L'anesthésiste avait reconnu avoir commis une erreur médicale début janvier, lors d'une intervention de chirurgie viscérale pratiquée sur un nourrisson de six mois environ. Selon la direction du CHU, 'l'intervention s'était bien passée', l'accident médicamenteux se produisant 'au cours de la phase post-opératoire de prévention des douleurs post-interventionnelles'. L'erreur de dosage du produit injecté 'a sans doute favorisé une paralysie des membres inférieurs' de l'enfant, a déclaré Bernard Guillot, président de la commission médicale d'établissement. 'La responsabilité de ce drame était très lourde à porter par ce jeune praticien et l'ensemble de l'équipe', a ajouté la direction du CHU. Une enquête avait été ouverte après le dépôt d'une plainte par la famille de la fillette.
A la suite du drame, la direction de l'hôpital avait demandé au médecin d'interrompre son activité de clinique, interventions et consultations, selon M. Guillot. Le comité des sages de l'hôpital, une structure de conciliation qui se réunit en cas de situation difficile, devait se réunir lundi pour étudier avec lui les modalités de reprise d'une activité. C'est à la suite de son absence à ce comité que des recherches avaient été diligentées par la police afin de le retrouver
http://fr.news.yahoo.com/64/20100402/tfr-suicide-d-un-anesthsiste-qui-avait-r-a2f96e4.html
A la suite du drame, la direction de l'hôpital avait demandé au médecin d'interrompre son activité de clinique, interventions et consultations, selon M. Guillot. Le comité des sages de l'hôpital, une structure de conciliation qui se réunit en cas de situation difficile, devait se réunir lundi pour étudier avec lui les modalités de reprise d'une activité. C'est à la suite de son absence à ce comité que des recherches avaient été diligentées par la police afin de le retrouver
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