Recep Tayyip Erdogan, Premier ministre turc, a qualifié lassaut du commando israélien contre la flottille de la liberté de Gaza, "de massacre sanglant".
Dans un discours devant le parlement turc, Erdogan a incité Israël à lever "lembargo inhumain" imposé à la bande de Gaza, le plus rapidement possible.
Erdogan a encore exhorté la communauté internationale à mener une enquête sur cette affaire, mettant en garde Israël, au milieu des applaudissements des députés, "contre le risque de mettre à lépreuve la patience de la Turquie". Le chef du gouvernement turc a appelé à punir Israël pour le carnage quil a commis, en perpétrant "une attaque insolente et irresponsable, et en transgressant le droit international", signalant que Tel-Aviv, à travers son acte, a piétiné "l'a dignité humaine", cest pour ça quil mérite dêtre condamné, et puni.
Pour sa part, le Président iranien, Mahmoud Ahmadinajed, a appelé mardi le Conseil de sécurité, à adopter une résolution "cruelle" contre Israël. "Le temps est venu pour empêcher Israël de commettre dautres crimes", a-t-il laissé entendre.
Le Président iranien a accusé Israël de planifier pour une attaque massive contre la bande de Gaza : "je vous mets en garde cette fois-ci, si vous commettez un crime contre Gaza, la tempête de colère dans la région va vous déraciner". Il a également critiqué la position américaine, la qualifiant de "faible, et très partiale".
Ce faisant, le Président égyptien, Hosni Moubarak, a ordonné ce mardi 1er juin de rouvrir le point de passage de Rafah jusquà nouvel ordre, en vue de permettre lacheminement des aides humanitaires et médicales nécessaires pour la bande de Gaza, et le passage des blessés et des malades dont létat nécessite le transfert vers le territoire égyptien, rapporte lagence de presse, Asharq al-Awsat. La décision égyptienne, ajoute Asharq al-Awsat, sinscrit dans le cadre de laction de lEgypte en vue de mettre fin à la souffrance du peuple palestinien de Gaza.
Des activistes et responsables politiques égyptiens avaient déclaré que le gouvernement de leur pays assume une part de la responsabilité de ce qui sest passé pour la flottille de la liberté, critiquant le refus de lEgypte douvrir le point de passage de Rafah dune façon permanente, devant les personnes et les marchandises vers la bande de Gaza, qui souffre depuis des années de lembargo israélien.
http://www.facebook.com/video/video.php?v=104965529551032
Dans un discours devant le parlement turc, Erdogan a incité Israël à lever "lembargo inhumain" imposé à la bande de Gaza, le plus rapidement possible.
Erdogan a encore exhorté la communauté internationale à mener une enquête sur cette affaire, mettant en garde Israël, au milieu des applaudissements des députés, "contre le risque de mettre à lépreuve la patience de la Turquie". Le chef du gouvernement turc a appelé à punir Israël pour le carnage quil a commis, en perpétrant "une attaque insolente et irresponsable, et en transgressant le droit international", signalant que Tel-Aviv, à travers son acte, a piétiné "l'a dignité humaine", cest pour ça quil mérite dêtre condamné, et puni.
Pour sa part, le Président iranien, Mahmoud Ahmadinajed, a appelé mardi le Conseil de sécurité, à adopter une résolution "cruelle" contre Israël. "Le temps est venu pour empêcher Israël de commettre dautres crimes", a-t-il laissé entendre.
Le Président iranien a accusé Israël de planifier pour une attaque massive contre la bande de Gaza : "je vous mets en garde cette fois-ci, si vous commettez un crime contre Gaza, la tempête de colère dans la région va vous déraciner". Il a également critiqué la position américaine, la qualifiant de "faible, et très partiale".
Ce faisant, le Président égyptien, Hosni Moubarak, a ordonné ce mardi 1er juin de rouvrir le point de passage de Rafah jusquà nouvel ordre, en vue de permettre lacheminement des aides humanitaires et médicales nécessaires pour la bande de Gaza, et le passage des blessés et des malades dont létat nécessite le transfert vers le territoire égyptien, rapporte lagence de presse, Asharq al-Awsat. La décision égyptienne, ajoute Asharq al-Awsat, sinscrit dans le cadre de laction de lEgypte en vue de mettre fin à la souffrance du peuple palestinien de Gaza.
Des activistes et responsables politiques égyptiens avaient déclaré que le gouvernement de leur pays assume une part de la responsabilité de ce qui sest passé pour la flottille de la liberté, critiquant le refus de lEgypte douvrir le point de passage de Rafah dune façon permanente, devant les personnes et les marchandises vers la bande de Gaza, qui souffre depuis des années de lembargo israélien.
http://www.facebook.com/video/video.php?v=104965529551032