L'audition de Raymond Domenech et de Jean-Pierre Escalettes par la commission des affaires culturelles de l'Assemblée nationale a commencé, mercredi 30 juin. Les deux hommes doivent s'expliquer sur le fiasco de l'équipe de France durant le Mondial 2010.
Arrivés par une porte dérobée peu avant 10 heures, les deux hommes ont obtenu que l'audience se déroule à huis clos. Les photographes et cameramen ont seulement été autorisés à faire quelques prises de vue pendant une minute. Domenech a ostensiblement consulté son téléphone.
Si les journalistes ont été tenus à l'écart, le compte Twitter du député Lionel Tardy permettait de suivre l'audition, jusqu'à ce qu'il soit contraint de s'interrompre à 11 h 13.
10 h 20 : les premiers mots de Jean-Pierre Escalettes : "Je répondrai avec franchise, dur pour moi, bus de la honte, enfants gâtés et pourris, gouvernance ..." Le discours du président démissionnaire de la FFF ressemble pour le moment à s'y méprendre à celui de Roselyne Bachelot.
10 h 30 : au tour de Raymond Domenech de prendre la parole : "Par quoi commencer, ça marche ou pas : on est sur de l'humain, la 'une' de 'L'Equipe' a tout déclenché ..." Du grand classique dans la bouche du désormais ex-sélectionneur : c'est la faute de la presse
http://www.lemonde.fr/sport/article...-les-deputes_1380900_3242.html#ens_id=1371076
Arrivés par une porte dérobée peu avant 10 heures, les deux hommes ont obtenu que l'audience se déroule à huis clos. Les photographes et cameramen ont seulement été autorisés à faire quelques prises de vue pendant une minute. Domenech a ostensiblement consulté son téléphone.
Si les journalistes ont été tenus à l'écart, le compte Twitter du député Lionel Tardy permettait de suivre l'audition, jusqu'à ce qu'il soit contraint de s'interrompre à 11 h 13.
10 h 20 : les premiers mots de Jean-Pierre Escalettes : "Je répondrai avec franchise, dur pour moi, bus de la honte, enfants gâtés et pourris, gouvernance ..." Le discours du président démissionnaire de la FFF ressemble pour le moment à s'y méprendre à celui de Roselyne Bachelot.
10 h 30 : au tour de Raymond Domenech de prendre la parole : "Par quoi commencer, ça marche ou pas : on est sur de l'humain, la 'une' de 'L'Equipe' a tout déclenché ..." Du grand classique dans la bouche du désormais ex-sélectionneur : c'est la faute de la presse
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