Plus de 80 domiciles de chrétiens et 19 églises ont été vandalisés cette semaine dans une ville du Pendjab pakistanais, lors d’émeutes liées à des accusations de blasphème, a indiqué la police vendredi à l’AFP.
«Les événements qui se sont déroulés sont tragiques. Une telle violence ne peut jamais être justifiée», a déclaré Usman Anwar, le chef de la police provinciale de l’Etat du Pendjab.
Il semble qu'au Pakistan il suffit d'accuser de blasphème pour mettre certains dans un état de rage extrême. Les preuves ne sont pas nécessaires
«Les événements qui se sont déroulés sont tragiques. Une telle violence ne peut jamais être justifiée», a déclaré Usman Anwar, le chef de la police provinciale de l’Etat du Pendjab.
Il semble qu'au Pakistan il suffit d'accuser de blasphème pour mettre certains dans un état de rage extrême. Les preuves ne sont pas nécessaires