Le Maure
Taza avant Gaza
Pressenti pour succéder à l'italien Gianni Solinas, démissionnaire le 22 décembre dernier, Victor Zvunka n'entraînera sans doute pas l'ES Sétif (D1 algérienne). Mais au-delà de cette péripétie sportive, l'ancien entraîneur de Guingamp et de Naval (Portugal), d'où il avait été démis de ses fonctions en septembre dernier, s'est déclaré « outré » par les informations distillées par une partie de la presse sportive algérienne. « J'ai lu et entendu des choses inadmissibles, comme quoi le président de Sétif, Abdelhakim Serrar, aurait renoncé à m'engager en raison de mes origines juives, et aussi parce que je n'aime pas les Arabes ! Je ne sais pas qui a pu sortir de telles choses. Sans doute une personne jalouse de ma venue en Algérie qui était probable il y a quelques jours », a expliqué Zvunka.
«Sous prétexte que je ne faisais pas jouer Bougherra à Gueugnon, je n'aimerais pas les Arabes ? Il ne jouait pas pour des raisons tactiques, c'est tout. Enfin, je suis d'origine hongroise, et je ne suis pas juif. Et si tel était le cas, qu'est-ce que cela changerait ? En vingt-six ans de carrière, je n'avais jamais connu ça. C'est scandaleux », a ajouté Zvunka, très remonté, et qui a parallèlement admis avoir quelques touches en France et à l'étranger.
L'Équipe
«Sous prétexte que je ne faisais pas jouer Bougherra à Gueugnon, je n'aimerais pas les Arabes ? Il ne jouait pas pour des raisons tactiques, c'est tout. Enfin, je suis d'origine hongroise, et je ne suis pas juif. Et si tel était le cas, qu'est-ce que cela changerait ? En vingt-six ans de carrière, je n'avais jamais connu ça. C'est scandaleux », a ajouté Zvunka, très remonté, et qui a parallèlement admis avoir quelques touches en France et à l'étranger.
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