de ce qui sest passé, Je vous propose aujourdhui cet entretien que j'ai eu avec l'auteur de ce recueil, qui est BOUSSAD MENDJEL.
Ahcène Mariche : Avant tout, qui est Mr. Boussad MENDJEL?
Boussad MENDJEL : Un citoyen, né dans le village Igounane commune de Tizi-Rached, wilaya de Tizi-Ouzou. J'ai 61ans, marié, père de 6 enfants et grand-père de 03 autres.
Ahcène Mariche : Comment a commencé votre histoire avec les rimes?
Boussad MENDJEL : Mon histoire avec la poésie est simple: peut-etre mon "MOI", est doté d'un outil pour cet usage.
Ahcène Mariche : Votre architecture en construction mécanique, n'a-t-elle pas influé sur l'architecture de vos poèmes?
Boussad MENDJEL : Mon métier de constructeur mécanique, m'aide certes beaucoup à rechercher la compréhension des choses; mais la poésie est tout autre!
Ahcène Mariche : Quels sont les poètes qui vous ont inspirés le plus dans votre enfance?
Boussad MENDJEL : Les poètes qui m'ont inspirés dans l'enfance sont:
En berbère: Si Mohand u Mhand , Slimane AZEM
En français: Voltaire, Victor Hugo, Corneille, LaFontaine, Lamartine et autres.
Ahcène Mariche : La chanson d'avant, n'est-elle pas pour quelque chose dans le réveil de votre don?
Boussad MENDJEL : Chaque génération porte en elle le vécu de son temps. La chanson d'avant m'aide à asseoir mes visions. Et bien sûr m'aide!
Ahcène Mariche : Vous venez d'éditer un recueil de poésie sous le titre " Exilé du Néant "; pourquoi ce titre?
Boussad MENDJEL : Il est pour moi, celui qui interpelle à poser la question: "Qui est Moi?". Parce que chacun de nous ne comprend pas sa venue sur terre et son retour sous-terre.
Ahcène Mariche : Quels sont les sujets que vous avez traités? Et combien de poèmes que contient ce recueil?
Boussad MENDJEL : Un poète ne travail jamais sur sujets et n'est jamais comptable.
Ahcène Mariche : On remarque aussi, que votre recueil contient des maximes, dont vous êtes aussi l'auteur. Pouvez-vous nous en parler de vos maximes?
Boussad MENDJEL : Les maximes sont les outils de clairvoyance nécessaires, j'espère qu'elles trouveront bon usage.
Ahcène Mariche : Vos poèmes et maximes ont attendus longtemps dans le noir, plus de 44 ans! Comment les voyez-vous dans ce recueil?
Boussad MENDJEL : S'ils ont un grand retard dans leur édition, c'est parce que tout est propriété du destin.
Ahcène Mariche : Dans quel genre de poésie s'inscrit votre poésie?
Boussad MENDJEL : Un poète quand il écrit, ne cherche place où se garer.
Ahcène Mariche : En plus de la poésie et les maximes dans la langue de Voltaire, vous écrivez aussi dans la langue de Mohand Ouamhand Pouvez-vous nous donner plus de détails sur cette dernière?
Boussad MENDJEL : Mes premiers poèmes sont faits en berbère langue de mon "Etre"; puis aussi, en langue Algérienne d'origine Française, langue appréciée pour son savoir.
Ahcène Mariche : La chanson d'aujourd'hui souffre vraiment de la mauvaise qualité de textes, pourtant il y a vraiment des poètes de talent. Comment expliquez-vous cela?
Boussad MENDJEL : A cette question je réponds: " qui tire sans avoir, manque de savoir "et "qui veut aller loin, entreprend un bon chemin".
Ahcène Mariche : Votre viatique est certainement riche, vu le nombre d'années que vous avez passé à écrire? Que contient-il vraiment?
Boussad MENDJEL : Un poète est lui-même viatique, il est "propriété du mystère". Laissant les choses en elles- mêmes
Ahcène Mariche : Pouvez-vous nous en parler de vos projets?
Boussad MENDJEL : Le moment n'est pas venu pour parler de mes projets. Qui ne voit loin reste dans son coin.
Ahcène Mariche : Quel est votre dernier mot?
Boussad MENDJEL : Que naisse patrie " UNIVERS ".
Entretien réalisé par Ahcène MARICHE
Le hasard a bien organisé la rencontre dans une ambiance festive, de la rencontre est né une discussion inspirée par un poète. Un petit récital s'est organisé et les poèmes fusent au bonheur des présents. L'oreille attentive, l'expérience aidant, le poète salue son semblable et le félicite. Il insiste même que ces poèmes voient le jour après presque un demi siècle au fond d'un placard.
Les deux poètes se serrent la main sur une promesse qu'un recueil de poésie naîtra sous peu. Promesse tenue, voici le jour arrivé et " Exilé du Néant" est là. On peut le lire, le toucher, le feuilleter et l'apprécier. Ne dit-on pas, que le hasard fait bien les choses!
Témoin de ce qui sest passé, Je vous propose aujourdhui cet entretien que j'ai eu avec l'auteur de ce recueil, qui est BOUSSAD MENDJEL.
Ahcène Mariche : Avant tout, qui est Mr. Boussad MENDJEL?
Boussad MENDJEL : Un citoyen, né dans le village Igounane commune de Tizi-Rached, wilaya de Tizi-Ouzou. J'ai 61ans, marié, père de 6 enfants et grand-père de 03 autres.
Ahcène Mariche : Comment a commencé votre histoire avec les rimes?
Boussad MENDJEL : Mon histoire avec la poésie est simple: peut-etre mon "MOI", est doté d'un outil pour cet usage.
Ahcène Mariche : Votre architecture en construction mécanique, n'a-t-elle pas influé sur l'architecture de vos poèmes?
Boussad MENDJEL : Mon métier de constructeur mécanique, m'aide certes beaucoup à rechercher la compréhension des choses; mais la poésie est tout autre!
Ahcène Mariche : Quels sont les poètes qui vous ont inspirés le plus dans votre enfance?
Boussad MENDJEL : Les poètes qui m'ont inspirés dans l'enfance sont:
En berbère: Si Mohand u Mhand , Slimane AZEM
En français: Voltaire, Victor Hugo, Corneille, LaFontaine, Lamartine et autres.
Ahcène Mariche : La chanson d'avant, n'est-elle pas pour quelque chose dans le réveil de votre don?
Boussad MENDJEL : Chaque génération porte en elle le vécu de son temps. La chanson d'avant m'aide à asseoir mes visions. Et bien sûr m'aide!
Ahcène Mariche : Vous venez d'éditer un recueil de poésie sous le titre " Exilé du Néant "; pourquoi ce titre?
Boussad MENDJEL : Il est pour moi, celui qui interpelle à poser la question: "Qui est Moi?". Parce que chacun de nous ne comprend pas sa venue sur terre et son retour sous-terre.
Ahcène Mariche : Quels sont les sujets que vous avez traités? Et combien de poèmes que contient ce recueil?
Boussad MENDJEL : Un poète ne travail jamais sur sujets et n'est jamais comptable.
Ahcène Mariche : On remarque aussi, que votre recueil contient des maximes, dont vous êtes aussi l'auteur. Pouvez-vous nous en parler de vos maximes?
Boussad MENDJEL : Les maximes sont les outils de clairvoyance nécessaires, j'espère qu'elles trouveront bon usage.
Ahcène Mariche : Vos poèmes et maximes ont attendus longtemps dans le noir, plus de 44 ans! Comment les voyez-vous dans ce recueil?
Boussad MENDJEL : S'ils ont un grand retard dans leur édition, c'est parce que tout est propriété du destin.
Ahcène Mariche : Dans quel genre de poésie s'inscrit votre poésie?
Boussad MENDJEL : Un poète quand il écrit, ne cherche place où se garer.
Ahcène Mariche : En plus de la poésie et les maximes dans la langue de Voltaire, vous écrivez aussi dans la langue de Mohand Ouamhand Pouvez-vous nous donner plus de détails sur cette dernière?
Boussad MENDJEL : Mes premiers poèmes sont faits en berbère langue de mon "Etre"; puis aussi, en langue Algérienne d'origine Française, langue appréciée pour son savoir.
Ahcène Mariche : La chanson d'aujourd'hui souffre vraiment de la mauvaise qualité de textes, pourtant il y a vraiment des poètes de talent. Comment expliquez-vous cela?
Boussad MENDJEL : A cette question je réponds: " qui tire sans avoir, manque de savoir "et "qui veut aller loin, entreprend un bon chemin".
Ahcène Mariche : Votre viatique est certainement riche, vu le nombre d'années que vous avez passé à écrire? Que contient-il vraiment?
Boussad MENDJEL : Un poète est lui-même viatique, il est "propriété du mystère". Laissant les choses en elles- mêmes
Ahcène Mariche : Pouvez-vous nous en parler de vos projets?
Boussad MENDJEL : Le moment n'est pas venu pour parler de mes projets. Qui ne voit loin reste dans son coin.
Ahcène Mariche : Quel est votre dernier mot?
Boussad MENDJEL : Que naisse patrie " UNIVERS ".
Entretien réalisé par Ahcène MARICHE