Le militant anti-chasse baleinière Paul Watson est arrivé en France vendredi, après avoir passé cinq mois en détention au Groenland à la suite d'une demande d'extradition déposée par le Japon. Il a donné une interview exclusive sur le plateau de France 24 samedi soir, revenant sur son intention de devenir un citoyen français. "La France a une longue histoire de préservation des mers, j'aimerais y être associé" a-t-il déclaré.
Après cinq mois de détention au Groenland, l'activiste Paul Watson est arrivé en France vendredi 20 décembre. Le citoyen canado-américain de 74 ans, qui militait contre la chasse baleinière, avait été libéré mardi, à la suite d'une demande d'extradition déposée par le Japon. Depuis le début de sa détention, une grande campagne médiatisée avait été organisée en sa faveur.
Sur le plateau de France 24, Paul Watson est revenu sur le "soutien extraordinaire" qu'il avait reçu au cours de sa détention, ajoutant qu'on lui avait envoyé "plus de 4 000 lettres" durant ces cinq mois passés au Groenland. Il a confié que le plus important pour lui avait été "cette expression d'une solidarité contre l'industrie baleinière".
Revenant sur sa détention, le fondateur de Sea Shepherd a dénoncé une persécution politique : on était des lanceurs d'alerte et la réponse du Japon a été de me chasser par tous les moyens possibles".
Fervent défenseur des mers, qui s'est dit "toujours prêt à risquer [sa] vie pour les océans parce que ça en vaut la peine", Paul Watson a également affirmé son attachement à la France et son intention d'obtenir la citoyenneté française : "la France a une longue histoire de préservation des mers, j'aimerais y être associé" a-t-il affirmé.
Le président français, Emmanuel Macron, avait fait pression sur les autorités danoises pour qu'elles n'extradent pas Paul Watson, qui a demandé la nationalité française.
"Nous allons mettre un terme à la chasse baleinière dans le monde, d'une manière ou d'une autre", a déclaré, samedi, Paul Watson lors d'un point presse place de la République à Paris, quelques jours après avoir retrouvé la liberté.
"Nous allons continuer nos missions. On s'opposera à la chasse baleinière de l'Islande et, si le Japon tente de retourner dans le sanctuaire baleinier antarctique, nous serons là", a-t-il déclaré aux médias en marge d'un événement organisé place de la République pour célébrer sa libération, ajoutant qu'il souhaitait "mettre un terme à la chasse baleinière dans le monde, d'une manière ou d'une autre".
"Il faut qu'on apprenne à vivre en harmonie avec toutes les espèces qui partagent le monde avec nous", a affirmé le militant américano-canadien.
Après cinq mois de détention au Groenland, l'activiste Paul Watson est arrivé en France vendredi 20 décembre. Le citoyen canado-américain de 74 ans, qui militait contre la chasse baleinière, avait été libéré mardi, à la suite d'une demande d'extradition déposée par le Japon. Depuis le début de sa détention, une grande campagne médiatisée avait été organisée en sa faveur.
Sur le plateau de France 24, Paul Watson est revenu sur le "soutien extraordinaire" qu'il avait reçu au cours de sa détention, ajoutant qu'on lui avait envoyé "plus de 4 000 lettres" durant ces cinq mois passés au Groenland. Il a confié que le plus important pour lui avait été "cette expression d'une solidarité contre l'industrie baleinière".
Revenant sur sa détention, le fondateur de Sea Shepherd a dénoncé une persécution politique : on était des lanceurs d'alerte et la réponse du Japon a été de me chasser par tous les moyens possibles".
Fervent défenseur des mers, qui s'est dit "toujours prêt à risquer [sa] vie pour les océans parce que ça en vaut la peine", Paul Watson a également affirmé son attachement à la France et son intention d'obtenir la citoyenneté française : "la France a une longue histoire de préservation des mers, j'aimerais y être associé" a-t-il affirmé.
Le président français, Emmanuel Macron, avait fait pression sur les autorités danoises pour qu'elles n'extradent pas Paul Watson, qui a demandé la nationalité française.
"Nous allons mettre un terme à la chasse baleinière dans le monde, d'une manière ou d'une autre", a déclaré, samedi, Paul Watson lors d'un point presse place de la République à Paris, quelques jours après avoir retrouvé la liberté.
"Nous allons continuer nos missions. On s'opposera à la chasse baleinière de l'Islande et, si le Japon tente de retourner dans le sanctuaire baleinier antarctique, nous serons là", a-t-il déclaré aux médias en marge d'un événement organisé place de la République pour célébrer sa libération, ajoutant qu'il souhaitait "mettre un terme à la chasse baleinière dans le monde, d'une manière ou d'une autre".
"Il faut qu'on apprenne à vivre en harmonie avec toutes les espèces qui partagent le monde avec nous", a affirmé le militant américano-canadien.